La RDC et le Rwanda ont signé ce 27 juin, sous les auspices des États-Unis, un accord de paix visant à mettre fin au conflit dans l’est du territoire congolais.

La ministre congolaise des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, le secrétaire d’État américain Marco Rubio, et le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, lors de la cérémonie de signature d’une déclaration de principes entre la RDC et le Rwanda, à Washington DC, le 25 avril 2025. © Graeme Sloan/SIPA
Publié le 27 juin 2025 Lecture : 1 minute.
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« C’est un moment important après trente ans de guerre », a déclaré le secrétaire d’État américain Marco Rubio lors d’une cérémonie au département d’État aux côtés de ses homologues du Rwanda et de la RDC. L’Américain a cependant ajouté qu’il y avait encore « beaucoup à faire », malgré la signature d’un accord de paix très attendu ce 27 juin.
Le chef de la diplomatie rwandaise a déclaré que la RDC avait accepté de mettre fin à tout soutien aux Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), des miliciens hutus liés au génocide des Tutsi en 1994. L’accord est « fondé sur l’engagement pris ici de mettre fin de manière irréversible et vérifiable au soutien de l’État aux FDLR et aux milices associées », a déclaré Olivier Nduhungirehe.
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« Cet accord (…) répond aux préoccupations essentielles que la RDC n’a cessé de soulever concernant le respect de ses frontières, le désarmement des groupes armés et le rétablissement de la stabilité », a quant à lui écrit le ministère des Affaires étrangères congolais dans un communiqué. Il « ne représente pas seulement un succès diplomatique, mais une victoire pour les millions de citoyens congolais qui méritent depuis longtemps la paix et la sécurité », a-t-il ajouté.
Jeune Afrique avec AFP
La RDC et le Rwanda ont signé ce 27 juin, sous les auspices des États-Unis, un accord de paix visant à mettre fin au conflit dans l’est du territoire congolais.

La ministre congolaise des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, le secrétaire d’État américain Marco Rubio, et le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, lors de la cérémonie de signature d’une déclaration de principes entre la RDC et le Rwanda, à Washington DC, le 25 avril 2025. © Graeme Sloan/SIPA
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« C’est un moment important après trente ans de guerre », a déclaré le secrétaire d’État américain Marco Rubio lors d’une cérémonie au département d’État aux côtés de ses homologues du Rwanda et de la RDC. L’Américain a cependant ajouté qu’il y avait encore « beaucoup à faire », malgré la signature d’un accord de paix très attendu ce 27 juin.
Le chef de la diplomatie rwandaise a déclaré que la RDC avait accepté de mettre fin à tout soutien aux Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), des miliciens hutus liés au génocide des Tutsi en 1994. L’accord est « fondé sur l’engagement pris ici de mettre fin de manière irréversible et vérifiable au soutien de l’État aux FDLR et aux milices associées », a déclaré Olivier Nduhungirehe.
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« Cet accord (…) répond aux préoccupations essentielles que la RDC n’a cessé de soulever concernant le respect de ses frontières, le désarmement des groupes armés et le rétablissement de la stabilité », a quant à lui écrit le ministère des Affaires étrangères congolais dans un communiqué. Il « ne représente pas seulement un succès diplomatique, mais une victoire pour les millions de citoyens congolais qui méritent depuis longtemps la paix et la sécurité », a-t-il ajouté.
Jeune Afrique avec AFP
La RDC et le Rwanda ont signé ce 27 juin, sous les auspices des États-Unis, un accord de paix visant à mettre fin au conflit dans l’est du territoire congolais.

La ministre congolaise des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, le secrétaire d’État américain Marco Rubio, et le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, lors de la cérémonie de signature d’une déclaration de principes entre la RDC et le Rwanda, à Washington DC, le 25 avril 2025. © Graeme Sloan/SIPA
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Le chef de la diplomatie rwandaise a déclaré que la RDC avait accepté de mettre fin à tout soutien aux Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), des miliciens hutus liés au génocide des Tutsi en 1994. L’accord est « fondé sur l’engagement pris ici de mettre fin de manière irréversible et vérifiable au soutien de l’État aux FDLR et aux milices associées », a déclaré Olivier Nduhungirehe.
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« Cet accord (…) répond aux préoccupations essentielles que la RDC n’a cessé de soulever concernant le respect de ses frontières, le désarmement des groupes armés et le rétablissement de la stabilité », a quant à lui écrit le ministère des Affaires étrangères congolais dans un communiqué. Il « ne représente pas seulement un succès diplomatique, mais une victoire pour les millions de citoyens congolais qui méritent depuis longtemps la paix et la sécurité », a-t-il ajouté.
Jeune Afrique avec AFP
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La ministre congolaise des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, le secrétaire d’État américain Marco Rubio, et le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, lors de la cérémonie de signature d’une déclaration de principes entre la RDC et le Rwanda, à Washington DC, le 25 avril 2025. © Graeme Sloan/SIPA
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« C’est un moment important après trente ans de guerre », a déclaré le secrétaire d’État américain Marco Rubio lors d’une cérémonie au département d’État aux côtés de ses homologues du Rwanda et de la RDC. L’Américain a cependant ajouté qu’il y avait encore « beaucoup à faire », malgré la signature d’un accord de paix très attendu ce 27 juin.
Le chef de la diplomatie rwandaise a déclaré que la RDC avait accepté de mettre fin à tout soutien aux Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), des miliciens hutus liés au génocide des Tutsi en 1994. L’accord est « fondé sur l’engagement pris ici de mettre fin de manière irréversible et vérifiable au soutien de l’État aux FDLR et aux milices associées », a déclaré Olivier Nduhungirehe.
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