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Accueil Afrique

Au Togo, l’opposition dénonce des arrestations « arbitraires » lors des récentes manifestations

Jeune Afrique avec AFP Par Jeune Afrique avec AFP
9 juin 2025
Temps de lecture :3 minutes de lecture
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Publié le 9 juin 2025 Lecture : 2 minutes.

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Le front « Touche pas à ma Constitution », un regroupement de partis politiques de l’opposition et de la société civile, a affirmé, dans un communiqué transmis à l’AFP dimanche 8 juin, « condamner avec la plus grande fermeté les arrestations massives et arbitraires perpétrées les 5 et 6 juin », lors de manifestations dispersées par la police, tenues pour protester contre le régime.

Ces arrestations « sont l’expression d’un pouvoir aux abois qui préfère la violence à l’écoute, la répression à l’apport de solutions aux préoccupations des citoyens », a-t-il estimé, exigeant la « libération immédiate de tous les détenus politiques ». Au Togo, où Faure Gnassingbé, président depuis 2005, a récemment consolidé son pouvoir grâce à une réforme constitutionnelle, les manifestations sont interdites depuis 2022, après une attaque meurtrière au grand marché de Lomé. Les meetings restent autorisés.

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Réforme constitutionnelle

Le groupe « Touche pas à ma Constitution » a publié une liste de sept noms de personnes arrêtées, qui n’est pas exhaustive, selon lui. Y figure notamment celui d’un médecin, dont l’arrestation a également été dénoncée par le Conseil de l’Ordre national des médecins. « Il est détenu dans un groupement de la gendarmerie nationale. Pour le moment, nous ne sommes informés d’aucune des charges retenues contre lui, ni des conditions dans lesquelles il est détenu », a précisé l’Ordre dans un communiqué.

Contacté par l’AFP dimanche, le ministère de la Sécurité n’était pas immédiatement joignable.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, jusque dans la matinée, quelques dizaines de manifestants ont été dispersés au gaz lacrymogène par la police dans différents quartiers de Lomé, notamment près de la présidence. Des journalistes qui couvraient les manifestations ont été brièvement interpellés et contraints par les forces de l’ordre d’effacer leurs images.

Les manifestants s’exprimaient contre des arrestations de voix dissidentes, la hausse du prix de l’électricité et la réforme constitutionnelle. Ils répondaient notamment à un appel à manifester le 6 juin, lancé par un rappeur critique envers le pouvoir, Aamron, pour célébrer de façon ironique l’anniversaire de Faure Gnassingbé.

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La mobilisation s’est intensifiée après l’arrestation d’Aamron, fin mai à son domicile – le jour de la publication de son appel à la mobilisation – et sa réapparition dans une vidéo jeudi. Dans cette vidéo, il s’est excusé envers Faure Gnassingbé et a dit avoir été « transféré » en hôpital psychiatrique pour « dépression aggravée ».

 (avec AFP)

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Le front « Touche pas à ma Constitution », un regroupement de partis politiques de l’opposition et de la société civile, a affirmé, dans un communiqué transmis à l’AFP dimanche 8 juin, « condamner avec la plus grande fermeté les arrestations massives et arbitraires perpétrées les 5 et 6 juin », lors de manifestations dispersées par la police, tenues pour protester contre le régime.

Ces arrestations « sont l’expression d’un pouvoir aux abois qui préfère la violence à l’écoute, la répression à l’apport de solutions aux préoccupations des citoyens », a-t-il estimé, exigeant la « libération immédiate de tous les détenus politiques ». Au Togo, où Faure Gnassingbé, président depuis 2005, a récemment consolidé son pouvoir grâce à une réforme constitutionnelle, les manifestations sont interdites depuis 2022, après une attaque meurtrière au grand marché de Lomé. Les meetings restent autorisés.

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Le groupe « Touche pas à ma Constitution » a publié une liste de sept noms de personnes arrêtées, qui n’est pas exhaustive, selon lui. Y figure notamment celui d’un médecin, dont l’arrestation a également été dénoncée par le Conseil de l’Ordre national des médecins. « Il est détenu dans un groupement de la gendarmerie nationale. Pour le moment, nous ne sommes informés d’aucune des charges retenues contre lui, ni des conditions dans lesquelles il est détenu », a précisé l’Ordre dans un communiqué.

Contacté par l’AFP dimanche, le ministère de la Sécurité n’était pas immédiatement joignable.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, jusque dans la matinée, quelques dizaines de manifestants ont été dispersés au gaz lacrymogène par la police dans différents quartiers de Lomé, notamment près de la présidence. Des journalistes qui couvraient les manifestations ont été brièvement interpellés et contraints par les forces de l’ordre d’effacer leurs images.

Les manifestants s’exprimaient contre des arrestations de voix dissidentes, la hausse du prix de l’électricité et la réforme constitutionnelle. Ils répondaient notamment à un appel à manifester le 6 juin, lancé par un rappeur critique envers le pouvoir, Aamron, pour célébrer de façon ironique l’anniversaire de Faure Gnassingbé.

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La mobilisation s’est intensifiée après l’arrestation d’Aamron, fin mai à son domicile – le jour de la publication de son appel à la mobilisation – et sa réapparition dans une vidéo jeudi. Dans cette vidéo, il s’est excusé envers Faure Gnassingbé et a dit avoir été « transféré » en hôpital psychiatrique pour « dépression aggravée ».

 (avec AFP)

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Ces arrestations « sont l’expression d’un pouvoir aux abois qui préfère la violence à l’écoute, la répression à l’apport de solutions aux préoccupations des citoyens », a-t-il estimé, exigeant la « libération immédiate de tous les détenus politiques ». Au Togo, où Faure Gnassingbé, président depuis 2005, a récemment consolidé son pouvoir grâce à une réforme constitutionnelle, les manifestations sont interdites depuis 2022, après une attaque meurtrière au grand marché de Lomé. Les meetings restent autorisés.

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Le groupe « Touche pas à ma Constitution » a publié une liste de sept noms de personnes arrêtées, qui n’est pas exhaustive, selon lui. Y figure notamment celui d’un médecin, dont l’arrestation a également été dénoncée par le Conseil de l’Ordre national des médecins. « Il est détenu dans un groupement de la gendarmerie nationale. Pour le moment, nous ne sommes informés d’aucune des charges retenues contre lui, ni des conditions dans lesquelles il est détenu », a précisé l’Ordre dans un communiqué.

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Dans la nuit de jeudi à vendredi, jusque dans la matinée, quelques dizaines de manifestants ont été dispersés au gaz lacrymogène par la police dans différents quartiers de Lomé, notamment près de la présidence. Des journalistes qui couvraient les manifestations ont été brièvement interpellés et contraints par les forces de l’ordre d’effacer leurs images.

Les manifestants s’exprimaient contre des arrestations de voix dissidentes, la hausse du prix de l’électricité et la réforme constitutionnelle. Ils répondaient notamment à un appel à manifester le 6 juin, lancé par un rappeur critique envers le pouvoir, Aamron, pour célébrer de façon ironique l’anniversaire de Faure Gnassingbé.

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Ces arrestations « sont l’expression d’un pouvoir aux abois qui préfère la violence à l’écoute, la répression à l’apport de solutions aux préoccupations des citoyens », a-t-il estimé, exigeant la « libération immédiate de tous les détenus politiques ». Au Togo, où Faure Gnassingbé, président depuis 2005, a récemment consolidé son pouvoir grâce à une réforme constitutionnelle, les manifestations sont interdites depuis 2022, après une attaque meurtrière au grand marché de Lomé. Les meetings restent autorisés.

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