BlomNews
Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Se connecter
  • Registre
  • Accueil
  • Monde
  • Afrique
    • Cameroun
    • Centrafrique
    • Côte d’Ivoire
    • Guinée conakry
    • Sénégal
    • Gabon
    • Congo
    • Congo kinshasa
    • Mali
    • Togo
    • Niger
    • Tchad
    • Burkina Faso
    • Bénin
  • Politique
  • Economie
  • Tech
SE CONNECTER
S'ABONNER
  • Accueil
  • Monde
  • Afrique
    • Cameroun
    • Centrafrique
    • Côte d’Ivoire
    • Guinée conakry
    • Sénégal
    • Gabon
    • Congo
    • Congo kinshasa
    • Mali
    • Togo
    • Niger
    • Tchad
    • Burkina Faso
    • Bénin
  • Politique
  • Economie
  • Tech
Aucun résultat
Voir tous les résultats
BlomNews
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Accueil Gabon

Crise à l’Église universelle du royaume de Dieu du Gabon : Discrimination, cupidité et néocolonialisme ? | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Desire-Clitandre Dzonteu Par Desire-Clitandre Dzonteu
25 février 2025
Temps de lecture :3 minutes de lecture
0 0
0
crise-a-l’eglise-universelle-du-royaume-de-dieu-du-gabon :-discrimination,-cupidite-et-neocolonialisme ?-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|

#image_title

Pourtant censés apporter la paix, le réconfort à leurs fidèles et répandre l’amour à leurs prochains, les responsables brésiliens de l’Église universelle du royaume de Dieu du Gabon sont en crise avec les pasteurs et membres gabonais de cette congrégation. Depuis quelques jours, des images amateurs captées par des téléphones et dévoilées sur les réseaux sociaux témoignent d’une atmosphère délétère au sein de cette église. On évoque un conflit ouvert entre pasteurs brésiliens et gabonais où les premiers cités sont accusés de discrimination, de cupidité et de néocolonialisme.

Les Gabonais de cette Église attendent le rétablissement de l’équilibre, d’une gestion équitable et parcimonieuse de cette congrégation. © Union-Sonapresse

Accusations de discrimination, de néocolonialisme, désaccords sur la gestion financière de l’Église, conflits d’intérêts, cupidité sont quelques griefs ayant ouvert la voie à un conflit relayé sur les réseaux sociaux entre les pasteurs gabonais et la hiérarchie brésilienne de l’Église universelle du royaume de Dieu (IURD) au Gabon. Supposé être un lieu de recueillement, de paix, de réconfort et d’amour où on prône d’«arrêter de souffrir», ce temple est plutôt secoué par des affaires n’honorant pas son rôle premier. Depuis le début de la semaine, des images abondamment relayées sur les réseaux sociaux présentent des pugilats d’un autre âge, témoignage d’un climat grégaire dans ce lieu de culte.

Le ras-le-bol a été exprimé le dimanche dernier lorsque les pasteurs gabonais, s’estimant avoir été longtemps marginalisés par leurs collègues brésiliens ont décidé de rompre l’omerta. «Nous sommes fatigués avec la situation au Gabon», a déclaré l’un des pasteurs gabonais.

Accompagné de ses collègues gabonais et des membres de cette assemblée, il a décrit la situation qui les amène à s’insurger et surtout à rompre ce silence. S’adressant à leur supérieur au Brésil, ce prêchant a déclaré : «nous constatons au Gabon que les évêques et les pasteurs que vous envoyés ici ne font pas ce que vous, vous faites. Nous constatons que ce qui se passe au Brésil n’est pas ce qui se passe en Afrique».

«Ils sont en train de s’enrichir dans l’église»

Décidé à ne plus subir le joug des pasteurs brésiliens, le porte-parole de ce groupe a demandé le départ des missionnaires brésiliens du Gabon. «Ils sont évêques et pasteurs de l’Église. Le deuxième du pays, c’est un Brésilien. Les comptables de l’Église, ce sont des Brésiliens, toute la direction de l’Église est aux mains des Brésiliens. Et celui qui a été nommé président de l’Église au Gabon a été envoyé en province. Pour tout ce qui se passe dans l’église, cette personne n’est pas au courant», a-t-il expliqué, dénonçant le fait qu’«ils sont en train de s’enrichir dans l’église».

Pour les révoltés de cette Église, leurs confères brésiliens «arrivent au Gabon et achètent des voitures que seuls les ministres peuvent conduire, tandis que le peuple est en train de souffrir».

