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Accueil Gabon

Chambrier rassure, Oyima temporise : le feuilleton de la transition à BGFIBank | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Alix-Ida Mussavu Par Alix-Ida Mussavu
18 mai 2025
Temps de lecture :4 minutes de lecture
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chambrier-rassure,-oyima-temporise-:-le-feuilleton-de-la-transition-a-bgfibank-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|

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poste par Alix-Ida Mussavu / 18 mai, 2025

Alors que la nomination d’Henri-Claude Oyima à la tête du ministère de l’Économie et des Finances suscite la controverse et des préoccupations sur un éventuel conflit d’intérêts en raison de son statut au sein BGFIBank, Alexandre Barro Chambrier, le vice-président du gouvernement gabonais, a assuré le 17 mai que la situation sera rapidement clarifiée sinon reglée. Un questionnement demeure cependant : peut-on réellement s’attendre à un retrait rapide et total d’Oyima de ses activités au sein du groupe bancaire ? Sa transition sera-t-elle plus complexe et étalée dans le temps qu’il n’y paraît ?

Oyima saura-t-il se détacher pleinement d’une institution qu’il a façonnée pendant près de quatre décennies ? © D.R.

La nomination d’Henri-Claude Oyima à la tête du ministère de l’Économie et des Finances continue de susciter un vif intérêt au sein de l’opinion publique et des milieux économiques. Dirigeant emblématique du groupe BGFIBank, première banque privée de la zone CEMAC, Oyima accède à un poste clé dans un contexte de transition institutionnelle majeure au Gabon. Sa double casquette de banquier influent et désormais ministre de tutelle de l’économie nationale soulève donc des interrogations sur un éventuel conflit d’intérêts. Interrogé sur ce point délicat lors d’un entretien accordé à Radio France Internationale (RFI) le 17 mai, Alexandre Barro Chambrier, le vice-président du gouvernement, s’est voulu rassurant.

Un retrait annoncé, mais à quel rythme ?

Barro Chambrier dit faire confiance à Henri Claude Oyima. © D.R.

«Je pense que c’est un homme de talent, d’expérience, qui prendra toute sa place dans ce gouvernement et je m’en réjouis», a-t-il déclaré. «Et la situation de monsieur Oyima est en voie de clarification puisque lui-même a annoncé qu’il allait se retirer de ses activités privées», a-t-il ajouté. Henri-Claude Oyima a pour ainsi dire, déclaré son intention de se retirer progressivement de ses activités privées, mais n’a pas précisé les délais exacts dans lesquels ce retrait serait effectif.

Alexandre Barro Chambrier estime que le nouveau ministre de l’Économie prendra le recul et la hauteur nécessaires dans le cadre de ses nouvelles fonctions et bien qu’il affirme «nous pouvons lui faire pleinement confiance», de nombreuses questions demeurent sur la volonté d’Henri-Claude Oyima de passer véritablement le témoin à BGFIBank.

Certains s’interrogent sur la possibilité d’un «atterrissage progressif» qui, bien qu’ayant l’air rassurant, pourrait prendre plus de temps que prévu, voire fragiliser la confiance au sein de l’institution financière et des partenaires économiques de la région. Henri-Claude Oyima a précisé. «on ne quitte pas une maison qu’on a bâtie depuis 40 ans du jour au lendemain. C’est irresponsable» ; «On ne saute pas d’un avion en plein vol. Il faut amorcer un atterrissage progressif, maîtrisé». Des questions sont également posées sur la réelle capacité du ministre à se défaire complètement de son influence au sein de la banque, étant donné son rôle crucial dans son succès et sa réputation.

Entre réticences et équilibres régionaux

Conscient des enjeux, tant en termes de gouvernance que de stabilité régionale, il a lui-même souligné le rôle stratégique de BGFIBank. «Ce groupe est systémique. Il impacte toute la sous-région. Un faux pas, un mauvais signal, et c’est la confiance qui vacille». Oyima affirme ainsi vouloir assurer une passation «de manière responsable, sécurisée et conforme aux exigences réglementaires», mais il reste à voir quand ces engagements seront honorés.

Selon des sources proches du dossier, le ministre aurait déjà entamé les démarches visant à se désengager des organes décisionnels de BGFIBank, en concertation avec les autorités de régulation bancaire.

Alors que l’évolution de cette situation est scrutée avec attention, le véritable test pour Henri-Claude Oyima et le gouvernement gabonais pourrait résider dans la mise en œuvre effective de ce désengagement et la capacité de l’homme à se consacrer pleinement à ses nouvelles fonctions publiques. Saura-t-il se détacher pleinement d’une institution qu’il a façonnée pendant près de quatre décennies ?

