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Accueil Gabon

Frontière Gabon–Guinée équatoriale : le piège juridique que Malabo s’est tendu lui-même | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Dimitri Mimongo Par Dimitri Mimongo
1 juin 2025
Temps de lecture :3 minutes de lecture
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frontiere-gabon–guinee-equatoriale-:-le-piege-juridique-que-malabo-s’est-tendu-lui-meme-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|

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En tentant de s’appuyer sur une frontière de facto le long de la rivière Kyé, tout en rejetant la Convention de Bata de 1974 qui en constitue la source, la Guinée équatoriale s’est engagée dans une impasse juridique. L’arrêt de la Cour internationale de justice du 19 mai 2025, en consacrant exclusivement la validité de la Convention franco-espagnole de 1900, oblige désormais Malabo à céder plusieurs territoires terrestres au Gabon. Une décision à la fois limpide et implacable, qui révèle les limites d’une stratégie diplomatique fondée sur la dénégation sélective du droit.

À force de nier la vérité historique, la Guinée équatoriale s’est enfermée dans un piège juridique qui s’est refermé sur elle. © D.R.

Alors que le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo se félicitait publiquement, à la suite de l’arrêt rendu par la Cour internationale de justice (CIJ) le 19 mai 2025, d’avoir obtenu la souveraineté sur les îlots contestés de Mbanié, Cocotiers et Conga, ses propos sur la frontière terrestre laissent entrevoir une grave erreur d’interprétation, voire une stratégie à double tranchant qui s’est retournée contre la Guinée équatoriale, ainsi que l’analyse un document PDF anonyme – fort intéressant – circulant largement sur les réseaux sociaux.

En affirmant que la frontière entre les deux pays suivait «le cours de la rivière Kyé, actée dans les années 1970», le chef de l’État équato-guinéen semble ignorer – ou feindre d’ignorer – que cette délimitation découle en réalité de la Convention de Bata de 1974, un texte que la Guinée équatoriale n’a jamais voulu reconnaître formellement. Or, en s’appuyant sur cette logique dans ses revendications, Malabo s’est volontairement enfermée dans une contradiction qui n’a pas échappé à la CIJ.

La Cour tranche en droit, pas en usage

Loin des pratiques frontalières ou des interprétations diplomatiques unilatérales, la CIJ a été limpide dans son arrêt : «le seul titre faisant droit en matière de frontière terrestre est la Convention franco-espagnole de 1900» (paragraphes 155 et 156 de l’arrêt). Ce texte, jamais juridiquement abrogé, fixe une frontière droite suivant le méridien 9° Est de Paris, et non la sinueuse rivière Kyé. Résultat : plusieurs portions de territoire actuellement contrôlées par la Guinée équatoriale, y compris une partie significative de la ville d’Ebebeyin, se trouvent en réalité du côté gabonais, selon cette délimitation.

La Cour souligne d’ailleurs que les deux parties reconnaissaient déjà en 1993 que la ville d’Ebebeyin était en partie située sur le territoire gabonais. Et pourtant, dans sa défense, la Guinée équatoriale a persisté à récuser la convention de Bata tout en s’appuyant sur son tracé de facto – une position juridiquement intenable.

Un arrêt indivisible

L’arrêt du 19 mai 2025 ne saurait être utilisé à la carte. Comme le rappelle le document anonyme cité plus haut, «il ne peut s’agir d’un libre-service dans lequel chacun ne retient que ce qui l’arrange». Autrement dit, la Guinée équatoriale ne peut se réjouir de la rétrocession des îles sans accepter la rétrocession des terres que le droit international, via la convention de 1900, attribue au Gabon.

L’ironie de cette affaire réside donc dans le fait que, en refusant de reconnaître la Convention de Bata de 1974, Malabo a privé sa propre ligne de défense de fondement juridique solide. En voulant éviter une perte de souveraineté sur les îles, elle pourrait désormais être contrainte de céder plusieurs kilomètres carrés de terre ferme.

En somme, à force de nier une vérité historique pourtant favorable dans certaines de ses dispositions, la Guinée équatoriale s’est engagée dans un piège diplomatique et juridique qui s’est refermé sur elle. L’avenir des relations bilatérales dépendra désormais de la capacité des deux États à appliquer intégralement l’arrêt de la CIJ – sans tri sélectif.

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En tentant de s’appuyer sur une frontière de facto le long de la rivière Kyé, tout en rejetant la Convention de Bata de 1974 qui en constitue la source, la Guinée équatoriale s’est engagée dans une impasse juridique. L’arrêt de la Cour internationale de justice du 19 mai 2025, en consacrant exclusivement la validité de la Convention franco-espagnole de 1900, oblige désormais Malabo à céder plusieurs territoires terrestres au Gabon. Une décision à la fois limpide et implacable, qui révèle les limites d’une stratégie diplomatique fondée sur la dénégation sélective du droit.