La situation est donc précaire au sein de cette communauté où on a même enregistré une escalade verbale lors d’une altercation. Et les fidèles contestataires en appellent à une intervention directe de l’évêque Edir Macedo Bezerra, fondateur de cette église, afin qu’il rétablisse l’équilibre, une gestion équitable et parcimonieuse de cette congrégation.

Soulignant qu’ils ne sont pas xénophobes, mais réclamant seulement justice, équité et probité, les Gabonais membres de cette Église n’ont eu de cesse de saluer les dirigeants brésiliens ayant jadis dirigé la destinée de cette structure. Et ce, dans la droiture, la concertation, le dialogue, la conciliation et le respect d’autrui.

Voir Plus Voir Plus Voir Plus
PUBLICITÉ

Pourtant censés apporter la paix, le réconfort à leurs fidèles et répandre l’amour à leurs prochains, les responsables brésiliens de l’Église universelle du royaume de Dieu du Gabon sont en crise avec les pasteurs et membres gabonais de cette congrégation. Depuis quelques jours, des images amateurs captées par des téléphones et dévoilées sur les réseaux sociaux témoignent d’une atmosphère délétère au sein de cette église. On évoque un conflit ouvert entre pasteurs brésiliens et gabonais où les premiers cités sont accusés de discrimination, de cupidité et de néocolonialisme.

Les Gabonais de cette Église attendent le rétablissement de l’équilibre, d’une gestion équitable et parcimonieuse de cette congrégation. © Union-Sonapresse

Accusations de discrimination, de néocolonialisme, désaccords sur la gestion financière de l’Église, conflits d’intérêts, cupidité sont quelques griefs ayant ouvert la voie à un conflit relayé sur les réseaux sociaux entre les pasteurs gabonais et la hiérarchie brésilienne de l’Église universelle du royaume de Dieu (IURD) au Gabon. Supposé être un lieu de recueillement, de paix, de réconfort et d’amour où on prône d’«arrêter de souffrir», ce temple est plutôt secoué par des affaires n’honorant pas son rôle premier. Depuis le début de la semaine, des images abondamment relayées sur les réseaux sociaux présentent des pugilats d’un autre âge, témoignage d’un climat grégaire dans ce lieu de culte.

Le ras-le-bol a été exprimé le dimanche dernier lorsque les pasteurs gabonais, s’estimant avoir été longtemps marginalisés par leurs collègues brésiliens ont décidé de rompre l’omerta. «Nous sommes fatigués avec la situation au Gabon», a déclaré l’un des pasteurs gabonais.

Accompagné de ses collègues gabonais et des membres de cette assemblée, il a décrit la situation qui les amène à s’insurger et surtout à rompre ce silence. S’adressant à leur supérieur au Brésil, ce prêchant a déclaré : «nous constatons au Gabon que les évêques et les pasteurs que vous envoyés ici ne font pas ce que vous, vous faites. Nous constatons que ce qui se passe au Brésil n’est pas ce qui se passe en Afrique».

«Ils sont en train de s’enrichir dans l’église»

Décidé à ne plus subir le joug des pasteurs brésiliens, le porte-parole de ce groupe a demandé le départ des missionnaires brésiliens du Gabon. «Ils sont évêques et pasteurs de l’Église. Le deuxième du pays, c’est un Brésilien. Les comptables de l’Église, ce sont des Brésiliens, toute la direction de l’Église est aux mains des Brésiliens. Et celui qui a été nommé président de l’Église au Gabon a été envoyé en province. Pour tout ce qui se passe dans l’église, cette personne n’est pas au courant», a-t-il expliqué, dénonçant le fait qu’«ils sont en train de s’enrichir dans l’église».

Pour les révoltés de cette Église, leurs confères brésiliens «arrivent au Gabon et achètent des voitures que seuls les ministres peuvent conduire, tandis que le peuple est en train de souffrir».

La situation est donc précaire au sein de cette communauté où on a même enregistré une escalade verbale lors d’une altercation. Et les fidèles contestataires en appellent à une intervention directe de l’évêque Edir Macedo Bezerra, fondateur de cette église, afin qu’il rétablisse l’équilibre, une gestion équitable et parcimonieuse de cette congrégation.

Soulignant qu’ils ne sont pas xénophobes, mais réclamant seulement justice, équité et probité, les Gabonais membres de cette Église n’ont eu de cesse de saluer les dirigeants brésiliens ayant jadis dirigé la destinée de cette structure. Et ce, dans la droiture, la concertation, le dialogue, la conciliation et le respect d’autrui.

