BlomNews
Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Se connecter
  • Registre
  • Accueil
  • Monde
  • Afrique
    • Cameroun
    • Centrafrique
    • Côte d’Ivoire
    • Guinée conakry
    • Sénégal
    • Gabon
    • Congo
    • Congo kinshasa
    • Mali
    • Togo
    • Niger
    • Tchad
    • Burkina Faso
    • Bénin
  • Politique
  • Economie
  • Tech
SE CONNECTER
S'ABONNER
  • Accueil
  • Monde
  • Afrique
    • Cameroun
    • Centrafrique
    • Côte d’Ivoire
    • Guinée conakry
    • Sénégal
    • Gabon
    • Congo
    • Congo kinshasa
    • Mali
    • Togo
    • Niger
    • Tchad
    • Burkina Faso
    • Bénin
  • Politique
  • Economie
  • Tech
Aucun résultat
Voir tous les résultats
BlomNews
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Accueil Afrique

Gabon : Ali Bongo Ondimba entendu par des juges à Paris

Jeune Afrique avec AFP Par Jeune Afrique avec AFP
1 juillet 2025
Temps de lecture :3 minutes de lecture
0 0
0
gabon-:-ali-bongo-ondimba-entendu-par-des-juges-a-paris

#image_title

Publié le 1 juillet 2025 Lecture : 2 minutes.

Fichier généré le

La plainte avec constitution de partie civile avait été déposée en mai 2024 par Ali Bongo Ondimba, qui a quitté mi-mai le Gabon pour l’Angola, avec son épouse Sylvia et leur fils Noureddin, également plaignants dans cette procédure engagée devant la justice française, tout comme leurs deux autres enfants, Bilal et Jalil. L’ancien président a été entendu mardi 1er juillet en tant que partie civile – un statut de victime – au tribunal judiciaire de Paris, par deux juges d’instruction spécialisées du pôle Crimes contre l’humanité, selon des sources proches du dossier.

Sollicités, les avocats de la famille Bongo, Mes François Zimeray, Pierre-Olivier Sur, Catalina de la Sota et Clara Gérard-Rodriguez, ont exprimé leur « satisfaction face au travail des juges d’instruction » dans cette information judiciaire ouverte en janvier contre X, pour « tortures et actes de barbarie », « enlèvement » et « séquestration en bande organisée ». Selon l’une des sources proches du dossier, « les investigations avancent bien et permettent de trouver des dates, des faits précis et des responsables » des violences dénoncées.

la suite après cette publicité

Une liste de « sept ou huit noms »

Ali Bongo Ondimba avait été renversé le 30 août 2023 par le général Brice Clotaire Oligui Nguema, puis assigné à résidence dans sa résidence de La Sablière, à Libreville. Il était « libre de quitter le pays », selon le pouvoir, « en résidence surveillée » avec « interdiction de quitter sa maison », selon son fils Jalil Bongo. Les avocats de la famille ont dénoncé, depuis ce putsch, des tortures visant Sylvia et Noureddin Bongo : « électrocution », « simulation de noyade », « étranglement » et « privation de nourriture ». « Dix-huit mois à deux sans sortir d’un sous-sol », précise Me Zimeray.

Lors d’une conférence de presse, en janvier, Me Zimeray avait indiqué avoir transmis aux magistrates instructrices « une liste de sept ou huit noms de personnes qui ont perpétré ces tortures ». Son confrère, Me Sur, avait pour sa part affirmé que les juges d’instruction françaises allaient demander aux autorités gabonaises « de faire entendre des personnes » dans le pays. « Et s’il n’y a pas de retour, [elles procéderont] dans un deuxième temps à des mesures plus coercitives », avait avancé l’avocat, évoquant notamment la possibilité d’émettre « des mandats d’arrêt internationaux ».

Brice Clotaire Oligui Nguema, élu officiellement président dès le premier tour lors de l’élection du 12 avril dernier, avait démenti fin mars toute forme de torture.

Plusieurs procédures en cours, au Gabon et en France

La libération de Sylvia et Noureddine Bongo, un mois après le scrutin présidentiel, avait provoqué l’émoi sur les réseaux sociaux, alors que le président Oligui, qui avait promis la tenue d’un « procès équitable » des membres de l’ancienne famille présidentielle, ne s’est, depuis, pas exprimé sur l’affaire.

la suite après cette publicité

Au Gabon, le parquet a tenu à préciser que son épouse et son fils se trouvent actuellement sous un régime de liberté provisoire. Leur remise en liberté n’« interrompt nullement le cours normal de la procédure qui se poursuivra jusqu’à la tenue d’un procès juste, transparent, équitable et dans les délais raisonnables », avait assuré le procureur général de Libreville, après leur arrivée en Angola.

