BlomNews
Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Se connecter
  • Registre
  • Accueil
  • Monde
  • Afrique
    • Cameroun
    • Centrafrique
    • Côte d’Ivoire
    • Guinée conakry
    • Sénégal
    • Gabon
    • Congo
    • Congo kinshasa
    • Mali
    • Togo
    • Niger
    • Tchad
    • Burkina Faso
    • Bénin
  • Politique
  • Economie
  • Tech
SE CONNECTER
S'ABONNER
  • Accueil
  • Monde
  • Afrique
    • Cameroun
    • Centrafrique
    • Côte d’Ivoire
    • Guinée conakry
    • Sénégal
    • Gabon
    • Congo
    • Congo kinshasa
    • Mali
    • Togo
    • Niger
    • Tchad
    • Burkina Faso
    • Bénin
  • Politique
  • Economie
  • Tech
Aucun résultat
Voir tous les résultats
BlomNews
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Accueil Gabon

Gabon : Manifestation contre l’exil de Sylvia, Noureddine et Ali Bongo | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Desire-Clitandre Dzonteu Par Desire-Clitandre Dzonteu
19 mai 2025
Temps de lecture :3 minutes de lecture
0 0
0
gabon :-manifestation-contre-l’exil-de-sylvia,-noureddine-et-ali-bongo-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|

#image_title

poste par Désiré-Clitandre Dzonteu / 19 mai, 2025

Au lendemain du départ de l’ex-famille présidentielle pour l’Angleterre, l’association Réconciliation, regroupant les victimes des violences post-électorales de 2016, a organisé, ce lundi 19 mai, un mouvement pacifique de protestation, devant le ministère de la Justice. Ses membres réclament justice et demandent réparation des torts qu’ils ont subis lors des événements post-électoraux de cette année-là.

Quelques membres de l’association Réconciliation lors d’une précédente sortie au palais de justice. © D.R.

Après leur arrestation et détention à la prison centrale de Libreville, Sylvia et Noureddine Bongo, l’épouse et le fils aîné de l’ex-président, Ali Bongo Ondimba, ont été sortis et remis en résidence surveillée, le 9 mai dernier. Mais quelques jours plus tard, avec l’ancien chef de l’État, ils ont regagné MayFair à Londres, après une escale à Luanda. Une situation qui a «bouleversé» les «victimes» des violences intervenues à la suite des résultats de la présidentielle de 2016. 

La manifestation conduite par Aïcha Tsoumbou, présidente de l’association Réconciliation, a eu pour ambition de manifester le mécontentement des membres de son association «face à la décision prise par la justice» en faveur de l’ex Première dame et son fils. Vendredi 16 mai dernier, en effet, le procureur général près la Cour d’appel de Libreville, Eddy Minang, avait fait le point sur la situation judiciaire de Sylvia Bongo Ondimba et de son fils Nourredin Bongo Valentin. Il expliquait que ces derniers ont obtenu une liberté provisoire pour raisons de santé, jugée incompatible avec la détention.

«Mendiants de l’attention du président»

Ce que n’approuvent pas les membres de l’association Réconciliation. «Nous aussi nous méritons une prise en charge médicale», ont demandé les membres de cette association, se désolant de la tournure des événements et s’en prenant au président de la République.

Si les membres de l’association dénoncent les récurrentes présences de Jean Ping aux côtés de Brice Clotaire Oligui Nguema, ils ne comprennent comment Sylvia Bongo Ondimba et de son fils Nourredin Bongo Valentin ont été remis en liberté. «Comme si cette insulte ne nous suffisait pas, il a encore fallu qu’il vienne sortir la famille Bongo. Pourquoi Bongo était-il libre ? Pourquoi on poursuit le fils et la femme pendant que le père de famille, le chef de famille est lui-même là dehors ?» a questionné la présidente de l’association, se demandant de quelle justice il s’agit.  

