Kinshasa et Kigali ont annoncé leur intention de signer à Washington, au plus tard le 2 mai, un pré-accord de paix pour l’est de la RDC. Si les contours de ce deal favorisé par Donald Trump sont flous, il suscite des inquiétudes dans la classe politique congolaise, qui craint que le président Félix Tshisekedi ne brade les ressources du pays.

Le secrétaire d’État américain Marco Rubio (centre), la ministre des Affaires étrangères de la RDC, Therese Kayikwamba Wagner (gauche), et le ministre des Affaires étrangères du Rwanda, Olivier Nduhungirehe (droite), le 25 avril 2025. © Andrew Leyden /NurPhoto via AFP
Publié le 1 mai 2025 Lecture : 5 minutes.
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Tout s’accélère sous l’impulsion de l’administration de Donald Trump, bien décidée à imposer son tempo dans la résolution de la crise sécuritaire qui secoue l’est de la RDC, marquée par la résurgence de la rébellion du M23, soutenue par le Rwanda. Le 25 avril à Washington, une image largement relayée par les médias a marqué les esprits : le secrétaire d’État américain, Marco Rubio, jouant les
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Kinshasa et Kigali ont annoncé leur intention de signer à Washington, au plus tard le 2 mai, un pré-accord de paix pour l’est de la RDC. Si les contours de ce deal favorisé par Donald Trump sont flous, il suscite des inquiétudes dans la classe politique congolaise, qui craint que le président Félix Tshisekedi ne brade les ressources du pays.

Le secrétaire d’État américain Marco Rubio (centre), la ministre des Affaires étrangères de la RDC, Therese Kayikwamba Wagner (gauche), et le ministre des Affaires étrangères du Rwanda, Olivier Nduhungirehe (droite), le 25 avril 2025. © Andrew Leyden /NurPhoto via AFP
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Tout s’accélère sous l’impulsion de l’administration de Donald Trump, bien décidée à imposer son tempo dans la résolution de la crise sécuritaire qui secoue l’est de la RDC, marquée par la résurgence de la rébellion du M23, soutenue par le Rwanda. Le 25 avril à Washington, une image largement relayée par les médias a marqué les esprits : le secrétaire d’État américain, Marco Rubio, jouant les
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Kinshasa et Kigali ont annoncé leur intention de signer à Washington, au plus tard le 2 mai, un pré-accord de paix pour l’est de la RDC. Si les contours de ce deal favorisé par Donald Trump sont flous, il suscite des inquiétudes dans la classe politique congolaise, qui craint que le président Félix Tshisekedi ne brade les ressources du pays.

Le secrétaire d’État américain Marco Rubio (centre), la ministre des Affaires étrangères de la RDC, Therese Kayikwamba Wagner (gauche), et le ministre des Affaires étrangères du Rwanda, Olivier Nduhungirehe (droite), le 25 avril 2025. © Andrew Leyden /NurPhoto via AFP
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Kinshasa et Kigali ont annoncé leur intention de signer à Washington, au plus tard le 2 mai, un pré-accord de paix pour l’est de la RDC. Si les contours de ce deal favorisé par Donald Trump sont flous, il suscite des inquiétudes dans la classe politique congolaise, qui craint que le président Félix Tshisekedi ne brade les ressources du pays.

Le secrétaire d’État américain Marco Rubio (centre), la ministre des Affaires étrangères de la RDC, Therese Kayikwamba Wagner (gauche), et le ministre des Affaires étrangères du Rwanda, Olivier Nduhungirehe (droite), le 25 avril 2025. © Andrew Leyden /NurPhoto via AFP
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