À la fin des années 1970, l’Occident considérait le bloc communiste comme la seule menace pour sa sécurité, et l’idée que des fondamentalistes musulmans puissent un jour constituer un danger n’avait encore effleuré personne. C’est donc en toute bonne conscience – et avec quelques visées mercantiles – que Paris avait accordé l’asile au futur ayatollah.
Publié le 14 juin 2025 Lecture : 5 minutes.
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Quand l’Occident ouvrait les bras aux chefs islamistes radicaux 1/2 – Sur le tarmac de l’aéroport de Téhéran-Mehrabad le 1er février 1979, un homme à la barbe blanche, vêtu d’un burnous sombre, marque un temps d’arrêt avant d’aller vers les huit millions de partisans qui l’acclament et lui feront cortège. Il n’a pas encore dit un mot qu’il a déjà un peuple.
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À la fin des années 1970, l’Occident considérait le bloc communiste comme la seule menace pour sa sécurité, et l’idée que des fondamentalistes musulmans puissent un jour constituer un danger n’avait encore effleuré personne. C’est donc en toute bonne conscience – et avec quelques visées mercantiles – que Paris avait accordé l’asile au futur ayatollah.
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À la fin des années 1970, l’Occident considérait le bloc communiste comme la seule menace pour sa sécurité, et l’idée que des fondamentalistes musulmans puissent un jour constituer un danger n’avait encore effleuré personne. C’est donc en toute bonne conscience – et avec quelques visées mercantiles – que Paris avait accordé l’asile au futur ayatollah.
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