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Accueil Gabon

Gabon Hold-up : un projet routier, un ministre, une banque, un jackpot personnel | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Tokyo Yabangoye Par Tokyo Yabangoye
2 juillet 2025
Temps de lecture :3 minutes de lecture
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gabon-hold-up-:-un-projet-routier,-un-ministre,-une-banque,-un-jackpot-personnel-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|

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140 milliards de FCFA d’argent public prêtés par une banque à l’État… dont le patron est justement le ministre qui signe le chèque. Henri-Claude Oyima empoche les dividendes d’un côté et dirige les finances nationales de l’autre. Un scandale d’État qui se normalise mais fait de chaque projet public un jackpot privé.

Henri-Claude Oyima (au milieu), le 28 juin 2025 au palais présidentiel, lors de la signature la convention entre l’État gabonais et l’entreprise Porteo BTP pour l’aménagement et le bitumage du tronçon routier Alembe–Mikouyi (300 km). © Facebook/Présidence de la République Gabonaise

Un prêt de 140 milliards de FCFA pour bitumer la route Alembé–Mikouyi : en apparence, un partenariat public-privé ambitieux. En réalité, une opération qui interpelle. Derrière ce financement, un nom : Henri-Claude Oyima. Ministre d’État chargé de l’Économie, mais aussi président-directeur général de BGFIBank, l’établissement prêteur. Une double casquette qui brouille les lignes entre intérêt général et enrichissement privé.

L’accord , en effet, été signé par Oyima au nom de l’État… et contresigné par lui-même au nom de la banque. À ce stade, ce n’est plus une ambiguïté, mais une convergence d’intérêts assumée. Le taux d’intérêt du prêt, pourtant colossal, n’a jamais été dévoilé. Un silence révélateur, dans un pays en quête de transparence post-transition.

Le chantier, confié à Porteo BTP, est présenté comme structurant pour le pays. Mais ce n’est pas la route qui fait scandale, c’est son financement. Dans les coulisses, un montage aux allures de délit d’initié. Car Oyima n’est pas seulement décideur : il est aussi actionnaire majeur du groupe bancaire via sa holding familiale Nahor Capital, qui détient 27 % de BGFI Holding Corporation SA. Ainsi, une opération de l’État devient alors une source directe de revenus pour lui.

Petit calcul : à 5 % d’intérêt à titre d’exemple, les 140 milliards empruntés généreraient 7 milliards annuels. Avec 27 % de parts dans l’établissement prêteur, cela équivaut à environ 1,9 milliard FCFA par an pour Nahor Capital. Ce chiffre surpasse de 24 fois le salaire annuel officiel annuel d’un ministre d’État (78 millions FCFA). Une rémunération privée, décuplée par des décisions publiques.

Depuis son entrée au gouvernement, Oyima a fait de BGFI le banquier quasi-exclusif du Trésor public. Des comptes publics y ont fleuri, les dépôts d’État s’y accumulent. Les esprits critiques font le parallèle avec le scandale du «Congo Hold-up», où la même banque fut au cœur d’un siphonnage massif des finances congolaises au profit du clan Kabila. Ici aussi, les ingrédients d’une prédation silencieuse sont réunis.

Lever le voile sur les contrats BGFI

L’affaire Oyima est un test pour la «Nouvelle République» d’Oligui Nguema. Le président, arrivé au pouvoir au nom de la rupture, avait misé sur l’expertise d’un banquier chevronné. Mais la créature semble échapper au contrôle. Oyima a bien promis de «prendre du recul»… tout en restant président du conseil. Un recul à géométrie très variable.

Deux urgences s’imposent : d’une part, lever le voile sur les conditions exactes des contrats passés avec BGFI – taux, commissions, échéances ; d’autre part, trancher clairement le nœud Oyima : ou bien il reste ministre, ou bien il reste banquier. Pas les deux.

Le feuilleton ne fait que commencer. Et il dira, à lui seul, si le Gabon change vraiment de cap ou s’il continue à rouler en boucle sur les mêmes ornières.

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140 milliards de FCFA d’argent public prêtés par une banque à l’État… dont le patron est justement le ministre qui signe le chèque. Henri-Claude Oyima empoche les dividendes d’un côté et dirige les finances nationales de l’autre. Un scandale d’État qui se normalise mais fait de chaque projet public un jackpot privé.

