Publié le 30 décembre 2024 Lecture : 1 minute.
« L’arrestation arbitraire d’Aliou Bah s’inscrit dans la politique d’élimination systématique des personnes opposées à l’arbitraire et aux excès du Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD) », ont déclaré dans un communiqué 150 universitaires et journalistes.
« Nous voulons dire haut et fort notre refus de la terreur. Nous voulons réitérer avec force et conviction notre indignation face à la continuité de la brutalité du pouvoir », poursuivent-ils. Un communiqué de la fondation de l’innovation pour la démocratie, signé par l’historien camerounais Achille Mbembe, a également exigé la libération immédiate de l’homme politique.
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Il s’insurge « du retour spectaculaire » dans la région « des violations graves des droits humains, de la restriction de l’espace civique, de la volonté de faire taire et de pousser à l’exil toutes les voix dissidentes », qui s’accompagnent de « la recrudescence d’enlèvements, de séquestration, de kidnapping et de disparitions forcées ».
Dimanche, un communiqué de son parti politique a exigé « la libération immédiate et sans condition » d’Aliou Bah et s’indignait « de ses conditions de détention dégradantes ».
D’autres opposants portés disparus
En plus d’Aliou Bah, deux opposants sont portés disparus depuis leur arrestation par des hommes armés en juillet. Par ailleurs, deux officiers, dont l’ancien chef d’état-major de l’armée et ex-numéro deux du régime militaire et un médecin, sont morts dans des circonstances obscures après leur arrestation ces derniers mois.
Un journaliste, Habib Marouane Camara, qui dirige le site Lerevelateur224, a été arrêté le 4 décembre par des hommes en uniforme dans la banlieue de la capitale Conakry, selon ses avocats et un syndicat de presse qui affirment ignorer où il se trouve.
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La junte s’était initialement engagée, sous la pression internationale, à céder la place à des civils élus avant fin 2024. Elle a fait savoir depuis qu’elle ne tiendrait pas sa promesse. L’opposition dénonce un exercice de plus en plus autoritaire du pouvoir et de multiples violations des droits.
(Avec AFP)
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« L’arrestation arbitraire d’Aliou Bah s’inscrit dans la politique d’élimination systématique des personnes opposées à l’arbitraire et aux excès du Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD) », ont déclaré dans un communiqué 150 universitaires et journalistes.
« Nous voulons dire haut et fort notre refus de la terreur. Nous voulons réitérer avec force et conviction notre indignation face à la continuité de la brutalité du pouvoir », poursuivent-ils. Un communiqué de la fondation de l’innovation pour la démocratie, signé par l’historien camerounais Achille Mbembe, a également exigé la libération immédiate de l’homme politique.
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Dimanche, un communiqué de son parti politique a exigé « la libération immédiate et sans condition » d’Aliou Bah et s’indignait « de ses conditions de détention dégradantes ».
D’autres opposants portés disparus
En plus d’Aliou Bah, deux opposants sont portés disparus depuis leur arrestation par des hommes armés en juillet. Par ailleurs, deux officiers, dont l’ancien chef d’état-major de l’armée et ex-numéro deux du régime militaire et un médecin, sont morts dans des circonstances obscures après leur arrestation ces derniers mois.
Un journaliste, Habib Marouane Camara, qui dirige le site Lerevelateur224, a été arrêté le 4 décembre par des hommes en uniforme dans la banlieue de la capitale Conakry, selon ses avocats et un syndicat de presse qui affirment ignorer où il se trouve.
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(Avec AFP)
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« Nous voulons dire haut et fort notre refus de la terreur. Nous voulons réitérer avec force et conviction notre indignation face à la continuité de la brutalité du pouvoir », poursuivent-ils. Un communiqué de la fondation de l’innovation pour la démocratie, signé par l’historien camerounais Achille Mbembe, a également exigé la libération immédiate de l’homme politique.
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Dimanche, un communiqué de son parti politique a exigé « la libération immédiate et sans condition » d’Aliou Bah et s’indignait « de ses conditions de détention dégradantes ».
D’autres opposants portés disparus
En plus d’Aliou Bah, deux opposants sont portés disparus depuis leur arrestation par des hommes armés en juillet. Par ailleurs, deux officiers, dont l’ancien chef d’état-major de l’armée et ex-numéro deux du régime militaire et un médecin, sont morts dans des circonstances obscures après leur arrestation ces derniers mois.
Un journaliste, Habib Marouane Camara, qui dirige le site Lerevelateur224, a été arrêté le 4 décembre par des hommes en uniforme dans la banlieue de la capitale Conakry, selon ses avocats et un syndicat de presse qui affirment ignorer où il se trouve.
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D’autres opposants portés disparus
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