Habitué à faire cavalier seul, le Parti destourien libre d’Abir Moussi a surpris en proposant, le 24 mai, de créer un mouvement unissant les principales forces d’opposition, dont beaucoup de leaders sont aujourd’hui poursuivis ou emprisonnés. Reste à connaître le périmètre exact de cette coalition et à observer de quel soutien elle disposera au sein de la société tunisienne.

Thameur Saad, membre du bureau exécutif du Parti destourien libre (PDL) devant un portrait d’Abir Moussi. © DR
Publié le 28 mai 2025 Lecture : 4 minutes.
Fichier généré le
L’initiative, venue du Parti destourien libre (PDL), surprend. D’abord parce que depuis l’offensive sur les institutions lancée le 25 juillet 2021 par le président Kaïs Saïed, celui-ci n’a eu de cesse de s’imposer comme le principal, voire le seul, acteur de la vie politique. Et ce au détriment de la société civile, des associations mais aussi et surtout des partis. Ensuite parce que ces dernières
la suite après cette publicité
Habitué à faire cavalier seul, le Parti destourien libre d’Abir Moussi a surpris en proposant, le 24 mai, de créer un mouvement unissant les principales forces d’opposition, dont beaucoup de leaders sont aujourd’hui poursuivis ou emprisonnés. Reste à connaître le périmètre exact de cette coalition et à observer de quel soutien elle disposera au sein de la société tunisienne.

Thameur Saad, membre du bureau exécutif du Parti destourien libre (PDL) devant un portrait d’Abir Moussi. © DR
Publié le 28 mai 2025 Lecture : 4 minutes.
Fichier généré le
L’initiative, venue du Parti destourien libre (PDL), surprend. D’abord parce que depuis l’offensive sur les institutions lancée le 25 juillet 2021 par le président Kaïs Saïed, celui-ci n’a eu de cesse de s’imposer comme le principal, voire le seul, acteur de la vie politique. Et ce au détriment de la société civile, des associations mais aussi et surtout des partis. Ensuite parce que ces dernières
la suite après cette publicité
Habitué à faire cavalier seul, le Parti destourien libre d’Abir Moussi a surpris en proposant, le 24 mai, de créer un mouvement unissant les principales forces d’opposition, dont beaucoup de leaders sont aujourd’hui poursuivis ou emprisonnés. Reste à connaître le périmètre exact de cette coalition et à observer de quel soutien elle disposera au sein de la société tunisienne.

Thameur Saad, membre du bureau exécutif du Parti destourien libre (PDL) devant un portrait d’Abir Moussi. © DR
Publié le 28 mai 2025 Lecture : 4 minutes.
Fichier généré le
L’initiative, venue du Parti destourien libre (PDL), surprend. D’abord parce que depuis l’offensive sur les institutions lancée le 25 juillet 2021 par le président Kaïs Saïed, celui-ci n’a eu de cesse de s’imposer comme le principal, voire le seul, acteur de la vie politique. Et ce au détriment de la société civile, des associations mais aussi et surtout des partis. Ensuite parce que ces dernières
la suite après cette publicité
Habitué à faire cavalier seul, le Parti destourien libre d’Abir Moussi a surpris en proposant, le 24 mai, de créer un mouvement unissant les principales forces d’opposition, dont beaucoup de leaders sont aujourd’hui poursuivis ou emprisonnés. Reste à connaître le périmètre exact de cette coalition et à observer de quel soutien elle disposera au sein de la société tunisienne.

Thameur Saad, membre du bureau exécutif du Parti destourien libre (PDL) devant un portrait d’Abir Moussi. © DR
Publié le 28 mai 2025 Lecture : 4 minutes.
Fichier généré le
L’initiative, venue du Parti destourien libre (PDL), surprend. D’abord parce que depuis l’offensive sur les institutions lancée le 25 juillet 2021 par le président Kaïs Saïed, celui-ci n’a eu de cesse de s’imposer comme le principal, voire le seul, acteur de la vie politique. Et ce au détriment de la société civile, des associations mais aussi et surtout des partis. Ensuite parce que ces dernières
la suite après cette publicité