Par ailleurs, la famille Bongo voit onze de ses membres être mis en cause dans une autre procédure parisienne, concernant ses supposés « biens mal acquis ». L’instruction, ouverte en 2010, a été clôturée le 28 mars, et le Parquet national financier doit désormais prononcer ses réquisitions.

Voir Plus Voir Plus Voir Plus
PUBLICITÉ

Publié le 1 juillet 2025 Lecture : 2 minutes.

Fichier généré le

La plainte avec constitution de partie civile avait été déposée en mai 2024 par Ali Bongo Ondimba, qui a quitté mi-mai le Gabon pour l’Angola, avec son épouse Sylvia et leur fils Noureddin, également plaignants dans cette procédure engagée devant la justice française, tout comme leurs deux autres enfants, Bilal et Jalil. L’ancien président a été entendu mardi 1er juillet en tant que partie civile – un statut de victime – au tribunal judiciaire de Paris, par deux juges d’instruction spécialisées du pôle Crimes contre l’humanité, selon des sources proches du dossier.

Sollicités, les avocats de la famille Bongo, Mes François Zimeray, Pierre-Olivier Sur, Catalina de la Sota et Clara Gérard-Rodriguez, ont exprimé leur « satisfaction face au travail des juges d’instruction » dans cette information judiciaire ouverte en janvier contre X, pour « tortures et actes de barbarie », « enlèvement » et « séquestration en bande organisée ». Selon l’une des sources proches du dossier, « les investigations avancent bien et permettent de trouver des dates, des faits précis et des responsables » des violences dénoncées.

la suite après cette publicité

Une liste de « sept ou huit noms »

Ali Bongo Ondimba avait été renversé le 30 août 2023 par le général Brice Clotaire Oligui Nguema, puis assigné à résidence dans sa résidence de La Sablière, à Libreville. Il était « libre de quitter le pays », selon le pouvoir, « en résidence surveillée » avec « interdiction de quitter sa maison », selon son fils Jalil Bongo. Les avocats de la famille ont dénoncé, depuis ce putsch, des tortures visant Sylvia et Noureddin Bongo : « électrocution », « simulation de noyade », « étranglement » et « privation de nourriture ». « Dix-huit mois à deux sans sortir d’un sous-sol », précise Me Zimeray.

Lors d’une conférence de presse, en janvier, Me Zimeray avait indiqué avoir transmis aux magistrates instructrices « une liste de sept ou huit noms de personnes qui ont perpétré ces tortures ». Son confrère, Me Sur, avait pour sa part affirmé que les juges d’instruction françaises allaient demander aux autorités gabonaises « de faire entendre des personnes » dans le pays. « Et s’il n’y a pas de retour, [elles procéderont] dans un deuxième temps à des mesures plus coercitives », avait avancé l’avocat, évoquant notamment la possibilité d’émettre « des mandats d’arrêt internationaux ».

Brice Clotaire Oligui Nguema, élu officiellement président dès le premier tour lors de l’élection du 12 avril dernier, avait démenti fin mars toute forme de torture.

Plusieurs procédures en cours, au Gabon et en France

La libération de Sylvia et Noureddine Bongo, un mois après le scrutin présidentiel, avait provoqué l’émoi sur les réseaux sociaux, alors que le président Oligui, qui avait promis la tenue d’un « procès équitable » des membres de l’ancienne famille présidentielle, ne s’est, depuis, pas exprimé sur l’affaire.

la suite après cette publicité

Au Gabon, le parquet a tenu à préciser que son épouse et son fils se trouvent actuellement sous un régime de liberté provisoire. Leur remise en liberté n’« interrompt nullement le cours normal de la procédure qui se poursuivra jusqu’à la tenue d’un procès juste, transparent, équitable et dans les délais raisonnables », avait assuré le procureur général de Libreville, après leur arrivée en Angola.

Par ailleurs, la famille Bongo voit onze de ses membres être mis en cause dans une autre procédure parisienne, concernant ses supposés « biens mal acquis ». L’instruction, ouverte en 2010, a été clôturée le 28 mars, et le Parquet national financier doit désormais prononcer ses réquisitions.

