Au-delà du fait que réunir les présidents congolais et rwandais était une gageure, rien ne dit que la séquence permettra des avancées dans la résolution de la crise dans l’est de la RDC. D’autant que dès le lendemain, les rebelles du M23, soutenus par Kigali, se sont emparés de la ville de Walikale.

Les présidents congolais et rwandais, à Doha le 18 mars 2025. © Ministère des Affaires étrangères du Qatar
Publié le 20 mars 2025 Lecture : 4 minutes.
En l’espace d’un jour, les deux signaux qui laissaient entrevoir une issue à la crise dans l’est de la RDC se sont brusquement éteints. D’abord, il y a eu ces pourparlers directs, prévus pour se tenir le 18 mars à Luanda et auxquels les autorités congolaises et les rebelles du M23 avaient, après des mois de blocage, accepté de participer. Piquée par l’annonce de sanctions européennes, l’Alliance
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Au-delà du fait que réunir les présidents congolais et rwandais était une gageure, rien ne dit que la séquence permettra des avancées dans la résolution de la crise dans l’est de la RDC. D’autant que dès le lendemain, les rebelles du M23, soutenus par Kigali, se sont emparés de la ville de Walikale.

Les présidents congolais et rwandais, à Doha le 18 mars 2025. © Ministère des Affaires étrangères du Qatar
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En l’espace d’un jour, les deux signaux qui laissaient entrevoir une issue à la crise dans l’est de la RDC se sont brusquement éteints. D’abord, il y a eu ces pourparlers directs, prévus pour se tenir le 18 mars à Luanda et auxquels les autorités congolaises et les rebelles du M23 avaient, après des mois de blocage, accepté de participer. Piquée par l’annonce de sanctions européennes, l’Alliance
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Au-delà du fait que réunir les présidents congolais et rwandais était une gageure, rien ne dit que la séquence permettra des avancées dans la résolution de la crise dans l’est de la RDC. D’autant que dès le lendemain, les rebelles du M23, soutenus par Kigali, se sont emparés de la ville de Walikale.

Les présidents congolais et rwandais, à Doha le 18 mars 2025. © Ministère des Affaires étrangères du Qatar
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En l’espace d’un jour, les deux signaux qui laissaient entrevoir une issue à la crise dans l’est de la RDC se sont brusquement éteints. D’abord, il y a eu ces pourparlers directs, prévus pour se tenir le 18 mars à Luanda et auxquels les autorités congolaises et les rebelles du M23 avaient, après des mois de blocage, accepté de participer. Piquée par l’annonce de sanctions européennes, l’Alliance
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Les présidents congolais et rwandais, à Doha le 18 mars 2025. © Ministère des Affaires étrangères du Qatar
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