Les présidents mauritanien et ivoirien ont joué un rôle prépondérant dans la victoire de l’ancien patron de la Badea face à des candidats de poids, notamment issus de l’Afrique australe. Coulisses.

L’ancien ministre mauritanien des Finances Sidi Ould Tah, nouvellement élu à la tête de la Banque africaine de développement (BAD), lors de l’assemblée annuelle de l’institution, à Abidjan, en Côte d’Ivoire, le 29 mai 2025. © Luc Gnago/REUTERS
Publié le 6 juin 2025 Lecture : 3 minutes.
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Dans la salle des congrès du Sofitel Ivoire, à Abidjan, le 29 mai, le suspense n’aura duré que quelques heures. En trois tours de scrutin, le Mauritanien Sidi Ould Tah s’impose à la tête de la Banque africaine de développement (BAD) avec 76,18 % des suffrages, dont plus de 72 % des voix africaines, reléguant le Zambien Samuel Maimbo (20,26 %) et le Sénégalais Amadou Hott (3,55 %) loin derrière. La
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Les présidents mauritanien et ivoirien ont joué un rôle prépondérant dans la victoire de l’ancien patron de la Badea face à des candidats de poids, notamment issus de l’Afrique australe. Coulisses.

L’ancien ministre mauritanien des Finances Sidi Ould Tah, nouvellement élu à la tête de la Banque africaine de développement (BAD), lors de l’assemblée annuelle de l’institution, à Abidjan, en Côte d’Ivoire, le 29 mai 2025. © Luc Gnago/REUTERS
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