Garde des Sceaux par intérim, Jean de Dieu Momo s’est engagé dans un bras de fer avec le secrétaire général de la présidence au sujet des honoraires dus par l’État au cabinet d’avocats français Jeantet, lequel a tourné à l’avantage de Ferdinand Ngoh Ngoh.
Laurent Esso, le ministre camerounais de la Justice, en 2011. © MABOUP
Publié le 1 avril 2025 Lecture : 4 minutes.
Après des mois passés en Europe, où il a bénéficié de soins médicaux, c’est en toute discrétion que le ministre camerounais de la Justice, Laurent Esso, a regagné Yaoundé courant mars. Retranché dans sa résidence située dans le quartier Mvan, dans la périphérie de la capitale Yaoundé, le garde des Sceaux est officiellement toujours en convalescence.
S’il continue donc de garder ses distances
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Garde des Sceaux par intérim, Jean de Dieu Momo s’est engagé dans un bras de fer avec le secrétaire général de la présidence au sujet des honoraires dus par l’État au cabinet d’avocats français Jeantet, lequel a tourné à l’avantage de Ferdinand Ngoh Ngoh.
Laurent Esso, le ministre camerounais de la Justice, en 2011. © MABOUP
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Après des mois passés en Europe, où il a bénéficié de soins médicaux, c’est en toute discrétion que le ministre camerounais de la Justice, Laurent Esso, a regagné Yaoundé courant mars. Retranché dans sa résidence située dans le quartier Mvan, dans la périphérie de la capitale Yaoundé, le garde des Sceaux est officiellement toujours en convalescence.
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Laurent Esso, le ministre camerounais de la Justice, en 2011. © MABOUP
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Après des mois passés en Europe, où il a bénéficié de soins médicaux, c’est en toute discrétion que le ministre camerounais de la Justice, Laurent Esso, a regagné Yaoundé courant mars. Retranché dans sa résidence située dans le quartier Mvan, dans la périphérie de la capitale Yaoundé, le garde des Sceaux est officiellement toujours en convalescence.
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Laurent Esso, le ministre camerounais de la Justice, en 2011. © MABOUP
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