Publié le 12 mai 2025 Lecture : 1 minute.
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Les deux présidents, qui étaient à couteaux tirés il y a quelques semaines seulement, multipliant les invectives par interviews interposées, sont-ils sur la voie de la réconciliation ? C’est l’impression que Paul Kagame et Cyril Ramaphosa ont donnée, ce lundi 12 mai, en ouverture de l’Africa CEO Forum, organisé par Jeune Afrique Media Group à Abidjan.
« Il y a des zones de conflit sur notre continent, des efforts sont faits, certains réussissent, d’autres échouent… Mais cela nous rappelle une chose : nous ne pouvons pas tout faire seuls. Même si nous en avons la capacité, nous devons quand même collaborer avec des partenaires. Mais c’est à nous, Africains, de définir la direction que nous voulons prendre », a déclaré Paul Kagame alors qu’il était interrogé sur l’implication du Qatar et des États-Unis dans les tentatives de médiation entre la RDC et le Rwanda.
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« Compléter, pas contredire »
« Je voudrais compléter plutôt que contredire ce que dit le président Kagame », a répondu Cyril Ramaphosa. « Les processus qui ont eu lieu sur le continent — le processus de Nairobi, de Luanda ou celui de l’Union africaine — ont été absolument essentiels pour poser les bases du maintien de la paix et de la consolidation de la confiance », a-t-il précisé.
Et le chef de l’État sud-africain de glisser, conscient de l’enjeu de cette rencontre publique avec son homologue rwandais : « Certains peuvent penser que le président Kagame et moi sommes en conflit, et que vous alliez assister à des étincelles, puisque nous sommes assis côte à côte ».
« Au final – et le président Kagame le sait – quelles que soient les discussions en cours, elles doivent être validées, approuvées, appropriées par nous, les Africains. Parce que c’est notre continent. C’est nous qui sommes responsables de l’avenir de ce continent », a-t-il conclu.
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Les deux présidents, qui étaient à couteaux tirés il y a quelques semaines seulement, multipliant les invectives par interviews interposées, sont-ils sur la voie de la réconciliation ? C’est l’impression que Paul Kagame et Cyril Ramaphosa ont donnée, ce lundi 12 mai, en ouverture de l’Africa CEO Forum, organisé par Jeune Afrique Media Group à Abidjan.
« Il y a des zones de conflit sur notre continent, des efforts sont faits, certains réussissent, d’autres échouent… Mais cela nous rappelle une chose : nous ne pouvons pas tout faire seuls. Même si nous en avons la capacité, nous devons quand même collaborer avec des partenaires. Mais c’est à nous, Africains, de définir la direction que nous voulons prendre », a déclaré Paul Kagame alors qu’il était interrogé sur l’implication du Qatar et des États-Unis dans les tentatives de médiation entre la RDC et le Rwanda.
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« Compléter, pas contredire »
« Je voudrais compléter plutôt que contredire ce que dit le président Kagame », a répondu Cyril Ramaphosa. « Les processus qui ont eu lieu sur le continent — le processus de Nairobi, de Luanda ou celui de l’Union africaine — ont été absolument essentiels pour poser les bases du maintien de la paix et de la consolidation de la confiance », a-t-il précisé.
Et le chef de l’État sud-africain de glisser, conscient de l’enjeu de cette rencontre publique avec son homologue rwandais : « Certains peuvent penser que le président Kagame et moi sommes en conflit, et que vous alliez assister à des étincelles, puisque nous sommes assis côte à côte ».
« Au final – et le président Kagame le sait – quelles que soient les discussions en cours, elles doivent être validées, approuvées, appropriées par nous, les Africains. Parce que c’est notre continent. C’est nous qui sommes responsables de l’avenir de ce continent », a-t-il conclu.
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« Il y a des zones de conflit sur notre continent, des efforts sont faits, certains réussissent, d’autres échouent… Mais cela nous rappelle une chose : nous ne pouvons pas tout faire seuls. Même si nous en avons la capacité, nous devons quand même collaborer avec des partenaires. Mais c’est à nous, Africains, de définir la direction que nous voulons prendre », a déclaré Paul Kagame alors qu’il était interrogé sur l’implication du Qatar et des États-Unis dans les tentatives de médiation entre la RDC et le Rwanda.
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« Compléter, pas contredire »
« Je voudrais compléter plutôt que contredire ce que dit le président Kagame », a répondu Cyril Ramaphosa. « Les processus qui ont eu lieu sur le continent — le processus de Nairobi, de Luanda ou celui de l’Union africaine — ont été absolument essentiels pour poser les bases du maintien de la paix et de la consolidation de la confiance », a-t-il précisé.
Et le chef de l’État sud-africain de glisser, conscient de l’enjeu de cette rencontre publique avec son homologue rwandais : « Certains peuvent penser que le président Kagame et moi sommes en conflit, et que vous alliez assister à des étincelles, puisque nous sommes assis côte à côte ».
« Au final – et le président Kagame le sait – quelles que soient les discussions en cours, elles doivent être validées, approuvées, appropriées par nous, les Africains. Parce que c’est notre continent. C’est nous qui sommes responsables de l’avenir de ce continent », a-t-il conclu.
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Les deux présidents, qui étaient à couteaux tirés il y a quelques semaines seulement, multipliant les invectives par interviews interposées, sont-ils sur la voie de la réconciliation ? C’est l’impression que Paul Kagame et Cyril Ramaphosa ont donnée, ce lundi 12 mai, en ouverture de l’Africa CEO Forum, organisé par Jeune Afrique Media Group à Abidjan.
« Il y a des zones de conflit sur notre continent, des efforts sont faits, certains réussissent, d’autres échouent… Mais cela nous rappelle une chose : nous ne pouvons pas tout faire seuls. Même si nous en avons la capacité, nous devons quand même collaborer avec des partenaires. Mais c’est à nous, Africains, de définir la direction que nous voulons prendre », a déclaré Paul Kagame alors qu’il était interrogé sur l’implication du Qatar et des États-Unis dans les tentatives de médiation entre la RDC et le Rwanda.
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« Je voudrais compléter plutôt que contredire ce que dit le président Kagame », a répondu Cyril Ramaphosa. « Les processus qui ont eu lieu sur le continent — le processus de Nairobi, de Luanda ou celui de l’Union africaine — ont été absolument essentiels pour poser les bases du maintien de la paix et de la consolidation de la confiance », a-t-il précisé.
Et le chef de l’État sud-africain de glisser, conscient de l’enjeu de cette rencontre publique avec son homologue rwandais : « Certains peuvent penser que le président Kagame et moi sommes en conflit, et que vous alliez assister à des étincelles, puisque nous sommes assis côte à côte ».
« Au final – et le président Kagame le sait – quelles que soient les discussions en cours, elles doivent être validées, approuvées, appropriées par nous, les Africains. Parce que c’est notre continent. C’est nous qui sommes responsables de l’avenir de ce continent », a-t-il conclu.