80e anniversaire de l’ONU : le Gabon toujours attaché aux valeurs de la Charte fondatrice | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Par la voix de Régis Onanga M. Ndiaye, ministre des Affaires étrangères, les autorités de Libreville ont réitéré, jeudi, au siège des Nations Unies à New York, leur attachement aux valeurs défendues par la Charte adoptée en 1945 lors de la Conférence de San Francisco.

Elle est bien loin la Conférence de San Francisco. Pourtant, 80 ans après l’adoption, le 26 juin 1945, de la Charte fondatrice des Nations Unies, les États membres de l’organisation continuent de croire en son contenu. Et le Gabon ne fait pas exception. Le 26 juin 2025, à l’occasion de la célébration des 80 ans de l’ONU, le ministre des Affaires étrangères a pris la parole à l’Assemblée générale des Nations Unies à New York. Il a profité de cette occasion pour réaffirmer l’attachement du Gabon aux valeurs et principes contenus dans la Charte, notamment l’égalité souveraine des États, le règlement pacifique des différends, l’interdiction de recourir à la menace, les droits des peuples et la solidarité.

Pour le Gabon, à l’instar d’autres pays, le texte adopté il y a 80 ans est bien plus qu’un traité. Il s’agit d’une vision, d’un serment solennel qui entend «préserver les générations futures du fléau de la guerre», «proclamer à nouveau notre foi dans les droits fondamentaux de l’homme» et «favoriser le progrès social», et donc croire encore à la possibilité du vivre-ensemble. La cérémonie de jeudi, selon les États, a été un moment de commémoration, mais aussi d’alerte, à l’heure où les principes de la Charte sont plus que jamais mis à l’épreuve.

Des rencontres en marge de la commémoration

En marge de sa participation à cette commémoration, le patron de la diplomatie gabonaise s’est entretenu avec Philemon Yang, président de la 79e Assemblée générale des Nations Unies, puis avec Antonio Guterres, Secrétaire général de Nations Unies, sur les questions de paix, de sécurité et de développement, rapporte la Communication gouvernementale. Avec ses interlocuteurs, Régis Onanga Ndiaye a également abordé les sujets d’actualité politique et économique liés au Gabon, ainsi que les projets et ambitions du pays pour les prochaines années.

Les responsables onusiens ont par ailleurs réitéré l’invitation faite au président gabonais, Brice Clotaire Oligui Nguema, pour la conférence de Séville et la prochaine Assemblée générale de l’ONU de septembre prochain. Ils ont également évoqué la question liée à la préparation des prochaines législatives et locales. Des élections qui ont d’ores et déjà le soutien des Nations Unies, selon les besoins du Gabon. À son tour, Michel Régis Onanga M. Ndiaye a transmis verbalement l’invitation que le chef de l’État adresse au Secrétaire général des Nations Unies, à visiter le Gabon avant la fin de son mandat prévu l’année prochaine.

Par la voix de Régis Onanga M. Ndiaye, ministre des Affaires étrangères, les autorités de Libreville ont réitéré, jeudi, au siège des Nations Unies à New York, leur attachement aux valeurs défendues par la Charte adoptée en 1945 lors de la Conférence de San Francisco.

Elle est bien loin la Conférence de San Francisco. Pourtant, 80 ans après l’adoption, le 26 juin 1945, de la Charte fondatrice des Nations Unies, les États membres de l’organisation continuent de croire en son contenu. Et le Gabon ne fait pas exception. Le 26 juin 2025, à l’occasion de la célébration des 80 ans de l’ONU, le ministre des Affaires étrangères a pris la parole à l’Assemblée générale des Nations Unies à New York. Il a profité de cette occasion pour réaffirmer l’attachement du Gabon aux valeurs et principes contenus dans la Charte, notamment l’égalité souveraine des États, le règlement pacifique des différends, l’interdiction de recourir à la menace, les droits des peuples et la solidarité.

Pour le Gabon, à l’instar d’autres pays, le texte adopté il y a 80 ans est bien plus qu’un traité. Il s’agit d’une vision, d’un serment solennel qui entend «préserver les générations futures du fléau de la guerre», «proclamer à nouveau notre foi dans les droits fondamentaux de l’homme» et «favoriser le progrès social», et donc croire encore à la possibilité du vivre-ensemble. La cérémonie de jeudi, selon les États, a été un moment de commémoration, mais aussi d’alerte, à l’heure où les principes de la Charte sont plus que jamais mis à l’épreuve.

Des rencontres en marge de la commémoration

En marge de sa participation à cette commémoration, le patron de la diplomatie gabonaise s’est entretenu avec Philemon Yang, président de la 79e Assemblée générale des Nations Unies, puis avec Antonio Guterres, Secrétaire général de Nations Unies, sur les questions de paix, de sécurité et de développement, rapporte la Communication gouvernementale. Avec ses interlocuteurs, Régis Onanga Ndiaye a également abordé les sujets d’actualité politique et économique liés au Gabon, ainsi que les projets et ambitions du pays pour les prochaines années.

Les responsables onusiens ont par ailleurs réitéré l’invitation faite au président gabonais, Brice Clotaire Oligui Nguema, pour la conférence de Séville et la prochaine Assemblée générale de l’ONU de septembre prochain. Ils ont également évoqué la question liée à la préparation des prochaines législatives et locales. Des élections qui ont d’ores et déjà le soutien des Nations Unies, selon les besoins du Gabon. À son tour, Michel Régis Onanga M. Ndiaye a transmis verbalement l’invitation que le chef de l’État adresse au Secrétaire général des Nations Unies, à visiter le Gabon avant la fin de son mandat prévu l’année prochaine.

