Alger a rapidement pris acte de la chute de Bachar al-Assad, le 8 décembre, affirmant son soutien au « peuple frère syrien ». Une formule qui illustre les liens anciens entre les deux pays, qui n’ont jamais été rompus.

Faisal Mekdad et Ahmed Attaf, ministres des Affaires étrangères syrien et algérien, le 15 avril 2023. © SANA/AFP
Publié le 5 janvier 2025 Lecture : 6 minutes.
Douze mille, c’est le nombre estimé de Syriens qui ont trouvé refuge en Algérie depuis l’échec du Printemps arabe, en 2011, et la guerre civile particulièrement meurtrière qui s’en est suivie. Leur sort n’est pas toujours enviable à en croire la LADDH (la Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme). Ainsi en 2019, une centaine d’entre eux a été refoulée vers la frontière avec le Mali. Leur
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Alger a rapidement pris acte de la chute de Bachar al-Assad, le 8 décembre, affirmant son soutien au « peuple frère syrien ». Une formule qui illustre les liens anciens entre les deux pays, qui n’ont jamais été rompus.

Faisal Mekdad et Ahmed Attaf, ministres des Affaires étrangères syrien et algérien, le 15 avril 2023. © SANA/AFP
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Douze mille, c’est le nombre estimé de Syriens qui ont trouvé refuge en Algérie depuis l’échec du Printemps arabe, en 2011, et la guerre civile particulièrement meurtrière qui s’en est suivie. Leur sort n’est pas toujours enviable à en croire la LADDH (la Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme). Ainsi en 2019, une centaine d’entre eux a été refoulée vers la frontière avec le Mali. Leur
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Douze mille, c’est le nombre estimé de Syriens qui ont trouvé refuge en Algérie depuis l’échec du Printemps arabe, en 2011, et la guerre civile particulièrement meurtrière qui s’en est suivie. Leur sort n’est pas toujours enviable à en croire la LADDH (la Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme). Ainsi en 2019, une centaine d’entre eux a été refoulée vers la frontière avec le Mali. Leur
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