Le dialogue national, voulu par le président Bassirou Diomaye Faye, s’est conclu par un inventaire de préconisations partiellement consensuelles. Sans doute était-il difficile de mettre d’accord autant de participants en si peu de temps.
À l’ouverture du dialogue national au Centre international de conférences Abdou Diouf, à Diamniadio, près de Dakar, le 28 mai 2025. © Seyllou / AFP
Publié le 5 juin 2025 Lecture : 2 minutes.
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Au terme d’une semaine de dialogue national, cet exercice rituel institué au Sénégal, en 2016, par l’ex-président Macky Sall, une conclusion prévisible a été livrée, ce 4 juin, qui pourrait se résumer ainsi : « Nous sommes d’accord sur nos désaccords. » Un bilan toujours préférable à la perspective, fataliste, qui voudrait que majorité et opposition ne s’accordent sur rien.
« Les discussions n’ont
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Le dialogue national, voulu par le président Bassirou Diomaye Faye, s’est conclu par un inventaire de préconisations partiellement consensuelles. Sans doute était-il difficile de mettre d’accord autant de participants en si peu de temps.
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Au terme d’une semaine de dialogue national, cet exercice rituel institué au Sénégal, en 2016, par l’ex-président Macky Sall, une conclusion prévisible a été livrée, ce 4 juin, qui pourrait se résumer ainsi : « Nous sommes d’accord sur nos désaccords. » Un bilan toujours préférable à la perspective, fataliste, qui voudrait que majorité et opposition ne s’accordent sur rien.
« Les discussions n’ont
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Le dialogue national, voulu par le président Bassirou Diomaye Faye, s’est conclu par un inventaire de préconisations partiellement consensuelles. Sans doute était-il difficile de mettre d’accord autant de participants en si peu de temps.
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Au terme d’une semaine de dialogue national, cet exercice rituel institué au Sénégal, en 2016, par l’ex-président Macky Sall, une conclusion prévisible a été livrée, ce 4 juin, qui pourrait se résumer ainsi : « Nous sommes d’accord sur nos désaccords. » Un bilan toujours préférable à la perspective, fataliste, qui voudrait que majorité et opposition ne s’accordent sur rien.
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