Par la voix de Régis Onanga M. Ndiaye, ministre des Affaires étrangères, les autorités de Libreville ont réitéré, jeudi, au siège des Nations Unies à New York, leur attachement aux valeurs défendues par la Charte adoptée en 1945 lors de la Conférence de San Francisco.

Elle est bien loin la Conférence de San Francisco. Pourtant, 80 ans après l’adoption, le 26 juin 1945, de la Charte fondatrice des Nations Unies, les États membres de l’organisation continuent de croire en son contenu. Et le Gabon ne fait pas exception. Le 26 juin 2025, à l’occasion de la célébration des 80 ans de l’ONU, le ministre des Affaires étrangères a pris la parole à l’Assemblée générale des Nations Unies à New York. Il a profité de cette occasion pour réaffirmer l’attachement du Gabon aux valeurs et principes contenus dans la Charte, notamment l’égalité souveraine des États, le règlement pacifique des différends, l’interdiction de recourir à la menace, les droits des peuples et la solidarité.

Pour le Gabon, à l’instar d’autres pays, le texte adopté il y a 80 ans est bien plus qu’un traité. Il s’agit d’une vision, d’un serment solennel qui entend «préserver les générations futures du fléau de la guerre», «proclamer à nouveau notre foi dans les droits fondamentaux de l’homme» et «favoriser le progrès social», et donc croire encore à la possibilité du vivre-ensemble. La cérémonie de jeudi, selon les États, a été un moment de commémoration, mais aussi d’alerte, à l’heure où les principes de la Charte sont plus que jamais mis à l’épreuve.

Des rencontres en marge de la commémoration

En marge de sa participation à cette commémoration, le patron de la diplomatie gabonaise s’est entretenu avec Philemon Yang, président de la 79e Assemblée générale des Nations Unies, puis avec Antonio Guterres, Secrétaire général de Nations Unies, sur les questions de paix, de sécurité et de développement, rapporte la Communication gouvernementale. Avec ses interlocuteurs, Régis Onanga Ndiaye a également abordé les sujets d’actualité politique et économique liés au Gabon, ainsi que les projets et ambitions du pays pour les prochaines années.

Les responsables onusiens ont par ailleurs réitéré l’invitation faite au président gabonais, Brice Clotaire Oligui Nguema, pour la conférence de Séville et la prochaine Assemblée générale de l’ONU de septembre prochain. Ils ont également évoqué la question liée à la préparation des prochaines législatives et locales. Des élections qui ont d’ores et déjà le soutien des Nations Unies, selon les besoins du Gabon. À son tour, Michel Régis Onanga M. Ndiaye a transmis verbalement l’invitation que le chef de l’État adresse au Secrétaire général des Nations Unies, à visiter le Gabon avant la fin de son mandat prévu l’année prochaine.

Par la voix de Régis Onanga M. Ndiaye, ministre des Affaires étrangères, les autorités de Libreville ont réitéré, jeudi, au siège des Nations Unies à New York, leur attachement aux valeurs défendues par la Charte adoptée en 1945 lors de la Conférence de San Francisco.

Elle est bien loin la Conférence de San Francisco. Pourtant, 80 ans après l’adoption, le 26 juin 1945, de la Charte fondatrice des Nations Unies, les États membres de l’organisation continuent de croire en son contenu. Et le Gabon ne fait pas exception. Le 26 juin 2025, à l’occasion de la célébration des 80 ans de l’ONU, le ministre des Affaires étrangères a pris la parole à l’Assemblée générale des Nations Unies à New York. Il a profité de cette occasion pour réaffirmer l’attachement du Gabon aux valeurs et principes contenus dans la Charte, notamment l’égalité souveraine des États, le règlement pacifique des différends, l’interdiction de recourir à la menace, les droits des peuples et la solidarité.

Pour le Gabon, à l’instar d’autres pays, le texte adopté il y a 80 ans est bien plus qu’un traité. Il s’agit d’une vision, d’un serment solennel qui entend «préserver les générations futures du fléau de la guerre», «proclamer à nouveau notre foi dans les droits fondamentaux de l’homme» et «favoriser le progrès social», et donc croire encore à la possibilité du vivre-ensemble. La cérémonie de jeudi, selon les États, a été un moment de commémoration, mais aussi d’alerte, à l’heure où les principes de la Charte sont plus que jamais mis à l’épreuve.

Des rencontres en marge de la commémoration

En marge de sa participation à cette commémoration, le patron de la diplomatie gabonaise s’est entretenu avec Philemon Yang, président de la 79e Assemblée générale des Nations Unies, puis avec Antonio Guterres, Secrétaire général de Nations Unies, sur les questions de paix, de sécurité et de développement, rapporte la Communication gouvernementale. Avec ses interlocuteurs, Régis Onanga Ndiaye a également abordé les sujets d’actualité politique et économique liés au Gabon, ainsi que les projets et ambitions du pays pour les prochaines années.

Les responsables onusiens ont par ailleurs réitéré l’invitation faite au président gabonais, Brice Clotaire Oligui Nguema, pour la conférence de Séville et la prochaine Assemblée générale de l’ONU de septembre prochain. Ils ont également évoqué la question liée à la préparation des prochaines législatives et locales. Des élections qui ont d’ores et déjà le soutien des Nations Unies, selon les besoins du Gabon. À son tour, Michel Régis Onanga M. Ndiaye a transmis verbalement l’invitation que le chef de l’État adresse au Secrétaire général des Nations Unies, à visiter le Gabon avant la fin de son mandat prévu l’année prochaine.