Henri-Claude Oyima (au milieu), le 28 juin 2025 au palais présidentiel, lors de la signature la convention entre l’État gabonais et l’entreprise Porteo BTP pour l’aménagement et le bitumage du tronçon routier Alembe–Mikouyi (300 km). © Facebook/Présidence de la République Gabonaise

Un prêt de 140 milliards de FCFA pour bitumer la route Alembé–Mikouyi : en apparence, un partenariat public-privé ambitieux. En réalité, une opération qui interpelle. Derrière ce financement, un nom : Henri-Claude Oyima. Ministre d’État chargé de l’Économie, mais aussi président-directeur général de BGFIBank, l’établissement prêteur. Une double casquette qui brouille les lignes entre intérêt général et enrichissement privé.

L’accord , en effet, été signé par Oyima au nom de l’État… et contresigné par lui-même au nom de la banque. À ce stade, ce n’est plus une ambiguïté, mais une convergence d’intérêts assumée. Le taux d’intérêt du prêt, pourtant colossal, n’a jamais été dévoilé. Un silence révélateur, dans un pays en quête de transparence post-transition.

Le chantier, confié à Porteo BTP, est présenté comme structurant pour le pays. Mais ce n’est pas la route qui fait scandale, c’est son financement. Dans les coulisses, un montage aux allures de délit d’initié. Car Oyima n’est pas seulement décideur : il est aussi actionnaire majeur du groupe bancaire via sa holding familiale Nahor Capital, qui détient 27 % de BGFI Holding Corporation SA. Ainsi, une opération de l’État devient alors une source directe de revenus pour lui.

Petit calcul : à 5 % d’intérêt à titre d’exemple, les 140 milliards empruntés généreraient 7 milliards annuels. Avec 27 % de parts dans l’établissement prêteur, cela équivaut à environ 1,9 milliard FCFA par an pour Nahor Capital. Ce chiffre surpasse de 24 fois le salaire annuel officiel annuel d’un ministre d’État (78 millions FCFA). Une rémunération privée, décuplée par des décisions publiques.

Depuis son entrée au gouvernement, Oyima a fait de BGFI le banquier quasi-exclusif du Trésor public. Des comptes publics y ont fleuri, les dépôts d’État s’y accumulent. Les esprits critiques font le parallèle avec le scandale du «Congo Hold-up», où la même banque fut au cœur d’un siphonnage massif des finances congolaises au profit du clan Kabila. Ici aussi, les ingrédients d’une prédation silencieuse sont réunis.

Lever le voile sur les contrats BGFI

L’affaire Oyima est un test pour la «Nouvelle République» d’Oligui Nguema. Le président, arrivé au pouvoir au nom de la rupture, avait misé sur l’expertise d’un banquier chevronné. Mais la créature semble échapper au contrôle. Oyima a bien promis de «prendre du recul»… tout en restant président du conseil. Un recul à géométrie très variable.

Deux urgences s’imposent : d’une part, lever le voile sur les conditions exactes des contrats passés avec BGFI – taux, commissions, échéances ; d’autre part, trancher clairement le nœud Oyima : ou bien il reste ministre, ou bien il reste banquier. Pas les deux.

Le feuilleton ne fait que commencer. Et il dira, à lui seul, si le Gabon change vraiment de cap ou s’il continue à rouler en boucle sur les mêmes ornières.

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Un prêt de 140 milliards de FCFA pour bitumer la route Alembé–Mikouyi : en apparence, un partenariat public-privé ambitieux. En réalité, une opération qui interpelle. Derrière ce financement, un nom : Henri-Claude Oyima. Ministre d’État chargé de l’Économie, mais aussi président-directeur général de BGFIBank, l’établissement prêteur. Une double casquette qui brouille les lignes entre intérêt général et enrichissement privé.

L’accord , en effet, été signé par Oyima au nom de l’État… et contresigné par lui-même au nom de la banque. À ce stade, ce n’est plus une ambiguïté, mais une convergence d’intérêts assumée. Le taux d’intérêt du prêt, pourtant colossal, n’a jamais été dévoilé. Un silence révélateur, dans un pays en quête de transparence post-transition.

Le chantier, confié à Porteo BTP, est présenté comme structurant pour le pays. Mais ce n’est pas la route qui fait scandale, c’est son financement. Dans les coulisses, un montage aux allures de délit d’initié. Car Oyima n’est pas seulement décideur : il est aussi actionnaire majeur du groupe bancaire via sa holding familiale Nahor Capital, qui détient 27 % de BGFI Holding Corporation SA. Ainsi, une opération de l’État devient alors une source directe de revenus pour lui.

