Publié le 22 mai 2025 Lecture : 3 minutes.
Fichier généré le
Certains Sud-Africains ne voyaient pas d’un œil favorable la visite officielle de leur président aux États-Unis, craignant que Donald Trump cherche à l’humilier. Et fidèle à lui-même, le milliardaire redevenu président a en effet tendu un « piège » à Cyril Ramaphosa, mercredi 21 mai, poussant l’ancien négociateur de Nelson Mandela dans ses retranchements.
Le chef de l’État sud-africain, qui a tenté de garder son calme d’après les observateurs, a tout de même affirmé à la presse que la rencontre s’était « très bien » passée. Voici ce qu’il faut retenir de la discussion entre les deux hommes, alors que les relations entre Pretoria et Washington sont houleuses depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, en janvier dernier.
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• Une mise en scène orchestrée par Trump
Au beau milieu des échanges avec Cyril Ramaphosa, le président américain a soudain interrompu la conversation pour faire diffuser des images censées démontrer le « génocide blanc » qui serait perpétré en Afrique du Sud. Des vidéos qui, d’après lui, font état de « familles entières » d’agriculteurs blancs fuyant leurs terres et les expropriations forcées. Elon Musk, qui est né en Afrique du Sud et qui a poussé ces rumeurs depuis plusieurs mois, était présent dans le Bureau ovale.
Sur l’une de ces vidéos, on pouvait voir le leader des Economic Freedom Fighters (EFF, opposition), Julius Malema, chanter « Kill the Boer », un chant hérité de la lutte anti-apartheid. La vidéo s’est achevée sur des images d’une manifestation en Afrique du Sud durant laquelle des croix blanches ont été érigées le long d’une route rurale, et dont le Républicain a dit, à tort, qu’elles signalaient des tombes. Elles représentaient en fait des fermiers blancs assassinés.
« This is a very serious situation. If we had a real press, it would be exposed. When it gets exposed, it’ll get fixed. But people don’t talk about it. And I’ll tell you who is talking about it, thousands of people that are fleeing South Africa right now. » –President Trump 🇺🇸 pic.twitter.com/Cu3Or9Mar0
— The White House (@WhiteHouse) May 21, 2025
« Vous leur permettez de prendre les terres, et quand ils prennent les terres, ils tuent le fermier blanc et quand ils tuent le fermier blanc, il ne leur arrive rien », a asséné Donald Trump. Celui-ci a aussi montré des coupures de presse, affirmant qu’elles confirmaient les persécutions en question. L’une des photos présentées venait en réalité de la RDC, selon l’AFP.
• Ramaphosa réfute et tente de temporiser
Comme le rapporte CNN, le président sud-africain, pourtant habitué aux négociations, a eu du mal à « dissimuler son malaise ». Pris par surprise, il a observé la scène « en silence ». Les plaisanteries sur le golf, sport que les deux hommes apprécient beaucoup, n’auront pas suffi à empêcher Donald Trump de mettre en place cette mise en scène, avec l’aide de ses conseillers.
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Confronté aux accusations américaines de « génocide », Cyril Ramaphosa a catégoriquement démenti : « Non, non, non […]. Personne ne peut prendre les terres », a-t-il rétorqué. Il a également souligné que la plupart des victimes de la criminalité, très élevée en Afrique du Sud, sont noires. « Nous avons une démocratie multipartite en Afrique du Sud qui permet aux citoyens de s’exprimer », a-t-il aussi déclaré après la vidéo.
Devant la presse, au terme de cette rencontre, Cyril Ramaphosa a tenté de placer la rencontre sous un jour plus positif : « Cela s’est très bien passé », a-t-il assuré. Il a aussi déclaré qu’ils ne s’étaient « pas attardés » sur les accusations de violences à l’encontre des Blancs lors de leur déjeuner et que leurs deux pays allaient discuter, à l’avenir, de questions commerciales.
« En fin de compte, je pense qu’il y a des doutes et de l’incrédulité dans sa tête à propos de tout cela », a-t-il dit aux journalistes au sujet de Donald Trump et des accusations de « génocide blanc ».
• La question du G20
« Je suis surtout ici pour remettre à zéro les relations entre les États-Unis et l’Afrique du Sud », notamment sur le plan économique, a par ailleurs lancé le président sud-africain, qui espérait principalement pouvoir discuter des liens commerciaux entre Pretoria et Washington.
Alors que Donald Trump avait menacé de ne pas être présent au sommet du G20 en Afrique du Sud en novembre, le chef de l’État sud-africain a affirmé s’attendre à ce que, finalement, le président américain s’y rende. « Je veux transmettre la présidence du G20 au président Trump en novembre, et j’ai dit qu’il devait y être. Je ne veux pas transmettre la présidence à une chaise vide. »
Selon lui, une nouvelle rencontre est également prévue à l’avenir entre les deux hommes.