RELATED POSTS

Réparations, ZLECAF et Washington : le triple message d’Oligui au sommet de Malabo | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Affaire Bongo : «On ne fait pas de la justice, on fait du cinéma», dénonce Maître Sur | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

“33 Export Corporate Championship” : Une 4ᵉ édition sous le signe du développement durable | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Pourtant censés apporter la paix, le réconfort à leurs fidèles et répandre l’amour à leurs prochains, les responsables brésiliens de l’Église universelle du royaume de Dieu du Gabon sont en crise avec les pasteurs et membres gabonais de cette congrégation. Depuis quelques jours, des images amateurs captées par des téléphones et dévoilées sur les réseaux sociaux témoignent d’une atmosphère délétère au sein de cette église. On évoque un conflit ouvert entre pasteurs brésiliens et gabonais où les premiers cités sont accusés de discrimination, de cupidité et de néocolonialisme.

Les Gabonais de cette Église attendent le rétablissement de l’équilibre, d’une gestion équitable et parcimonieuse de cette congrégation. © Union-Sonapresse

Accusations de discrimination, de néocolonialisme, désaccords sur la gestion financière de l’Église, conflits d’intérêts, cupidité sont quelques griefs ayant ouvert la voie à un conflit relayé sur les réseaux sociaux entre les pasteurs gabonais et la hiérarchie brésilienne de l’Église universelle du royaume de Dieu (IURD) au Gabon. Supposé être un lieu de recueillement, de paix, de réconfort et d’amour où on prône d’«arrêter de souffrir», ce temple est plutôt secoué par des affaires n’honorant pas son rôle premier. Depuis le début de la semaine, des images abondamment relayées sur les réseaux sociaux présentent des pugilats d’un autre âge, témoignage d’un climat grégaire dans ce lieu de culte.

Le ras-le-bol a été exprimé le dimanche dernier lorsque les pasteurs gabonais, s’estimant avoir été longtemps marginalisés par leurs collègues brésiliens ont décidé de rompre l’omerta. «Nous sommes fatigués avec la situation au Gabon», a déclaré l’un des pasteurs gabonais.

Accompagné de ses collègues gabonais et des membres de cette assemblée, il a décrit la situation qui les amène à s’insurger et surtout à rompre ce silence. S’adressant à leur supérieur au Brésil, ce prêchant a déclaré : «nous constatons au Gabon que les évêques et les pasteurs que vous envoyés ici ne font pas ce que vous, vous faites. Nous constatons que ce qui se passe au Brésil n’est pas ce qui se passe en Afrique».

«Ils sont en train de s’enrichir dans l’église»

Décidé à ne plus subir le joug des pasteurs brésiliens, le porte-parole de ce groupe a demandé le départ des missionnaires brésiliens du Gabon. «Ils sont évêques et pasteurs de l’Église. Le deuxième du pays, c’est un Brésilien. Les comptables de l’Église, ce sont des Brésiliens, toute la direction de l’Église est aux mains des Brésiliens. Et celui qui a été nommé président de l’Église au Gabon a été envoyé en province. Pour tout ce qui se passe dans l’église, cette personne n’est pas au courant», a-t-il expliqué, dénonçant le fait qu’«ils sont en train de s’enrichir dans l’église».

Pour les révoltés de cette Église, leurs confères brésiliens «arrivent au Gabon et achètent des voitures que seuls les ministres peuvent conduire, tandis que le peuple est en train de souffrir».

La situation est donc précaire au sein de cette communauté où on a même enregistré une escalade verbale lors d’une altercation. Et les fidèles contestataires en appellent à une intervention directe de l’évêque Edir Macedo Bezerra, fondateur de cette église, afin qu’il rétablisse l’équilibre, une gestion équitable et parcimonieuse de cette congrégation.

Soulignant qu’ils ne sont pas xénophobes, mais réclamant seulement justice, équité et probité, les Gabonais membres de cette Église n’ont eu de cesse de saluer les dirigeants brésiliens ayant jadis dirigé la destinée de cette structure. Et ce, dans la droiture, la concertation, le dialogue, la conciliation et le respect d’autrui.