À force de nier la vérité historique, la Guinée équatoriale s’est enfermée dans un piège juridique qui s’est refermé sur elle. © D.R.

Alors que le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo se félicitait publiquement, à la suite de l’arrêt rendu par la Cour internationale de justice (CIJ) le 19 mai 2025, d’avoir obtenu la souveraineté sur les îlots contestés de Mbanié, Cocotiers et Conga, ses propos sur la frontière terrestre laissent entrevoir une grave erreur d’interprétation, voire une stratégie à double tranchant qui s’est retournée contre la Guinée équatoriale, ainsi que l’analyse un document PDF anonyme – fort intéressant – circulant largement sur les réseaux sociaux.

En affirmant que la frontière entre les deux pays suivait «le cours de la rivière Kyé, actée dans les années 1970», le chef de l’État équato-guinéen semble ignorer – ou feindre d’ignorer – que cette délimitation découle en réalité de la Convention de Bata de 1974, un texte que la Guinée équatoriale n’a jamais voulu reconnaître formellement. Or, en s’appuyant sur cette logique dans ses revendications, Malabo s’est volontairement enfermée dans une contradiction qui n’a pas échappé à la CIJ.

La Cour tranche en droit, pas en usage

Loin des pratiques frontalières ou des interprétations diplomatiques unilatérales, la CIJ a été limpide dans son arrêt : «le seul titre faisant droit en matière de frontière terrestre est la Convention franco-espagnole de 1900» (paragraphes 155 et 156 de l’arrêt). Ce texte, jamais juridiquement abrogé, fixe une frontière droite suivant le méridien 9° Est de Paris, et non la sinueuse rivière Kyé. Résultat : plusieurs portions de territoire actuellement contrôlées par la Guinée équatoriale, y compris une partie significative de la ville d’Ebebeyin, se trouvent en réalité du côté gabonais, selon cette délimitation.

La Cour souligne d’ailleurs que les deux parties reconnaissaient déjà en 1993 que la ville d’Ebebeyin était en partie située sur le territoire gabonais. Et pourtant, dans sa défense, la Guinée équatoriale a persisté à récuser la convention de Bata tout en s’appuyant sur son tracé de facto – une position juridiquement intenable.

Un arrêt indivisible

L’arrêt du 19 mai 2025 ne saurait être utilisé à la carte. Comme le rappelle le document anonyme cité plus haut, «il ne peut s’agir d’un libre-service dans lequel chacun ne retient que ce qui l’arrange». Autrement dit, la Guinée équatoriale ne peut se réjouir de la rétrocession des îles sans accepter la rétrocession des terres que le droit international, via la convention de 1900, attribue au Gabon.

L’ironie de cette affaire réside donc dans le fait que, en refusant de reconnaître la Convention de Bata de 1974, Malabo a privé sa propre ligne de défense de fondement juridique solide. En voulant éviter une perte de souveraineté sur les îles, elle pourrait désormais être contrainte de céder plusieurs kilomètres carrés de terre ferme.

En somme, à force de nier une vérité historique pourtant favorable dans certaines de ses dispositions, la Guinée équatoriale s’est engagée dans un piège diplomatique et juridique qui s’est refermé sur elle. L’avenir des relations bilatérales dépendra désormais de la capacité des deux États à appliquer intégralement l’arrêt de la CIJ – sans tri sélectif.

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À force de nier la vérité historique, la Guinée équatoriale s’est enfermée dans un piège juridique qui s’est refermé sur elle. © D.R.

Alors que le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo se félicitait publiquement, à la suite de l’arrêt rendu par la Cour internationale de justice (CIJ) le 19 mai 2025, d’avoir obtenu la souveraineté sur les îlots contestés de Mbanié, Cocotiers et Conga, ses propos sur la frontière terrestre laissent entrevoir une grave erreur d’interprétation, voire une stratégie à double tranchant qui s’est retournée contre la Guinée équatoriale, ainsi que l’analyse un document PDF anonyme – fort intéressant – circulant largement sur les réseaux sociaux.

En affirmant que la frontière entre les deux pays suivait «le cours de la rivière Kyé, actée dans les années 1970», le chef de l’État équato-guinéen semble ignorer – ou feindre d’ignorer – que cette délimitation découle en réalité de la Convention de Bata de 1974, un texte que la Guinée équatoriale n’a jamais voulu reconnaître formellement. Or, en s’appuyant sur cette logique dans ses revendications, Malabo s’est volontairement enfermée dans une contradiction qui n’a pas échappé à la CIJ.

