Alors que Félix Tshisekedi a exprimé son intention de tendre la main à l’opposition pour faire face à la crise sécuritaire en construisant une union nationale, l’ancien Premier ministre fait part de son entière disponibilité dans une interview accordée à Jeune Afrique.

Adolphe Muzito, à Paris, le 25 octobre 2019. © Vincent Fournier/JA
Publié le 1 mars 2025 Lecture : 6 minutes.
Jamais adepte du radicalisme, l’ancien Premier ministre de Joseph Kabila (octobre 2008 à mars 2012) et candidat malheureux à la présidentielle de 2023 en RDC sait se montrer disponible. Sans condition, il se range derrière Félix Tshisekedi pour faire face à un ennemi commun : le Rwanda, qui apporte son soutien à la rébellion du M23, laquelle s’est emparée de pans entiers des territoires du
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Alors que Félix Tshisekedi a exprimé son intention de tendre la main à l’opposition pour faire face à la crise sécuritaire en construisant une union nationale, l’ancien Premier ministre fait part de son entière disponibilité dans une interview accordée à Jeune Afrique.

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Jamais adepte du radicalisme, l’ancien Premier ministre de Joseph Kabila (octobre 2008 à mars 2012) et candidat malheureux à la présidentielle de 2023 en RDC sait se montrer disponible. Sans condition, il se range derrière Félix Tshisekedi pour faire face à un ennemi commun : le Rwanda, qui apporte son soutien à la rébellion du M23, laquelle s’est emparée de pans entiers des territoires du
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