Voir Plus Voir Plus Voir Plus
PUBLICITÉ

Pourtant censés apporter la paix, le réconfort à leurs fidèles et répandre l’amour à leurs prochains, les responsables brésiliens de l’Église universelle du royaume de Dieu du Gabon sont en crise avec les pasteurs et membres gabonais de cette congrégation. Depuis quelques jours, des images amateurs captées par des téléphones et dévoilées sur les réseaux sociaux témoignent d’une atmosphère délétère au sein de cette église. On évoque un conflit ouvert entre pasteurs brésiliens et gabonais où les premiers cités sont accusés de discrimination, de cupidité et de néocolonialisme.

Les Gabonais de cette Église attendent le rétablissement de l’équilibre, d’une gestion équitable et parcimonieuse de cette congrégation. © Union-Sonapresse

Accusations de discrimination, de néocolonialisme, désaccords sur la gestion financière de l’Église, conflits d’intérêts, cupidité sont quelques griefs ayant ouvert la voie à un conflit relayé sur les réseaux sociaux entre les pasteurs gabonais et la hiérarchie brésilienne de l’Église universelle du royaume de Dieu (IURD) au Gabon. Supposé être un lieu de recueillement, de paix, de réconfort et d’amour où on prône d’«arrêter de souffrir», ce temple est plutôt secoué par des affaires n’honorant pas son rôle premier. Depuis le début de la semaine, des images abondamment relayées sur les réseaux sociaux présentent des pugilats d’un autre âge, témoignage d’un climat grégaire dans ce lieu de culte.

Le ras-le-bol a été exprimé le dimanche dernier lorsque les pasteurs gabonais, s’estimant avoir été longtemps marginalisés par leurs collègues brésiliens ont décidé de rompre l’omerta. «Nous sommes fatigués avec la situation au Gabon», a déclaré l’un des pasteurs gabonais.

Accompagné de ses collègues gabonais et des membres de cette assemblée, il a décrit la situation qui les amène à s’insurger et surtout à rompre ce silence. S’adressant à leur supérieur au Brésil, ce prêchant a déclaré : «nous constatons au Gabon que les évêques et les pasteurs que vous envoyés ici ne font pas ce que vous, vous faites. Nous constatons que ce qui se passe au Brésil n’est pas ce qui se passe en Afrique».

«Ils sont en train de s’enrichir dans l’église»

Décidé à ne plus subir le joug des pasteurs brésiliens, le porte-parole de ce groupe a demandé le départ des missionnaires brésiliens du Gabon. «Ils sont évêques et pasteurs de l’Église. Le deuxième du pays, c’est un Brésilien. Les comptables de l’Église, ce sont des Brésiliens, toute la direction de l’Église est aux mains des Brésiliens. Et celui qui a été nommé président de l’Église au Gabon a été envoyé en province. Pour tout ce qui se passe dans l’église, cette personne n’est pas au courant», a-t-il expliqué, dénonçant le fait qu’«ils sont en train de s’enrichir dans l’église».

Pour les révoltés de cette Église, leurs confères brésiliens «arrivent au Gabon et achètent des voitures que seuls les ministres peuvent conduire, tandis que le peuple est en train de souffrir».

La situation est donc précaire au sein de cette communauté où on a même enregistré une escalade verbale lors d’une altercation. Et les fidèles contestataires en appellent à une intervention directe de l’évêque Edir Macedo Bezerra, fondateur de cette église, afin qu’il rétablisse l’équilibre, une gestion équitable et parcimonieuse de cette congrégation.

Soulignant qu’ils ne sont pas xénophobes, mais réclamant seulement justice, équité et probité, les Gabonais membres de cette Église n’ont eu de cesse de saluer les dirigeants brésiliens ayant jadis dirigé la destinée de cette structure. Et ce, dans la droiture, la concertation, le dialogue, la conciliation et le respect d’autrui.

author avatar
Desire-Clitandre Dzonteu
See Full Bio
Tags: Gabon actualitégabon media timeLibreville info
PartageTweet
Desire-Clitandre Dzonteu

Desire-Clitandre Dzonteu

En rapportArticles

reparations,-zlecaf-et-washington-:-le-triple-message-d’oligui-au-sommet-de-malabo-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

Réparations, ZLECAF et Washington : le triple message d’Oligui au sommet de Malabo | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

13 juillet 2025
0
affaire-bongo-:-«on-ne-fait-pas-de-la-justice,-on-fait-du-cinema»,-denonce-maitre-sur-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

Affaire Bongo : «On ne fait pas de la justice, on fait du cinéma», dénonce Maître Sur | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

13 juillet 2025
0
“33-export-corporate-championship”-:-une-4ᵉ-edition-sous-le-signe-du-developpement-durable-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

“33 Export Corporate Championship” : Une 4ᵉ édition sous le signe du développement durable | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

