Menacé de destitution, il avait démissionné en début de semaine. Cette nouvelle élection pourrait lui permettre de contrer les manoeuvres de ses adversaires à l’intérieur du parti.
Le président du PDCI, Tidjane Thiam (au c.), lors d’un meeting de mobilisation pour l’élection présidentielle d’octobre 2025, à Yopougon, le 15 février 2025. © Sia KAMBOU / AFP
Publié le 14 mai 2025 Lecture : 1 minute.
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Tidjane Thiam a été de nouveau porté à la tête du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), ce mercredi 14 mai, à l’issue d’un vote organisé lors d’un congrès extraordinaire. Seul candidat en lice, il a remporté 99,77 % des suffrages.
Lundi, il avait annoncé se mettre en retrait de la tête du parti alors qu’il était menacé par une procédure intentée par Valérie Yapo, une cadre du parti qui, en contestant sa nationalité ivoirienne au moment de sa première élection en décembre 2023, menaçait de le faire destituer lors d’une audience qui doit se tenir le 15 mai.
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La décision de Tidjane Thiam de « remettre son mandat entre les mains des militants » visait à contrer cette procédure. Et c’est Ernest N’Koumo Mobio, 92 ans, ancien maire d’Abidjan et doyen d’âge des vice-présidents du PDCI, qui avait aussitôt pris les rênes du parti, assurant un très bref intérim. Dans la foulée, il avait créé pour Thiam un poste de « président délégué », qui lui permettait de conserver les commandes du PDCI.
Menacé de destitution, il avait démissionné en début de semaine. Cette nouvelle élection pourrait lui permettre de contrer les manoeuvres de ses adversaires à l’intérieur du parti.
Le président du PDCI, Tidjane Thiam (au c.), lors d’un meeting de mobilisation pour l’élection présidentielle d’octobre 2025, à Yopougon, le 15 février 2025. © Sia KAMBOU / AFP
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Tidjane Thiam a été de nouveau porté à la tête du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), ce mercredi 14 mai, à l’issue d’un vote organisé lors d’un congrès extraordinaire. Seul candidat en lice, il a remporté 99,77 % des suffrages.
Lundi, il avait annoncé se mettre en retrait de la tête du parti alors qu’il était menacé par une procédure intentée par Valérie Yapo, une cadre du parti qui, en contestant sa nationalité ivoirienne au moment de sa première élection en décembre 2023, menaçait de le faire destituer lors d’une audience qui doit se tenir le 15 mai.
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La décision de Tidjane Thiam de « remettre son mandat entre les mains des militants » visait à contrer cette procédure. Et c’est Ernest N’Koumo Mobio, 92 ans, ancien maire d’Abidjan et doyen d’âge des vice-présidents du PDCI, qui avait aussitôt pris les rênes du parti, assurant un très bref intérim. Dans la foulée, il avait créé pour Thiam un poste de « président délégué », qui lui permettait de conserver les commandes du PDCI.
Menacé de destitution, il avait démissionné en début de semaine. Cette nouvelle élection pourrait lui permettre de contrer les manoeuvres de ses adversaires à l’intérieur du parti.
Le président du PDCI, Tidjane Thiam (au c.), lors d’un meeting de mobilisation pour l’élection présidentielle d’octobre 2025, à Yopougon, le 15 février 2025. © Sia KAMBOU / AFP
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Lundi, il avait annoncé se mettre en retrait de la tête du parti alors qu’il était menacé par une procédure intentée par Valérie Yapo, une cadre du parti qui, en contestant sa nationalité ivoirienne au moment de sa première élection en décembre 2023, menaçait de le faire destituer lors d’une audience qui doit se tenir le 15 mai.
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Menacé de destitution, il avait démissionné en début de semaine. Cette nouvelle élection pourrait lui permettre de contrer les manoeuvres de ses adversaires à l’intérieur du parti.
Le président du PDCI, Tidjane Thiam (au c.), lors d’un meeting de mobilisation pour l’élection présidentielle d’octobre 2025, à Yopougon, le 15 février 2025. © Sia KAMBOU / AFP
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Tidjane Thiam a été de nouveau porté à la tête du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), ce mercredi 14 mai, à l’issue d’un vote organisé lors d’un congrès extraordinaire. Seul candidat en lice, il a remporté 99,77 % des suffrages.
Lundi, il avait annoncé se mettre en retrait de la tête du parti alors qu’il était menacé par une procédure intentée par Valérie Yapo, une cadre du parti qui, en contestant sa nationalité ivoirienne au moment de sa première élection en décembre 2023, menaçait de le faire destituer lors d’une audience qui doit se tenir le 15 mai.
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