(Avec AFP)
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Certains Sud-Africains ne voyaient pas d’un œil favorable la visite officielle de leur président aux États-Unis, craignant que Donald Trump cherche à l’humilier. Et fidèle à lui-même, le milliardaire redevenu président a en effet tendu un « piège » à Cyril Ramaphosa, mercredi 21 mai, poussant l’ancien négociateur de Nelson Mandela dans ses retranchements.
Le chef de l’État sud-africain, qui a tenté de garder son calme d’après les observateurs, a tout de même affirmé à la presse que la rencontre s’était « très bien » passée. Voici ce qu’il faut retenir de la discussion entre les deux hommes, alors que les relations entre Pretoria et Washington sont houleuses depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, en janvier dernier.
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• Une mise en scène orchestrée par Trump
Au beau milieu des échanges avec Cyril Ramaphosa, le président américain a soudain interrompu la conversation pour faire diffuser des images censées démontrer le « génocide blanc » qui serait perpétré en Afrique du Sud. Des vidéos qui, d’après lui, font état de « familles entières » d’agriculteurs blancs fuyant leurs terres et les expropriations forcées. Elon Musk, qui est né en Afrique du Sud et qui a poussé ces rumeurs depuis plusieurs mois, était présent dans le Bureau ovale.
Sur l’une de ces vidéos, on pouvait voir le leader des Economic Freedom Fighters (EFF, opposition), Julius Malema, chanter « Kill the Boer », un chant hérité de la lutte anti-apartheid. La vidéo s’est achevée sur des images d’une manifestation en Afrique du Sud durant laquelle des croix blanches ont été érigées le long d’une route rurale, et dont le Républicain a dit, à tort, qu’elles signalaient des tombes. Elles représentaient en fait des fermiers blancs assassinés.
« This is a very serious situation. If we had a real press, it would be exposed. When it gets exposed, it’ll get fixed. But people don’t talk about it. And I’ll tell you who is talking about it, thousands of people that are fleeing South Africa right now. » –President Trump 🇺🇸 pic.twitter.com/Cu3Or9Mar0
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« Vous leur permettez de prendre les terres, et quand ils prennent les terres, ils tuent le fermier blanc et quand ils tuent le fermier blanc, il ne leur arrive rien », a asséné Donald Trump. Celui-ci a aussi montré des coupures de presse, affirmant qu’elles confirmaient les persécutions en question. L’une des photos présentées venait en réalité de la RDC, selon l’AFP.
• Ramaphosa réfute et tente de temporiser
Comme le rapporte CNN, le président sud-africain, pourtant habitué aux négociations, a eu du mal à « dissimuler son malaise ». Pris par surprise, il a observé la scène « en silence ». Les plaisanteries sur le golf, sport que les deux hommes apprécient beaucoup, n’auront pas suffi à empêcher Donald Trump de mettre en place cette mise en scène, avec l’aide de ses conseillers.
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Confronté aux accusations américaines de « génocide », Cyril Ramaphosa a catégoriquement démenti : « Non, non, non […]. Personne ne peut prendre les terres », a-t-il rétorqué. Il a également souligné que la plupart des victimes de la criminalité, très élevée en Afrique du Sud, sont noires. « Nous avons une démocratie multipartite en Afrique du Sud qui permet aux citoyens de s’exprimer », a-t-il aussi déclaré après la vidéo.
Devant la presse, au terme de cette rencontre, Cyril Ramaphosa a tenté de placer la rencontre sous un jour plus positif : « Cela s’est très bien passé », a-t-il assuré. Il a aussi déclaré qu’ils ne s’étaient « pas attardés » sur les accusations de violences à l’encontre des Blancs lors de leur déjeuner et que leurs deux pays allaient discuter, à l’avenir, de questions commerciales.
« En fin de compte, je pense qu’il y a des doutes et de l’incrédulité dans sa tête à propos de tout cela », a-t-il dit aux journalistes au sujet de Donald Trump et des accusations de « génocide blanc ».
• La question du G20
« Je suis surtout ici pour remettre à zéro les relations entre les États-Unis et l’Afrique du Sud », notamment sur le plan économique, a par ailleurs lancé le président sud-africain, qui espérait principalement pouvoir discuter des liens commerciaux entre Pretoria et Washington.
Alors que Donald Trump avait menacé de ne pas être présent au sommet du G20 en Afrique du Sud en novembre, le chef de l’État sud-africain a affirmé s’attendre à ce que, finalement, le président américain s’y rende. « Je veux transmettre la présidence du G20 au président Trump en novembre, et j’ai dit qu’il devait y être. Je ne veux pas transmettre la présidence à une chaise vide. »
Selon lui, une nouvelle rencontre est également prévue à l’avenir entre les deux hommes.