Pour elle, «c’est Ali Bongo qui devait être en prison et non Sylvia». Les membres de l’association Réconciliation indiquent qu’ils sont «mendiants de l’attention du président» du fait qu’ils nécessitent des soins. «Nous sommes des Gabonais qui méritons d’être soignés». Estimant avoir encore des séquelles des événements de 2016, ils demandent également une prise en charge à tous les niveaux. «Nous demandons à l’État de nous soigner en urgence», a clamé Aïcha Tsoumbou, insistant sur la nécessité de la manifestation de la vérité.  

«S’il a estimé que Sylvia et Noureddine doivent être dehors parce que leur santé préoccupe, nous aussi, on doit également être évacués pour nous faire soigner», a-t-elle insisté. 

GR

Voir Plus Voir Plus Voir Plus
PUBLICITÉ

poste par Désiré-Clitandre Dzonteu / 19 mai, 2025

Au lendemain du départ de l’ex-famille présidentielle pour l’Angleterre, l’association Réconciliation, regroupant les victimes des violences post-électorales de 2016, a organisé, ce lundi 19 mai, un mouvement pacifique de protestation, devant le ministère de la Justice. Ses membres réclament justice et demandent réparation des torts qu’ils ont subis lors des événements post-électoraux de cette année-là.

Quelques membres de l’association Réconciliation lors d’une précédente sortie au palais de justice. © D.R.

Après leur arrestation et détention à la prison centrale de Libreville, Sylvia et Noureddine Bongo, l’épouse et le fils aîné de l’ex-président, Ali Bongo Ondimba, ont été sortis et remis en résidence surveillée, le 9 mai dernier. Mais quelques jours plus tard, avec l’ancien chef de l’État, ils ont regagné MayFair à Londres, après une escale à Luanda. Une situation qui a «bouleversé» les «victimes» des violences intervenues à la suite des résultats de la présidentielle de 2016. 

La manifestation conduite par Aïcha Tsoumbou, présidente de l’association Réconciliation, a eu pour ambition de manifester le mécontentement des membres de son association «face à la décision prise par la justice» en faveur de l’ex Première dame et son fils. Vendredi 16 mai dernier, en effet, le procureur général près la Cour d’appel de Libreville, Eddy Minang, avait fait le point sur la situation judiciaire de Sylvia Bongo Ondimba et de son fils Nourredin Bongo Valentin. Il expliquait que ces derniers ont obtenu une liberté provisoire pour raisons de santé, jugée incompatible avec la détention.

«Mendiants de l’attention du président»

Ce que n’approuvent pas les membres de l’association Réconciliation. «Nous aussi nous méritons une prise en charge médicale», ont demandé les membres de cette association, se désolant de la tournure des événements et s’en prenant au président de la République.

Si les membres de l’association dénoncent les récurrentes présences de Jean Ping aux côtés de Brice Clotaire Oligui Nguema, ils ne comprennent comment Sylvia Bongo Ondimba et de son fils Nourredin Bongo Valentin ont été remis en liberté. «Comme si cette insulte ne nous suffisait pas, il a encore fallu qu’il vienne sortir la famille Bongo. Pourquoi Bongo était-il libre ? Pourquoi on poursuit le fils et la femme pendant que le père de famille, le chef de famille est lui-même là dehors ?» a questionné la présidente de l’association, se demandant de quelle justice il s’agit.  

Pour elle, «c’est Ali Bongo qui devait être en prison et non Sylvia». Les membres de l’association Réconciliation indiquent qu’ils sont «mendiants de l’attention du président» du fait qu’ils nécessitent des soins. «Nous sommes des Gabonais qui méritons d’être soignés». Estimant avoir encore des séquelles des événements de 2016, ils demandent également une prise en charge à tous les niveaux. «Nous demandons à l’État de nous soigner en urgence», a clamé Aïcha Tsoumbou, insistant sur la nécessité de la manifestation de la vérité.  

«S’il a estimé que Sylvia et Noureddine doivent être dehors parce que leur santé préoccupe, nous aussi, on doit également être évacués pour nous faire soigner», a-t-elle insisté. 