12 juillet 2025
0
marine-marchande-:-le-sport-reprend-ses-droits-apres-une-decennie-d’oubli-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

Marine Marchande : le sport reprend ses droits après une décennie d’oubli | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

12 juillet 2025
0
legislatives-et-locales-2025 :-les-depots-de-candidatures-reportes-et-fixes-du-27-juillet-au-7-aout-2025-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

Législatives et Locales 2025 : les dépôts de candidatures reportés et fixés du 27 juillet au 7 août 2025 | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

11 juillet 2025
0
industrialisation-du-bois-:-un-nouveau-ppp-pour-dynamiser-la-transformation-locale-au-gabon-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

Industrialisation du bois : un nouveau PPP pour dynamiser la transformation locale au Gabon | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

11 juillet 2025
0
Article suivant
communique-valant-droit-de-reponse-du-collectif-des-avocats-de-m.-eko-eko-leopold-mawime-–-kalara-hebdo

COMMUNIQUE VALANT DROIT DE REPONSE DU COLLECTIF DES AVOCATS DE M. EKO EKO LEOPOLD MAWIME - Kalara Hebdo

est-de-la-rdc :-pourquoi-l’ue-n’a-pas-sanctionne-le-rwanda-–-jeune-afrique.com

Est de la RDC : pourquoi l’UE n’a pas sanctionné le Rwanda - Jeune Afrique.com

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended Stories

le-maroc-peut-il-encore-se-rever-en-eldorado-petrolier-et-gazier-?

Le Maroc peut-il encore se rêver en eldorado pétrolier et gazier ?

3 juillet 2025
0
admassu-tadesse-(tdb) :-« bnp-paribas,-societe-generale-ou-citibank-n’ont-pas-assez-d’appetit-pour-le-risque »-–-jeune-afrique.com

Admassu Tadesse (TDB) : « BNP Paribas, Société générale ou Citibank n’ont pas assez d’appétit pour le risque » – Jeune Afrique.com

3 février 2025
0
pdg-:-onanga-y’obegue-&-cie-instaurent-un-directoire-provisoire-de-redressement-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|

PDG : Onanga Y’Obegue & Cie instaurent un Directoire provisoire de redressement | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

31 janvier 2025
0

Popular Stories

  • Mahamat Abbas Tolli : Un Tchadien en route vers la présidence de la BAD

    Mahamat Abbas Tolli : Un Tchadien en route vers la présidence de la BAD

    0 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Le président Assoumani réapparaît après une tentative d’assassinat aux Comores

    2 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Ayachi Zammel, opposant à Kaïs Saïed, condamné à 20 mois de prison pour fraude électorale

    5 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Le Sénégal face à une crise de la dette : Bassirou Diomaye Faye sous pression

    60 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Législatives au Sénégal : Dernier jour de campagne sous tension

    0 Partages
    Partage 0 Tweet 0
BlomNews

Nous proposons des solutions de monétisation de vos contenus, veuillez vous connecter à notre réseau social Fanzzy se connecter »

Articles récents

  • Présidentielle au Cameroun : Paul Biya annonce sa candidature
  • Tanzanie : l’ambassadeur à Cuba démissionne et dénonce des pratiques gouvernementales contraires aux « droits humains »
  • Réparations, ZLECAF et Washington : le triple message d’Oligui au sommet de Malabo | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Catégories

  • Afrique
  • Bénin
  • BREAKING NEWS
  • Burkina Faso
  • Cameroun
  • Centrafrique
  • Congo
  • Congo kinshasa
  • Conseils
  • Côte d'Ivoire
  • Economie
  • Faits Divers
  • Gabon
  • Guinée conakry
  • Mali
  • Monde
  • Niger
  • Nigeria
  • Politique
  • Sénégal
  • Sport
  • Tchad
  • Tech
  • Togo
  • Uncategorized
  • Vidéo

Nos Conditions

  • Privacy Policy
  • Conditions d’utilisations

© 2024 INFOAFRIQUEs

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password? Sign Up

Create New Account!

Fill the forms bellow to register

All fields are required. Log In

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In

Add New Playlist

Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Monde
  • Cameroun
  • Gabon
    • Centrafrique
      • Tchad
  • Congo kinshasa
    • Congo
  • Côte d’Ivoire
    • Guinée conakry
      • Togo
  • Sénégal
    • Mali
      • Niger
  • Voyage
  • Tech
  • Subscription
  • Contact Us

© 2024 INFOAFRIQUEs

Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?