RELATED POSTS

Présidentielle au Cameroun : Paul Biya annonce sa candidature

Tanzanie : l’ambassadeur à Cuba démissionne et dénonce des pratiques gouvernementales contraires aux « droits humains »

Faure Gnassingbé face au M66 : genèse d’une confrontation

Publié le 1 juillet 2025 Lecture : 2 minutes.

Fichier généré le

La plainte avec constitution de partie civile avait été déposée en mai 2024 par Ali Bongo Ondimba, qui a quitté mi-mai le Gabon pour l’Angola, avec son épouse Sylvia et leur fils Noureddin, également plaignants dans cette procédure engagée devant la justice française, tout comme leurs deux autres enfants, Bilal et Jalil. L’ancien président a été entendu mardi 1er juillet en tant que partie civile – un statut de victime – au tribunal judiciaire de Paris, par deux juges d’instruction spécialisées du pôle Crimes contre l’humanité, selon des sources proches du dossier.

Sollicités, les avocats de la famille Bongo, Mes François Zimeray, Pierre-Olivier Sur, Catalina de la Sota et Clara Gérard-Rodriguez, ont exprimé leur « satisfaction face au travail des juges d’instruction » dans cette information judiciaire ouverte en janvier contre X, pour « tortures et actes de barbarie », « enlèvement » et « séquestration en bande organisée ». Selon l’une des sources proches du dossier, « les investigations avancent bien et permettent de trouver des dates, des faits précis et des responsables » des violences dénoncées.

la suite après cette publicité

Une liste de « sept ou huit noms »

Ali Bongo Ondimba avait été renversé le 30 août 2023 par le général Brice Clotaire Oligui Nguema, puis assigné à résidence dans sa résidence de La Sablière, à Libreville. Il était « libre de quitter le pays », selon le pouvoir, « en résidence surveillée » avec « interdiction de quitter sa maison », selon son fils Jalil Bongo. Les avocats de la famille ont dénoncé, depuis ce putsch, des tortures visant Sylvia et Noureddin Bongo : « électrocution », « simulation de noyade », « étranglement » et « privation de nourriture ». « Dix-huit mois à deux sans sortir d’un sous-sol », précise Me Zimeray.

Lors d’une conférence de presse, en janvier, Me Zimeray avait indiqué avoir transmis aux magistrates instructrices « une liste de sept ou huit noms de personnes qui ont perpétré ces tortures ». Son confrère, Me Sur, avait pour sa part affirmé que les juges d’instruction françaises allaient demander aux autorités gabonaises « de faire entendre des personnes » dans le pays. « Et s’il n’y a pas de retour, [elles procéderont] dans un deuxième temps à des mesures plus coercitives », avait avancé l’avocat, évoquant notamment la possibilité d’émettre « des mandats d’arrêt internationaux ».

Brice Clotaire Oligui Nguema, élu officiellement président dès le premier tour lors de l’élection du 12 avril dernier, avait démenti fin mars toute forme de torture.

Plusieurs procédures en cours, au Gabon et en France

La libération de Sylvia et Noureddine Bongo, un mois après le scrutin présidentiel, avait provoqué l’émoi sur les réseaux sociaux, alors que le président Oligui, qui avait promis la tenue d’un « procès équitable » des membres de l’ancienne famille présidentielle, ne s’est, depuis, pas exprimé sur l’affaire.

la suite après cette publicité

Au Gabon, le parquet a tenu à préciser que son épouse et son fils se trouvent actuellement sous un régime de liberté provisoire. Leur remise en liberté n’« interrompt nullement le cours normal de la procédure qui se poursuivra jusqu’à la tenue d’un procès juste, transparent, équitable et dans les délais raisonnables », avait assuré le procureur général de Libreville, après leur arrivée en Angola.

Par ailleurs, la famille Bongo voit onze de ses membres être mis en cause dans une autre procédure parisienne, concernant ses supposés « biens mal acquis ». L’instruction, ouverte en 2010, a été clôturée le 28 mars, et le Parquet national financier doit désormais prononcer ses réquisitions.

Voir Plus Voir Plus Voir Plus
PUBLICITÉ

Publié le 1 juillet 2025 Lecture : 2 minutes.