Petit calcul : à 5 % d’intérêt à titre d’exemple, les 140 milliards empruntés généreraient 7 milliards annuels. Avec 27 % de parts dans l’établissement prêteur, cela équivaut à environ 1,9 milliard FCFA par an pour Nahor Capital. Ce chiffre surpasse de 24 fois le salaire annuel officiel annuel d’un ministre d’État (78 millions FCFA). Une rémunération privée, décuplée par des décisions publiques.

Depuis son entrée au gouvernement, Oyima a fait de BGFI le banquier quasi-exclusif du Trésor public. Des comptes publics y ont fleuri, les dépôts d’État s’y accumulent. Les esprits critiques font le parallèle avec le scandale du «Congo Hold-up», où la même banque fut au cœur d’un siphonnage massif des finances congolaises au profit du clan Kabila. Ici aussi, les ingrédients d’une prédation silencieuse sont réunis.

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L’affaire Oyima est un test pour la «Nouvelle République» d’Oligui Nguema. Le président, arrivé au pouvoir au nom de la rupture, avait misé sur l’expertise d’un banquier chevronné. Mais la créature semble échapper au contrôle. Oyima a bien promis de «prendre du recul»… tout en restant président du conseil. Un recul à géométrie très variable.

Deux urgences s’imposent : d’une part, lever le voile sur les conditions exactes des contrats passés avec BGFI – taux, commissions, échéances ; d’autre part, trancher clairement le nœud Oyima : ou bien il reste ministre, ou bien il reste banquier. Pas les deux.

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Un prêt de 140 milliards de FCFA pour bitumer la route Alembé–Mikouyi : en apparence, un partenariat public-privé ambitieux. En réalité, une opération qui interpelle. Derrière ce financement, un nom : Henri-Claude Oyima. Ministre d’État chargé de l’Économie, mais aussi président-directeur général de BGFIBank, l’établissement prêteur. Une double casquette qui brouille les lignes entre intérêt général et enrichissement privé.

L’accord , en effet, été signé par Oyima au nom de l’État… et contresigné par lui-même au nom de la banque. À ce stade, ce n’est plus une ambiguïté, mais une convergence d’intérêts assumée. Le taux d’intérêt du prêt, pourtant colossal, n’a jamais été dévoilé. Un silence révélateur, dans un pays en quête de transparence post-transition.

Le chantier, confié à Porteo BTP, est présenté comme structurant pour le pays. Mais ce n’est pas la route qui fait scandale, c’est son financement. Dans les coulisses, un montage aux allures de délit d’initié. Car Oyima n’est pas seulement décideur : il est aussi actionnaire majeur du groupe bancaire via sa holding familiale Nahor Capital, qui détient 27 % de BGFI Holding Corporation SA. Ainsi, une opération de l’État devient alors une source directe de revenus pour lui.

Petit calcul : à 5 % d’intérêt à titre d’exemple, les 140 milliards empruntés généreraient 7 milliards annuels. Avec 27 % de parts dans l’établissement prêteur, cela équivaut à environ 1,9 milliard FCFA par an pour Nahor Capital. Ce chiffre surpasse de 24 fois le salaire annuel officiel annuel d’un ministre d’État (78 millions FCFA). Une rémunération privée, décuplée par des décisions publiques.

Depuis son entrée au gouvernement, Oyima a fait de BGFI le banquier quasi-exclusif du Trésor public. Des comptes publics y ont fleuri, les dépôts d’État s’y accumulent. Les esprits critiques font le parallèle avec le scandale du «Congo Hold-up», où la même banque fut au cœur d’un siphonnage massif des finances congolaises au profit du clan Kabila. Ici aussi, les ingrédients d’une prédation silencieuse sont réunis.

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L’affaire Oyima est un test pour la «Nouvelle République» d’Oligui Nguema. Le président, arrivé au pouvoir au nom de la rupture, avait misé sur l’expertise d’un banquier chevronné. Mais la créature semble échapper au contrôle. Oyima a bien promis de «prendre du recul»… tout en restant président du conseil. Un recul à géométrie très variable.

Deux urgences s’imposent : d’une part, lever le voile sur les conditions exactes des contrats passés avec BGFI – taux, commissions, échéances ; d’autre part, trancher clairement le nœud Oyima : ou bien il reste ministre, ou bien il reste banquier. Pas les deux.

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