Avec la flambée des prix du cacao et l’effondrement des recettes pétrolières, le Nigeria s’efforce de relancer un secteur qui pourrait remodeler son avenir économique. Mais en l’absence de réglementation, de ressources et d’infrastructures, l’agriculture reste une activité difficilement viable.

Cabosses de cacao récoltées dans une ferme de l’État de Cross River, au Nigeria, le 24 avril 2025. © Sodiq Adelakun/Reuters
Publié le 20 mai 2025 Lecture : 6 minutes.
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Construite il y a soixante ans par le gouvernement régional de l’ouest du Nigeria, la Maison du cacao symbolisait la prospérité engendrée par le commerce florissant de cette denrée dans le pays. Le cacao a alimenté un boom économique qui a abouti à la construction du gratte-ciel emblématique de 26 étages à Ibadan. Aujourd’hui, la Maison du cacao n’est plus que l’ombre d’elle-même. La montée en
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Avec la flambée des prix du cacao et l’effondrement des recettes pétrolières, le Nigeria s’efforce de relancer un secteur qui pourrait remodeler son avenir économique. Mais en l’absence de réglementation, de ressources et d’infrastructures, l’agriculture reste une activité difficilement viable.

Cabosses de cacao récoltées dans une ferme de l’État de Cross River, au Nigeria, le 24 avril 2025. © Sodiq Adelakun/Reuters
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Avec la flambée des prix du cacao et l’effondrement des recettes pétrolières, le Nigeria s’efforce de relancer un secteur qui pourrait remodeler son avenir économique. Mais en l’absence de réglementation, de ressources et d’infrastructures, l’agriculture reste une activité difficilement viable.

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