Le cessez-le-feu « immédiat et inconditionnel » signé par les présidents congolais et rwandais, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, le 18 mars au Qatar, intervient alors que le M23 n’a cessé de progresser sur le territoire congolais depuis sa prise de contrôle de Goma, fin janvier.

Des combattants du M23 retournant à Goma, le 1er mars 2025, après avoir remis au gouvernement rwandais des membres des FDLR. © JOSPIN MWISHA/AFP
Publié le 19 mars 2025 Lecture : 1 minute.
Le cessez-le-feu signé le 18 mars à Doha tiendra-t-il ? Marque-t-il la fin de la progression du M23 et de ses alliés rwandais en territoire congolais ? Depuis fin janvier, le groupe rebelle n’a cessé d’avancer, renforçant ses positions d’est en ouest. Les responsables de l’Alliance Fleuve Congo (AFC), l’organisation politico-militaire dont fait partie le groupe rebelle, avaient affirmé avoir pour objectif de « marcher sur Kinshasa ». L’état des lieux de la ligne de front, particulièrement mouvante, telle qu’elle se fixait au soir du 18 mars, montre que le contrôle des axes routiers est au cœur de la stratégie de l’AFC/M23.
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Mercredi 18 mars, tandis que Félix Tshisekedi et Paul Kagame se rencontraient à Doha, autour de l’émir du Qatar, Tamim Ben Hamad Al Thani, le M23 continuait sa progression sur l’axe Masisi-Walikale, à l’ouest de Goma. Des combats ont notamment été signalés à Kibua. Dimanche 16 mars, les Forces armées congolaises avaient déjà affronté les rebelles près de Mutakato, un peu plus loin encore sur cet axe stratégique.
Les rebelles continuent également leur progression dans le Sud-Kivu, où ils ont pris le contrôle de Bukavu le 16 février. Si l’on assiste, depuis le début du mois de mars, à une accalmie dans cette région, les affrontements entre rebelles et wazalendo – les milices qui combattent aux côtés des Forces armées de la RDC – ont fait rage dans le Sud-Ouest jusqu’à Mwenga, le long de la RN2. Loin des grands axes, le village de Kigarama, sur les plateaux d’Uvira, a également été le théâtre de combats.
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Le cessez-le-feu « immédiat et inconditionnel » signé par les présidents congolais et rwandais, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, le 18 mars au Qatar, intervient alors que le M23 n’a cessé de progresser sur le territoire congolais depuis sa prise de contrôle de Goma, fin janvier.

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Mercredi 18 mars, tandis que Félix Tshisekedi et Paul Kagame se rencontraient à Doha, autour de l’émir du Qatar, Tamim Ben Hamad Al Thani, le M23 continuait sa progression sur l’axe Masisi-Walikale, à l’ouest de Goma. Des combats ont notamment été signalés à Kibua. Dimanche 16 mars, les Forces armées congolaises avaient déjà affronté les rebelles près de Mutakato, un peu plus loin encore sur cet axe stratégique.
Les rebelles continuent également leur progression dans le Sud-Kivu, où ils ont pris le contrôle de Bukavu le 16 février. Si l’on assiste, depuis le début du mois de mars, à une accalmie dans cette région, les affrontements entre rebelles et wazalendo – les milices qui combattent aux côtés des Forces armées de la RDC – ont fait rage dans le Sud-Ouest jusqu’à Mwenga, le long de la RN2. Loin des grands axes, le village de Kigarama, sur les plateaux d’Uvira, a également été le théâtre de combats.
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Des combattants du M23 retournant à Goma, le 1er mars 2025, après avoir remis au gouvernement rwandais des membres des FDLR. © JOSPIN MWISHA/AFP
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Le cessez-le-feu signé le 18 mars à Doha tiendra-t-il ? Marque-t-il la fin de la progression du M23 et de ses alliés rwandais en territoire congolais ? Depuis fin janvier, le groupe rebelle n’a cessé d’avancer, renforçant ses positions d’est en ouest. Les responsables de l’Alliance Fleuve Congo (AFC), l’organisation politico-militaire dont fait partie le groupe rebelle, avaient affirmé avoir pour objectif de « marcher sur Kinshasa ». L’état des lieux de la ligne de front, particulièrement mouvante, telle qu’elle se fixait au soir du 18 mars, montre que le contrôle des axes routiers est au cœur de la stratégie de l’AFC/M23.
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Les rebelles continuent également leur progression dans le Sud-Kivu, où ils ont pris le contrôle de Bukavu le 16 février. Si l’on assiste, depuis le début du mois de mars, à une accalmie dans cette région, les affrontements entre rebelles et wazalendo – les milices qui combattent aux côtés des Forces armées de la RDC – ont fait rage dans le Sud-Ouest jusqu’à Mwenga, le long de la RN2. Loin des grands axes, le village de Kigarama, sur les plateaux d’Uvira, a également été le théâtre de combats.
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Les rebelles continuent également leur progression dans le Sud-Kivu, où ils ont pris le contrôle de Bukavu le 16 février. Si l’on assiste, depuis le début du mois de mars, à une accalmie dans cette région, les affrontements entre rebelles et wazalendo – les milices qui combattent aux côtés des Forces armées de la RDC – ont fait rage dans le Sud-Ouest jusqu’à Mwenga, le long de la RN2. Loin des grands axes, le village de Kigarama, sur les plateaux d’Uvira, a également été le théâtre de combats.
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