(Avec AFP)
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Certains Sud-Africains ne voyaient pas d’un œil favorable la visite officielle de leur président aux États-Unis, craignant que Donald Trump cherche à l’humilier. Et fidèle à lui-même, le milliardaire redevenu président a en effet tendu un « piège » à Cyril Ramaphosa, mercredi 21 mai, poussant l’ancien négociateur de Nelson Mandela dans ses retranchements.
Le chef de l’État sud-africain, qui a tenté de garder son calme d’après les observateurs, a tout de même affirmé à la presse que la rencontre s’était « très bien » passée. Voici ce qu’il faut retenir de la discussion entre les deux hommes, alors que les relations entre Pretoria et Washington sont houleuses depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, en janvier dernier.
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• Une mise en scène orchestrée par Trump
Au beau milieu des échanges avec Cyril Ramaphosa, le président américain a soudain interrompu la conversation pour faire diffuser des images censées démontrer le « génocide blanc » qui serait perpétré en Afrique du Sud. Des vidéos qui, d’après lui, font état de « familles entières » d’agriculteurs blancs fuyant leurs terres et les expropriations forcées. Elon Musk, qui est né en Afrique du Sud et qui a poussé ces rumeurs depuis plusieurs mois, était présent dans le Bureau ovale.
Sur l’une de ces vidéos, on pouvait voir le leader des Economic Freedom Fighters (EFF, opposition), Julius Malema, chanter « Kill the Boer », un chant hérité de la lutte anti-apartheid. La vidéo s’est achevée sur des images d’une manifestation en Afrique du Sud durant laquelle des croix blanches ont été érigées le long d’une route rurale, et dont le Républicain a dit, à tort, qu’elles signalaient des tombes. Elles représentaient en fait des fermiers blancs assassinés.
« This is a very serious situation. If we had a real press, it would be exposed. When it gets exposed, it’ll get fixed. But people don’t talk about it. And I’ll tell you who is talking about it, thousands of people that are fleeing South Africa right now. » –President Trump 🇺🇸 pic.twitter.com/Cu3Or9Mar0
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« Vous leur permettez de prendre les terres, et quand ils prennent les terres, ils tuent le fermier blanc et quand ils tuent le fermier blanc, il ne leur arrive rien », a asséné Donald Trump. Celui-ci a aussi montré des coupures de presse, affirmant qu’elles confirmaient les persécutions en question. L’une des photos présentées venait en réalité de la RDC, selon l’AFP.
• Ramaphosa réfute et tente de temporiser
Comme le rapporte CNN, le président sud-africain, pourtant habitué aux négociations, a eu du mal à « dissimuler son malaise ». Pris par surprise, il a observé la scène « en silence ». Les plaisanteries sur le golf, sport que les deux hommes apprécient beaucoup, n’auront pas suffi à empêcher Donald Trump de mettre en place cette mise en scène, avec l’aide de ses conseillers.
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Confronté aux accusations américaines de « génocide », Cyril Ramaphosa a catégoriquement démenti : « Non, non, non […]. Personne ne peut prendre les terres », a-t-il rétorqué. Il a également souligné que la plupart des victimes de la criminalité, très élevée en Afrique du Sud, sont noires. « Nous avons une démocratie multipartite en Afrique du Sud qui permet aux citoyens de s’exprimer », a-t-il aussi déclaré après la vidéo.
Devant la presse, au terme de cette rencontre, Cyril Ramaphosa a tenté de placer la rencontre sous un jour plus positif : « Cela s’est très bien passé », a-t-il assuré. Il a aussi déclaré qu’ils ne s’étaient « pas attardés » sur les accusations de violences à l’encontre des Blancs lors de leur déjeuner et que leurs deux pays allaient discuter, à l’avenir, de questions commerciales.
« En fin de compte, je pense qu’il y a des doutes et de l’incrédulité dans sa tête à propos de tout cela », a-t-il dit aux journalistes au sujet de Donald Trump et des accusations de « génocide blanc ».
• La question du G20
« Je suis surtout ici pour remettre à zéro les relations entre les États-Unis et l’Afrique du Sud », notamment sur le plan économique, a par ailleurs lancé le président sud-africain, qui espérait principalement pouvoir discuter des liens commerciaux entre Pretoria et Washington.
Alors que Donald Trump avait menacé de ne pas être présent au sommet du G20 en Afrique du Sud en novembre, le chef de l’État sud-africain a affirmé s’attendre à ce que, finalement, le président américain s’y rende. « Je veux transmettre la présidence du G20 au président Trump en novembre, et j’ai dit qu’il devait y être. Je ne veux pas transmettre la présidence à une chaise vide. »
Selon lui, une nouvelle rencontre est également prévue à l’avenir entre les deux hommes.