GR

RELATED POSTS

Réforme des partis politiques : «une entreprise de domestication du pluralisme», selon Bilie-By-Nze | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Protection des consommateurs : l’Agasa chiffre ses besoins à 3,3 milliards de FCFA | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Crédits carbone : L’Europe débat, le Gabon à l’écoute | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

poste par Désiré-Clitandre Dzonteu / 19 mai, 2025

Au lendemain du départ de l’ex-famille présidentielle pour l’Angleterre, l’association Réconciliation, regroupant les victimes des violences post-électorales de 2016, a organisé, ce lundi 19 mai, un mouvement pacifique de protestation, devant le ministère de la Justice. Ses membres réclament justice et demandent réparation des torts qu’ils ont subis lors des événements post-électoraux de cette année-là.

Quelques membres de l’association Réconciliation lors d’une précédente sortie au palais de justice. © D.R.

Après leur arrestation et détention à la prison centrale de Libreville, Sylvia et Noureddine Bongo, l’épouse et le fils aîné de l’ex-président, Ali Bongo Ondimba, ont été sortis et remis en résidence surveillée, le 9 mai dernier. Mais quelques jours plus tard, avec l’ancien chef de l’État, ils ont regagné MayFair à Londres, après une escale à Luanda. Une situation qui a «bouleversé» les «victimes» des violences intervenues à la suite des résultats de la présidentielle de 2016. 

La manifestation conduite par Aïcha Tsoumbou, présidente de l’association Réconciliation, a eu pour ambition de manifester le mécontentement des membres de son association «face à la décision prise par la justice» en faveur de l’ex Première dame et son fils. Vendredi 16 mai dernier, en effet, le procureur général près la Cour d’appel de Libreville, Eddy Minang, avait fait le point sur la situation judiciaire de Sylvia Bongo Ondimba et de son fils Nourredin Bongo Valentin. Il expliquait que ces derniers ont obtenu une liberté provisoire pour raisons de santé, jugée incompatible avec la détention.

«Mendiants de l’attention du président»

Ce que n’approuvent pas les membres de l’association Réconciliation. «Nous aussi nous méritons une prise en charge médicale», ont demandé les membres de cette association, se désolant de la tournure des événements et s’en prenant au président de la République.

Si les membres de l’association dénoncent les récurrentes présences de Jean Ping aux côtés de Brice Clotaire Oligui Nguema, ils ne comprennent comment Sylvia Bongo Ondimba et de son fils Nourredin Bongo Valentin ont été remis en liberté. «Comme si cette insulte ne nous suffisait pas, il a encore fallu qu’il vienne sortir la famille Bongo. Pourquoi Bongo était-il libre ? Pourquoi on poursuit le fils et la femme pendant que le père de famille, le chef de famille est lui-même là dehors ?» a questionné la présidente de l’association, se demandant de quelle justice il s’agit.  

Pour elle, «c’est Ali Bongo qui devait être en prison et non Sylvia». Les membres de l’association Réconciliation indiquent qu’ils sont «mendiants de l’attention du président» du fait qu’ils nécessitent des soins. «Nous sommes des Gabonais qui méritons d’être soignés». Estimant avoir encore des séquelles des événements de 2016, ils demandent également une prise en charge à tous les niveaux. «Nous demandons à l’État de nous soigner en urgence», a clamé Aïcha Tsoumbou, insistant sur la nécessité de la manifestation de la vérité.  

«S’il a estimé que Sylvia et Noureddine doivent être dehors parce que leur santé préoccupe, nous aussi, on doit également être évacués pour nous faire soigner», a-t-elle insisté. 

GR

Voir Plus Voir Plus Voir Plus
PUBLICITÉ

poste par Désiré-Clitandre Dzonteu / 19 mai, 2025

Au lendemain du départ de l’ex-famille présidentielle pour l’Angleterre, l’association Réconciliation, regroupant les victimes des violences post-électorales de 2016, a organisé, ce lundi 19 mai, un mouvement pacifique de protestation, devant le ministère de la Justice. Ses membres réclament justice et demandent réparation des torts qu’ils ont subis lors des événements post-électoraux de cette année-là.

