Alors que les rebelles, soutenus par le Rwanda, ont pris le contrôle de Bukavu, la capitale régionale du Sud-Kivu, Jeune Afrique a joint plusieurs habitants de la ville. Ceux-ci restent prudents, attendant de savoir quel sort leur réservent les nouveaux maîtres de l’est de la RDC.
À Bukavu, les combats ont fait au moins 26 morts selon le Comité international de la Croix Rouge, qui dénombrait 176 blessés dont 39 par armes le 17 février. © Amani Alimasi/AFP
Publié le 18 février 2025 Lecture : 4 minutes.
Joseph est sorti de chez lui pour la première fois depuis quatre jours, ce 18 février. « Dehors, les gens commencent à sortir en petit nombre mais les nouveaux arrivants font très peur. Ils essaient de semer la terreur pour envoyer un message. La situation n’est pas aussi facile qu’on le croit. La liberté, ce n’est pas maintenant ! », alerte cet observateur de la vie politique locale dont le nom,
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Le M23 et ses soutiens rwandais contrôlent la ville de Goma et ont poursuivi leur avancée vers le Sud-Kivu, où ils ont pénétré dans Bukavu. Les tentatives de médiation se multiplient, sans succès, alors que la pression s’accentue sur le président congolais Félix Tshisekedi. Suivez nos informations sur l’évolution de la situation.
Alors que les rebelles, soutenus par le Rwanda, ont pris le contrôle de Bukavu, la capitale régionale du Sud-Kivu, Jeune Afrique a joint plusieurs habitants de la ville. Ceux-ci restent prudents, attendant de savoir quel sort leur réservent les nouveaux maîtres de l’est de la RDC.
À Bukavu, les combats ont fait au moins 26 morts selon le Comité international de la Croix Rouge, qui dénombrait 176 blessés dont 39 par armes le 17 février. © Amani Alimasi/AFP
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Joseph est sorti de chez lui pour la première fois depuis quatre jours, ce 18 février. « Dehors, les gens commencent à sortir en petit nombre mais les nouveaux arrivants font très peur. Ils essaient de semer la terreur pour envoyer un message. La situation n’est pas aussi facile qu’on le croit. La liberté, ce n’est pas maintenant ! », alerte cet observateur de la vie politique locale dont le nom,
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Joseph est sorti de chez lui pour la première fois depuis quatre jours, ce 18 février. « Dehors, les gens commencent à sortir en petit nombre mais les nouveaux arrivants font très peur. Ils essaient de semer la terreur pour envoyer un message. La situation n’est pas aussi facile qu’on le croit. La liberté, ce n’est pas maintenant ! », alerte cet observateur de la vie politique locale dont le nom,
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