La Cour tranche en droit, pas en usage

Loin des pratiques frontalières ou des interprétations diplomatiques unilatérales, la CIJ a été limpide dans son arrêt : «le seul titre faisant droit en matière de frontière terrestre est la Convention franco-espagnole de 1900» (paragraphes 155 et 156 de l’arrêt). Ce texte, jamais juridiquement abrogé, fixe une frontière droite suivant le méridien 9° Est de Paris, et non la sinueuse rivière Kyé. Résultat : plusieurs portions de territoire actuellement contrôlées par la Guinée équatoriale, y compris une partie significative de la ville d’Ebebeyin, se trouvent en réalité du côté gabonais, selon cette délimitation.

La Cour souligne d’ailleurs que les deux parties reconnaissaient déjà en 1993 que la ville d’Ebebeyin était en partie située sur le territoire gabonais. Et pourtant, dans sa défense, la Guinée équatoriale a persisté à récuser la convention de Bata tout en s’appuyant sur son tracé de facto – une position juridiquement intenable.

Un arrêt indivisible

L’arrêt du 19 mai 2025 ne saurait être utilisé à la carte. Comme le rappelle le document anonyme cité plus haut, «il ne peut s’agir d’un libre-service dans lequel chacun ne retient que ce qui l’arrange». Autrement dit, la Guinée équatoriale ne peut se réjouir de la rétrocession des îles sans accepter la rétrocession des terres que le droit international, via la convention de 1900, attribue au Gabon.

L’ironie de cette affaire réside donc dans le fait que, en refusant de reconnaître la Convention de Bata de 1974, Malabo a privé sa propre ligne de défense de fondement juridique solide. En voulant éviter une perte de souveraineté sur les îles, elle pourrait désormais être contrainte de céder plusieurs kilomètres carrés de terre ferme.

En somme, à force de nier une vérité historique pourtant favorable dans certaines de ses dispositions, la Guinée équatoriale s’est engagée dans un piège diplomatique et juridique qui s’est refermé sur elle. L’avenir des relations bilatérales dépendra désormais de la capacité des deux États à appliquer intégralement l’arrêt de la CIJ – sans tri sélectif.

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À force de nier la vérité historique, la Guinée équatoriale s’est enfermée dans un piège juridique qui s’est refermé sur elle. © D.R.

Alors que le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo se félicitait publiquement, à la suite de l’arrêt rendu par la Cour internationale de justice (CIJ) le 19 mai 2025, d’avoir obtenu la souveraineté sur les îlots contestés de Mbanié, Cocotiers et Conga, ses propos sur la frontière terrestre laissent entrevoir une grave erreur d’interprétation, voire une stratégie à double tranchant qui s’est retournée contre la Guinée équatoriale, ainsi que l’analyse un document PDF anonyme – fort intéressant – circulant largement sur les réseaux sociaux.

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La Cour tranche en droit, pas en usage

Loin des pratiques frontalières ou des interprétations diplomatiques unilatérales, la CIJ a été limpide dans son arrêt : «le seul titre faisant droit en matière de frontière terrestre est la Convention franco-espagnole de 1900» (paragraphes 155 et 156 de l’arrêt). Ce texte, jamais juridiquement abrogé, fixe une frontière droite suivant le méridien 9° Est de Paris, et non la sinueuse rivière Kyé. Résultat : plusieurs portions de territoire actuellement contrôlées par la Guinée équatoriale, y compris une partie significative de la ville d’Ebebeyin, se trouvent en réalité du côté gabonais, selon cette délimitation.

La Cour souligne d’ailleurs que les deux parties reconnaissaient déjà en 1993 que la ville d’Ebebeyin était en partie située sur le territoire gabonais. Et pourtant, dans sa défense, la Guinée équatoriale a persisté à récuser la convention de Bata tout en s’appuyant sur son tracé de facto – une position juridiquement intenable.

Un arrêt indivisible

L’arrêt du 19 mai 2025 ne saurait être utilisé à la carte. Comme le rappelle le document anonyme cité plus haut, «il ne peut s’agir d’un libre-service dans lequel chacun ne retient que ce qui l’arrange». Autrement dit, la Guinée équatoriale ne peut se réjouir de la rétrocession des îles sans accepter la rétrocession des terres que le droit international, via la convention de 1900, attribue au Gabon.

L’ironie de cette affaire réside donc dans le fait que, en refusant de reconnaître la Convention de Bata de 1974, Malabo a privé sa propre ligne de défense de fondement juridique solide. En voulant éviter une perte de souveraineté sur les îles, elle pourrait désormais être contrainte de céder plusieurs kilomètres carrés de terre ferme.

En somme, à force de nier une vérité historique pourtant favorable dans certaines de ses dispositions, la Guinée équatoriale s’est engagée dans un piège diplomatique et juridique qui s’est refermé sur elle. L’avenir des relations bilatérales dépendra désormais de la capacité des deux États à appliquer intégralement l’arrêt de la CIJ – sans tri sélectif.

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