Bras financier de l’État marocain, la Caisse de dépôt et de gestion doit accompagner la transition verte du royaume. Eau, énergie renouvelable, aménagement urbain… Son patron met en avant sa stratégie pour mener et financer cette mutation tout en créant des emplois.

Khalid Safir, directeur général de la Caisse de dépôt et de gestion. © DR
Publié le 10 mars 2025 Lecture : 5 minutes.
Tourisme, développement territorial, infrastructures… Surnommée la Vieille Dame de Rabat, la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) est aux avant-postes des politiques publiques du Maroc depuis sa création en 1959.
Si elle a connu une période difficile dans les années 2010, après l’éclatement du scandale de Madinat Badès qui a mis en avant les errements de sa filiale immobilière, la Compagnie
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Bras financier de l’État marocain, la Caisse de dépôt et de gestion doit accompagner la transition verte du royaume. Eau, énergie renouvelable, aménagement urbain… Son patron met en avant sa stratégie pour mener et financer cette mutation tout en créant des emplois.

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Tourisme, développement territorial, infrastructures… Surnommée la Vieille Dame de Rabat, la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) est aux avant-postes des politiques publiques du Maroc depuis sa création en 1959.
Si elle a connu une période difficile dans les années 2010, après l’éclatement du scandale de Madinat Badès qui a mis en avant les errements de sa filiale immobilière, la Compagnie
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