Quelques membres de l’association Réconciliation lors d’une précédente sortie au palais de justice. © D.R.

Après leur arrestation et détention à la prison centrale de Libreville, Sylvia et Noureddine Bongo, l’épouse et le fils aîné de l’ex-président, Ali Bongo Ondimba, ont été sortis et remis en résidence surveillée, le 9 mai dernier. Mais quelques jours plus tard, avec l’ancien chef de l’État, ils ont regagné MayFair à Londres, après une escale à Luanda. Une situation qui a «bouleversé» les «victimes» des violences intervenues à la suite des résultats de la présidentielle de 2016. 

La manifestation conduite par Aïcha Tsoumbou, présidente de l’association Réconciliation, a eu pour ambition de manifester le mécontentement des membres de son association «face à la décision prise par la justice» en faveur de l’ex Première dame et son fils. Vendredi 16 mai dernier, en effet, le procureur général près la Cour d’appel de Libreville, Eddy Minang, avait fait le point sur la situation judiciaire de Sylvia Bongo Ondimba et de son fils Nourredin Bongo Valentin. Il expliquait que ces derniers ont obtenu une liberté provisoire pour raisons de santé, jugée incompatible avec la détention.

«Mendiants de l’attention du président»

Ce que n’approuvent pas les membres de l’association Réconciliation. «Nous aussi nous méritons une prise en charge médicale», ont demandé les membres de cette association, se désolant de la tournure des événements et s’en prenant au président de la République.

Si les membres de l’association dénoncent les récurrentes présences de Jean Ping aux côtés de Brice Clotaire Oligui Nguema, ils ne comprennent comment Sylvia Bongo Ondimba et de son fils Nourredin Bongo Valentin ont été remis en liberté. «Comme si cette insulte ne nous suffisait pas, il a encore fallu qu’il vienne sortir la famille Bongo. Pourquoi Bongo était-il libre ? Pourquoi on poursuit le fils et la femme pendant que le père de famille, le chef de famille est lui-même là dehors ?» a questionné la présidente de l’association, se demandant de quelle justice il s’agit.  

Pour elle, «c’est Ali Bongo qui devait être en prison et non Sylvia». Les membres de l’association Réconciliation indiquent qu’ils sont «mendiants de l’attention du président» du fait qu’ils nécessitent des soins. «Nous sommes des Gabonais qui méritons d’être soignés». Estimant avoir encore des séquelles des événements de 2016, ils demandent également une prise en charge à tous les niveaux. «Nous demandons à l’État de nous soigner en urgence», a clamé Aïcha Tsoumbou, insistant sur la nécessité de la manifestation de la vérité.  

«S’il a estimé que Sylvia et Noureddine doivent être dehors parce que leur santé préoccupe, nous aussi, on doit également être évacués pour nous faire soigner», a-t-elle insisté. 

GR

author avatar
Desire-Clitandre Dzonteu
See Full Bio
Tags: Gabon actualitégabon media timeLibreville info
PartageTweet
Desire-Clitandre Dzonteu

Desire-Clitandre Dzonteu

En rapportArticles

reforme-des-partis-politiques :-«une-entreprise-de-domestication-du-pluralisme»,-selon-bilie-by-nze-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

Réforme des partis politiques : «une entreprise de domestication du pluralisme», selon Bilie-By-Nze | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

12 juin 2025
0
protection-des-consommateurs-:-l’agasa-chiffre-ses-besoins-a-3,3-milliards-de-fcfa-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

Protection des consommateurs : l’Agasa chiffre ses besoins à 3,3 milliards de FCFA | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

12 juin 2025
0
credits-carbone-:-l’europe-debat,-le-gabon-a-l’ecoute-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

Crédits carbone : L’Europe débat, le Gabon à l’écoute | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

11 juin 2025
0
promotion-des-energies-renouvelables-:-pacome-rufin-ondzounga-propose-de-legiferer-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

