L’ancienne famille présidentielle a été entendue par la justice française dans le cadre de sa plainte contre les autorités gabonaises, qu’elle accuse de « tortures et actes de barbarie », « enlèvement » et « séquestration en bande organisée ». Coulisses.

Ali Bongo Ondimba (à dr.) et son épouse Sylvia Bongo Ondimba (à g.) à l’abbaye de Westminster, dans le centre de Londres, le samedi 6 mai 2023. © Ben Stansall/AP/SIPA
Publié le 2 juillet 2025 Lecture : 3 minutes.
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« Tout aurait pu se passer différemment », relève un proche du dossier. Fin 2023, un premier accord est trouvé entre la défense des Bongo, alors tous incarcérés ou en résidence surveillée, et l’exécutif gabonais. Si les détails de l’arrangement concernant des sociétés et le patrimoine de l’ancienne famille présidentielle ne sont pas connus, les grandes lignes sont simples : une libération sans
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Jeune Afrique
L’ancienne famille présidentielle a été entendue par la justice française dans le cadre de sa plainte contre les autorités gabonaises, qu’elle accuse de « tortures et actes de barbarie », « enlèvement » et « séquestration en bande organisée ». Coulisses.

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« Tout aurait pu se passer différemment », relève un proche du dossier. Fin 2023, un premier accord est trouvé entre la défense des Bongo, alors tous incarcérés ou en résidence surveillée, et l’exécutif gabonais. Si les détails de l’arrangement concernant des sociétés et le patrimoine de l’ancienne famille présidentielle ne sont pas connus, les grandes lignes sont simples : une libération sans
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L’ancienne famille présidentielle a été entendue par la justice française dans le cadre de sa plainte contre les autorités gabonaises, qu’elle accuse de « tortures et actes de barbarie », « enlèvement » et « séquestration en bande organisée ». Coulisses.

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