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poste par Alix-Ida Mussavu / 18 mai, 2025

Alors que la nomination d’Henri-Claude Oyima à la tête du ministère de l’Économie et des Finances suscite la controverse et des préoccupations sur un éventuel conflit d’intérêts en raison de son statut au sein BGFIBank, Alexandre Barro Chambrier, le vice-président du gouvernement gabonais, a assuré le 17 mai que la situation sera rapidement clarifiée sinon reglée. Un questionnement demeure cependant : peut-on réellement s’attendre à un retrait rapide et total d’Oyima de ses activités au sein du groupe bancaire ? Sa transition sera-t-elle plus complexe et étalée dans le temps qu’il n’y paraît ?

Oyima saura-t-il se détacher pleinement d’une institution qu’il a façonnée pendant près de quatre décennies ? © D.R.

La nomination d’Henri-Claude Oyima à la tête du ministère de l’Économie et des Finances continue de susciter un vif intérêt au sein de l’opinion publique et des milieux économiques. Dirigeant emblématique du groupe BGFIBank, première banque privée de la zone CEMAC, Oyima accède à un poste clé dans un contexte de transition institutionnelle majeure au Gabon. Sa double casquette de banquier influent et désormais ministre de tutelle de l’économie nationale soulève donc des interrogations sur un éventuel conflit d’intérêts. Interrogé sur ce point délicat lors d’un entretien accordé à Radio France Internationale (RFI) le 17 mai, Alexandre Barro Chambrier, le vice-président du gouvernement, s’est voulu rassurant.

Un retrait annoncé, mais à quel rythme ?

Barro Chambrier dit faire confiance à Henri Claude Oyima. © D.R.

«Je pense que c’est un homme de talent, d’expérience, qui prendra toute sa place dans ce gouvernement et je m’en réjouis», a-t-il déclaré. «Et la situation de monsieur Oyima est en voie de clarification puisque lui-même a annoncé qu’il allait se retirer de ses activités privées», a-t-il ajouté. Henri-Claude Oyima a pour ainsi dire, déclaré son intention de se retirer progressivement de ses activités privées, mais n’a pas précisé les délais exacts dans lesquels ce retrait serait effectif.

Alexandre Barro Chambrier estime que le nouveau ministre de l’Économie prendra le recul et la hauteur nécessaires dans le cadre de ses nouvelles fonctions et bien qu’il affirme «nous pouvons lui faire pleinement confiance», de nombreuses questions demeurent sur la volonté d’Henri-Claude Oyima de passer véritablement le témoin à BGFIBank.

Certains s’interrogent sur la possibilité d’un «atterrissage progressif» qui, bien qu’ayant l’air rassurant, pourrait prendre plus de temps que prévu, voire fragiliser la confiance au sein de l’institution financière et des partenaires économiques de la région. Henri-Claude Oyima a précisé. «on ne quitte pas une maison qu’on a bâtie depuis 40 ans du jour au lendemain. C’est irresponsable» ; «On ne saute pas d’un avion en plein vol. Il faut amorcer un atterrissage progressif, maîtrisé». Des questions sont également posées sur la réelle capacité du ministre à se défaire complètement de son influence au sein de la banque, étant donné son rôle crucial dans son succès et sa réputation.

Entre réticences et équilibres régionaux

Conscient des enjeux, tant en termes de gouvernance que de stabilité régionale, il a lui-même souligné le rôle stratégique de BGFIBank. «Ce groupe est systémique. Il impacte toute la sous-région. Un faux pas, un mauvais signal, et c’est la confiance qui vacille». Oyima affirme ainsi vouloir assurer une passation «de manière responsable, sécurisée et conforme aux exigences réglementaires», mais il reste à voir quand ces engagements seront honorés.

Selon des sources proches du dossier, le ministre aurait déjà entamé les démarches visant à se désengager des organes décisionnels de BGFIBank, en concertation avec les autorités de régulation bancaire.

Alors que l’évolution de cette situation est scrutée avec attention, le véritable test pour Henri-Claude Oyima et le gouvernement gabonais pourrait résider dans la mise en œuvre effective de ce désengagement et la capacité de l’homme à se consacrer pleinement à ses nouvelles fonctions publiques. Saura-t-il se détacher pleinement d’une institution qu’il a façonnée pendant près de quatre décennies ?

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Oyima saura-t-il se détacher pleinement d’une institution qu’il a façonnée pendant près de quatre décennies ? © D.R.