Fichier généré le

La plainte avec constitution de partie civile avait été déposée en mai 2024 par Ali Bongo Ondimba, qui a quitté mi-mai le Gabon pour l’Angola, avec son épouse Sylvia et leur fils Noureddin, également plaignants dans cette procédure engagée devant la justice française, tout comme leurs deux autres enfants, Bilal et Jalil. L’ancien président a été entendu mardi 1er juillet en tant que partie civile – un statut de victime – au tribunal judiciaire de Paris, par deux juges d’instruction spécialisées du pôle Crimes contre l’humanité, selon des sources proches du dossier.

Sollicités, les avocats de la famille Bongo, Mes François Zimeray, Pierre-Olivier Sur, Catalina de la Sota et Clara Gérard-Rodriguez, ont exprimé leur « satisfaction face au travail des juges d’instruction » dans cette information judiciaire ouverte en janvier contre X, pour « tortures et actes de barbarie », « enlèvement » et « séquestration en bande organisée ». Selon l’une des sources proches du dossier, « les investigations avancent bien et permettent de trouver des dates, des faits précis et des responsables » des violences dénoncées.

la suite après cette publicité

Une liste de « sept ou huit noms »

Ali Bongo Ondimba avait été renversé le 30 août 2023 par le général Brice Clotaire Oligui Nguema, puis assigné à résidence dans sa résidence de La Sablière, à Libreville. Il était « libre de quitter le pays », selon le pouvoir, « en résidence surveillée » avec « interdiction de quitter sa maison », selon son fils Jalil Bongo. Les avocats de la famille ont dénoncé, depuis ce putsch, des tortures visant Sylvia et Noureddin Bongo : « électrocution », « simulation de noyade », « étranglement » et « privation de nourriture ». « Dix-huit mois à deux sans sortir d’un sous-sol », précise Me Zimeray.

Lors d’une conférence de presse, en janvier, Me Zimeray avait indiqué avoir transmis aux magistrates instructrices « une liste de sept ou huit noms de personnes qui ont perpétré ces tortures ». Son confrère, Me Sur, avait pour sa part affirmé que les juges d’instruction françaises allaient demander aux autorités gabonaises « de faire entendre des personnes » dans le pays. « Et s’il n’y a pas de retour, [elles procéderont] dans un deuxième temps à des mesures plus coercitives », avait avancé l’avocat, évoquant notamment la possibilité d’émettre « des mandats d’arrêt internationaux ».

Brice Clotaire Oligui Nguema, élu officiellement président dès le premier tour lors de l’élection du 12 avril dernier, avait démenti fin mars toute forme de torture.

Plusieurs procédures en cours, au Gabon et en France

La libération de Sylvia et Noureddine Bongo, un mois après le scrutin présidentiel, avait provoqué l’émoi sur les réseaux sociaux, alors que le président Oligui, qui avait promis la tenue d’un « procès équitable » des membres de l’ancienne famille présidentielle, ne s’est, depuis, pas exprimé sur l’affaire.

la suite après cette publicité

Au Gabon, le parquet a tenu à préciser que son épouse et son fils se trouvent actuellement sous un régime de liberté provisoire. Leur remise en liberté n’« interrompt nullement le cours normal de la procédure qui se poursuivra jusqu’à la tenue d’un procès juste, transparent, équitable et dans les délais raisonnables », avait assuré le procureur général de Libreville, après leur arrivée en Angola.

Par ailleurs, la famille Bongo voit onze de ses membres être mis en cause dans une autre procédure parisienne, concernant ses supposés « biens mal acquis ». L’instruction, ouverte en 2010, a été clôturée le 28 mars, et le Parquet national financier doit désormais prononcer ses réquisitions.

author avatar
Jeune Afrique avec AFP
See Full Bio
PartageTweet
Jeune Afrique avec AFP

Jeune Afrique avec AFP

En rapportArticles

presidentielle-au-cameroun-:-paul-biya-annonce-sa-candidature
Afrique

Présidentielle au Cameroun : Paul Biya annonce sa candidature

13 juillet 2025
0
tanzanie-:-l’ambassadeur-a-cuba-demissionne-et-denonce-des-pratiques-gouvernementales-contraires-aux-« droits-humains »
Afrique

Tanzanie : l’ambassadeur à Cuba démissionne et dénonce des pratiques gouvernementales contraires aux « droits humains »

13 juillet 2025
0
faure-gnassingbe-face-au-m66 :-genese-d’une-confrontation
Afrique