Promotion des énergies renouvelables : Pacôme Rufin Ondzounga propose de légiférer | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

11 juin 2025
0
cooperation-gabon-oit :-a-geneve,-le-gouvernement-veut-renforcer-sa-politique-nationale-de-l’emploi-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

Coopération Gabon-OIT : À Genève, le gouvernement veut renforcer sa politique nationale de l’emploi | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

10 juin 2025
0
gabon-:-ike-ngouoni-et-les-engages-se-lancent-dans-la-politique-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|
Gabon

Gabon : Ike Ngouoni et Les Engagés se lancent dans la politique | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

10 juin 2025
0
Article suivant
1win-—-казино-и-БК-–-kalara-hebdo

1win — казино и БК - Kalara Hebdo

spelen-plinko-in-nederland-–-speel-online-bij-online-casino-–-kalara-hebdo

Spelen Plinko in Nederland - Speel Online bij Online Casino - Kalara Hebdo

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended Stories

gabon-:-au-ministere-du-petrole,-evocation-du-dynamisme-de-la-sogara-pour-couvrir-le-marche-national-|-gabonreview.com-|-actualite-du-gabon-|

Gabon : Au ministère du Pétrole, évocation du dynamisme de la Sogara pour couvrir le marché national | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

20 mai 2025
0
quand-un-juge-pietine-une-decision-du-president-de-la-cour-supreme

Quand un juge piétine une décision du président de la Cour suprême

30 décembre 2024
1
Virus de Marburg : Nouveau bilan de onze morts au Rwanda.

Virus de Marburg : Nouveau bilan de onze morts au Rwanda.

3 octobre 2024
863

Popular Stories

  • Mahamat Abbas Tolli : Un Tchadien en route vers la présidence de la BAD

    Mahamat Abbas Tolli : Un Tchadien en route vers la présidence de la BAD

    0 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Le président Assoumani réapparaît après une tentative d’assassinat aux Comores

    2 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Ayachi Zammel, opposant à Kaïs Saïed, condamné à 20 mois de prison pour fraude électorale

    5 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Le Sénégal face à une crise de la dette : Bassirou Diomaye Faye sous pression

    60 Partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Législatives au Sénégal : Dernier jour de campagne sous tension

    0 Partages
    Partage 0 Tweet 0
BlomNews

Nous proposons des solutions de monétisation de vos contenus, veuillez vous connecter à notre réseau social Fanzzy se connecter »

Articles récents

  • Maroc : qui sont les deux walis démis de leurs fonctions après des manquements durant l’Aïd al-Adha ?
  • Mali : Barrick semble résigné au jour de l’audience devant décider de l’avenir de sa mine
  • Réforme des partis politiques : «une entreprise de domestication du pluralisme», selon Bilie-By-Nze | Gabonreview.com | Actualité du Gabon |

Catégories

  • Afrique
  • Bénin
  • BREAKING NEWS
  • Burkina Faso
  • Cameroun
  • Centrafrique
  • Congo
  • Congo kinshasa
  • Conseils
  • Côte d'Ivoire
  • Economie
  • Faits Divers
  • Gabon
  • Guinée conakry
  • Mali
  • Monde
  • Niger
  • Nigeria
  • Politique
  • Sénégal
  • Sport
  • Tchad
  • Tech
  • Togo
  • Uncategorized
  • Vidéo

Nos Conditions

  • Privacy Policy
  • Conditions d’utilisations

© 2024 INFOAFRIQUEs

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password? Sign Up

Create New Account!

Fill the forms bellow to register

All fields are required. Log In

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In

Add New Playlist

Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Monde
  • Cameroun
  • Gabon
    • Centrafrique
      • Tchad
  • Congo kinshasa
    • Congo
  • Côte d’Ivoire
    • Guinée conakry
      • Togo
  • Sénégal
    • Mali
      • Niger
  • Voyage
  • Tech
  • Subscription
  • Contact Us

© 2024 INFOAFRIQUEs

Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?