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Certains Sud-Africains ne voyaient pas d’un œil favorable la visite officielle de leur président aux États-Unis, craignant que Donald Trump cherche à l’humilier. Et fidèle à lui-même, le milliardaire redevenu président a en effet tendu un « piège » à Cyril Ramaphosa, mercredi 21 mai, poussant l’ancien négociateur de Nelson Mandela dans ses retranchements.
Le chef de l’État sud-africain, qui a tenté de garder son calme d’après les observateurs, a tout de même affirmé à la presse que la rencontre s’était « très bien » passée. Voici ce qu’il faut retenir de la discussion entre les deux hommes, alors que les relations entre Pretoria et Washington sont houleuses depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, en janvier dernier.
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Au beau milieu des échanges avec Cyril Ramaphosa, le président américain a soudain interrompu la conversation pour faire diffuser des images censées démontrer le « génocide blanc » qui serait perpétré en Afrique du Sud. Des vidéos qui, d’après lui, font état de « familles entières » d’agriculteurs blancs fuyant leurs terres et les expropriations forcées. Elon Musk, qui est né en Afrique du Sud et qui a poussé ces rumeurs depuis plusieurs mois, était présent dans le Bureau ovale.
Sur l’une de ces vidéos, on pouvait voir le leader des Economic Freedom Fighters (EFF, opposition), Julius Malema, chanter « Kill the Boer », un chant hérité de la lutte anti-apartheid. La vidéo s’est achevée sur des images d’une manifestation en Afrique du Sud durant laquelle des croix blanches ont été érigées le long d’une route rurale, et dont le Républicain a dit, à tort, qu’elles signalaient des tombes. Elles représentaient en fait des fermiers blancs assassinés.
« This is a very serious situation. If we had a real press, it would be exposed. When it gets exposed, it’ll get fixed. But people don’t talk about it. And I’ll tell you who is talking about it, thousands of people that are fleeing South Africa right now. » –President Trump 🇺🇸 pic.twitter.com/Cu3Or9Mar0
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« Vous leur permettez de prendre les terres, et quand ils prennent les terres, ils tuent le fermier blanc et quand ils tuent le fermier blanc, il ne leur arrive rien », a asséné Donald Trump. Celui-ci a aussi montré des coupures de presse, affirmant qu’elles confirmaient les persécutions en question. L’une des photos présentées venait en réalité de la RDC, selon l’AFP.
• Ramaphosa réfute et tente de temporiser
Comme le rapporte CNN, le président sud-africain, pourtant habitué aux négociations, a eu du mal à « dissimuler son malaise ». Pris par surprise, il a observé la scène « en silence ». Les plaisanteries sur le golf, sport que les deux hommes apprécient beaucoup, n’auront pas suffi à empêcher Donald Trump de mettre en place cette mise en scène, avec l’aide de ses conseillers.
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Confronté aux accusations américaines de « génocide », Cyril Ramaphosa a catégoriquement démenti : « Non, non, non […]. Personne ne peut prendre les terres », a-t-il rétorqué. Il a également souligné que la plupart des victimes de la criminalité, très élevée en Afrique du Sud, sont noires. « Nous avons une démocratie multipartite en Afrique du Sud qui permet aux citoyens de s’exprimer », a-t-il aussi déclaré après la vidéo.
Devant la presse, au terme de cette rencontre, Cyril Ramaphosa a tenté de placer la rencontre sous un jour plus positif : « Cela s’est très bien passé », a-t-il assuré. Il a aussi déclaré qu’ils ne s’étaient « pas attardés » sur les accusations de violences à l’encontre des Blancs lors de leur déjeuner et que leurs deux pays allaient discuter, à l’avenir, de questions commerciales.
« En fin de compte, je pense qu’il y a des doutes et de l’incrédulité dans sa tête à propos de tout cela », a-t-il dit aux journalistes au sujet de Donald Trump et des accusations de « génocide blanc ».
• La question du G20
« Je suis surtout ici pour remettre à zéro les relations entre les États-Unis et l’Afrique du Sud », notamment sur le plan économique, a par ailleurs lancé le président sud-africain, qui espérait principalement pouvoir discuter des liens commerciaux entre Pretoria et Washington.
Alors que Donald Trump avait menacé de ne pas être présent au sommet du G20 en Afrique du Sud en novembre, le chef de l’État sud-africain a affirmé s’attendre à ce que, finalement, le président américain s’y rende. « Je veux transmettre la présidence du G20 au président Trump en novembre, et j’ai dit qu’il devait y être. Je ne veux pas transmettre la présidence à une chaise vide. »
Selon lui, une nouvelle rencontre est également prévue à l’avenir entre les deux hommes.
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