La nomination d’Henri-Claude Oyima à la tête du ministère de l’Économie et des Finances continue de susciter un vif intérêt au sein de l’opinion publique et des milieux économiques. Dirigeant emblématique du groupe BGFIBank, première banque privée de la zone CEMAC, Oyima accède à un poste clé dans un contexte de transition institutionnelle majeure au Gabon. Sa double casquette de banquier influent et désormais ministre de tutelle de l’économie nationale soulève donc des interrogations sur un éventuel conflit d’intérêts. Interrogé sur ce point délicat lors d’un entretien accordé à Radio France Internationale (RFI) le 17 mai, Alexandre Barro Chambrier, le vice-président du gouvernement, s’est voulu rassurant.

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«Je pense que c’est un homme de talent, d’expérience, qui prendra toute sa place dans ce gouvernement et je m’en réjouis», a-t-il déclaré. «Et la situation de monsieur Oyima est en voie de clarification puisque lui-même a annoncé qu’il allait se retirer de ses activités privées», a-t-il ajouté. Henri-Claude Oyima a pour ainsi dire, déclaré son intention de se retirer progressivement de ses activités privées, mais n’a pas précisé les délais exacts dans lesquels ce retrait serait effectif.

Alexandre Barro Chambrier estime que le nouveau ministre de l’Économie prendra le recul et la hauteur nécessaires dans le cadre de ses nouvelles fonctions et bien qu’il affirme «nous pouvons lui faire pleinement confiance», de nombreuses questions demeurent sur la volonté d’Henri-Claude Oyima de passer véritablement le témoin à BGFIBank.

Certains s’interrogent sur la possibilité d’un «atterrissage progressif» qui, bien qu’ayant l’air rassurant, pourrait prendre plus de temps que prévu, voire fragiliser la confiance au sein de l’institution financière et des partenaires économiques de la région. Henri-Claude Oyima a précisé. «on ne quitte pas une maison qu’on a bâtie depuis 40 ans du jour au lendemain. C’est irresponsable» ; «On ne saute pas d’un avion en plein vol. Il faut amorcer un atterrissage progressif, maîtrisé». Des questions sont également posées sur la réelle capacité du ministre à se défaire complètement de son influence au sein de la banque, étant donné son rôle crucial dans son succès et sa réputation.

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Oyima saura-t-il se détacher pleinement d’une institution qu’il a façonnée pendant près de quatre décennies ? © D.R.

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«Je pense que c’est un homme de talent, d’expérience, qui prendra toute sa place dans ce gouvernement et je m’en réjouis», a-t-il déclaré. «Et la situation de monsieur Oyima est en voie de clarification puisque lui-même a annoncé qu’il allait se retirer de ses activités privées», a-t-il ajouté. Henri-Claude Oyima a pour ainsi dire, déclaré son intention de se retirer progressivement de ses activités privées, mais n’a pas précisé les délais exacts dans lesquels ce retrait serait effectif.

Alexandre Barro Chambrier estime que le nouveau ministre de l’Économie prendra le recul et la hauteur nécessaires dans le cadre de ses nouvelles fonctions et bien qu’il affirme «nous pouvons lui faire pleinement confiance», de nombreuses questions demeurent sur la volonté d’Henri-Claude Oyima de passer véritablement le témoin à BGFIBank.

Certains s’interrogent sur la possibilité d’un «atterrissage progressif» qui, bien qu’ayant l’air rassurant, pourrait prendre plus de temps que prévu, voire fragiliser la confiance au sein de l’institution financière et des partenaires économiques de la région. Henri-Claude Oyima a précisé. «on ne quitte pas une maison qu’on a bâtie depuis 40 ans du jour au lendemain. C’est irresponsable» ; «On ne saute pas d’un avion en plein vol. Il faut amorcer un atterrissage progressif, maîtrisé». Des questions sont également posées sur la réelle capacité du ministre à se défaire complètement de son influence au sein de la banque, étant donné son rôle crucial dans son succès et sa réputation.

Entre réticences et équilibres régionaux

Conscient des enjeux, tant en termes de gouvernance que de stabilité régionale, il a lui-même souligné le rôle stratégique de BGFIBank. «Ce groupe est systémique. Il impacte toute la sous-région. Un faux pas, un mauvais signal, et c’est la confiance qui vacille». Oyima affirme ainsi vouloir assurer une passation «de manière responsable, sécurisée et conforme aux exigences réglementaires», mais il reste à voir quand ces engagements seront honorés.

Selon des sources proches du dossier, le ministre aurait déjà entamé les démarches visant à se désengager des organes décisionnels de BGFIBank, en concertation avec les autorités de régulation bancaire.

Alors que l’évolution de cette situation est scrutée avec attention, le véritable test pour Henri-Claude Oyima et le gouvernement gabonais pourrait résider dans la mise en œuvre effective de ce désengagement et la capacité de l’homme à se consacrer pleinement à ses nouvelles fonctions publiques. Saura-t-il se détacher pleinement d’une institution qu’il a façonnée pendant près de quatre décennies ?

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