Faure Gnassingbé face au M66 : genèse d’une confrontation

12 juillet 2025
0
« pas-vexe »-par-la-remarque-de-trump,-le-liberia-se-dit-pret-a-« approfondir-les-liens-avec-les-etats-unis »
Afrique

« Pas vexé » par la remarque de Trump, le Liberia se dit prêt à « approfondir les liens avec les États-Unis »

12 juillet 2025
0
presidentielle-au-cameroun-:-l’election-aura-lieu-le-12-octobre,-selon-un-decret-de-paul-biya
Afrique

Présidentielle au Cameroun : l’élection aura lieu le 12 octobre, selon un décret de Paul Biya

11 juillet 2025
0
jumia,-takealot,-konga…-qu’est-ce-qui-fait-tenir-les-marketplaces-en-afrique-?
Afrique

Jumia, Takealot, Konga… Qu’est-ce qui fait tenir les marketplaces en Afrique ?

11 juillet 2025
0
Article suivant
au-senegal,-la-cour-supreme-confirme-la-condamnation-d’ousmane-sonko-pour-diffamation

Au Sénégal, la Cour suprême confirme la condamnation d’Ousmane Sonko pour diffamation

gestion-durable-des-forets-:-le-gabon-adhere-a-l’atibt-pour-renforcer-la-competitivite-de-ses-bois-tropicaux-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|

Gestion durable des forêts : le Gabon adhère à l’ATIBT pour renforcer la compétitivité de ses bois tropicaux | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended Stories

a-londres,-des-freres-musulmans-libres-d’agir-mais-sous-surveillance

À Londres, des Frères musulmans libres d’agir mais sous surveillance

15 juin 2025
0
un-emprunt-de-98,39-milliards-de-fcfa-pour-le-pudc-:-un-choix-strategique-ou-un-risque-pour-la-dette-publique-?-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|

Un emprunt de 98,39 milliards de FCFA pour le PUDC : un choix stratégique ou un risque pour la dette publique ? | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

23 janvier 2025
0
Afrique-France : Renouveler une Relation en Crise au Sommet de l’OIF

Afrique-France : Renouveler une Relation en Crise au Sommet de l’OIF

4 octobre 2024
524

Popular Stories

  • Mahamat Abbas Tolli : Un Tchadien en route vers la présidence de la BAD

    Mahamat Abbas Tolli : Un Tchadien en route vers la présidence de la BAD

    0 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Le président Assoumani réapparaît après une tentative d’assassinat aux Comores

    2 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Ayachi Zammel, opposant à Kaïs Saïed, condamné à 20 mois de prison pour fraude électorale

    5 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Le Sénégal face à une crise de la dette : Bassirou Diomaye Faye sous pression

    60 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Législatives au Sénégal : Dernier jour de campagne sous tension

    0 Partages
    Partage 0 Tweet 0
BlomNews

Nous proposons des solutions de monétisation de vos contenus, veuillez vous connecter à notre réseau social Fanzzy se connecter »

Articles récents

  • Présidentielle au Cameroun : Paul Biya annonce sa candidature
  • Tanzanie : l’ambassadeur à Cuba démissionne et dénonce des pratiques gouvernementales contraires aux « droits humains »
  • Réparations, ZLECAF et Washington : le triple message d’Oligui au sommet de Malabo | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Catégories

  • Afrique
  • Bénin
  • BREAKING NEWS
  • Burkina Faso
  • Cameroun
  • Centrafrique
  • Congo
  • Congo kinshasa
  • Conseils
  • Côte d'Ivoire
  • Economie
  • Faits Divers
  • Gabon
  • Guinée conakry
  • Mali
  • Monde
  • Niger
  • Nigeria
  • Politique
  • Sénégal
  • Sport
  • Tchad
  • Tech
  • Togo
  • Uncategorized
  • Vidéo

Nos Conditions

  • Privacy Policy
  • Conditions d’utilisations

© 2024 INFOAFRIQUEs

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password? Sign Up

Create New Account!

Fill the forms bellow to register

All fields are required. Log In

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In

Add New Playlist

Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Monde
  • Cameroun
  • Gabon
    • Centrafrique
      • Tchad
  • Congo kinshasa
    • Congo
  • Côte d’Ivoire
    • Guinée conakry
      • Togo
  • Sénégal
    • Mali
      • Niger
  • Voyage
  • Tech
  • Subscription
  • Contact Us

© 2024 INFOAFRIQUEs

Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?