Un temps cantonnée aux cercles salafistes les plus rigoristes, la « hijra » – l’émigration vers une terre d’islam – séduit aujourd’hui un public bien plus large parmi les musulmans de France. Entre motivations spirituelles, rejet d’un climat islamophobe et quête de reconversion, ils sont de plus en plus nombreux à s’installer au Maroc. Un phénomène porté par les réseaux sociaux, où des influenceurs transforment leur parcours en modèle – et parfois en affaire lucrative.

Devant les murs délimitant l’enceinte de la tour Hassan, à Rabat. © Luis Dafos / Alamy / Abaca
Publié le 20 avril 2025 Lecture : 4 minutes.
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« On ne se voyait plus rester en France », confie Adam, 30 ans, installé à Marrakech avec sa femme et sa fille. Après des vacances au Maroc, il décide de franchir le pas : « On s’est rendu compte que c’était ici qu’on voulait vivre. Le fait d’être dans un pays musulman, de pouvoir prier à l’heure, aller à la mosquée… » Comme lui, ils sont de plus en plus nombreux, enfants ou petits-enfants
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Un temps cantonnée aux cercles salafistes les plus rigoristes, la « hijra » – l’émigration vers une terre d’islam – séduit aujourd’hui un public bien plus large parmi les musulmans de France. Entre motivations spirituelles, rejet d’un climat islamophobe et quête de reconversion, ils sont de plus en plus nombreux à s’installer au Maroc. Un phénomène porté par les réseaux sociaux, où des influenceurs transforment leur parcours en modèle – et parfois en affaire lucrative.

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« On ne se voyait plus rester en France », confie Adam, 30 ans, installé à Marrakech avec sa femme et sa fille. Après des vacances au Maroc, il décide de franchir le pas : « On s’est rendu compte que c’était ici qu’on voulait vivre. Le fait d’être dans un pays musulman, de pouvoir prier à l’heure, aller à la mosquée… » Comme lui, ils sont de plus en plus nombreux, enfants ou petits-enfants
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Un temps cantonnée aux cercles salafistes les plus rigoristes, la « hijra » – l’émigration vers une terre d’islam – séduit aujourd’hui un public bien plus large parmi les musulmans de France. Entre motivations spirituelles, rejet d’un climat islamophobe et quête de reconversion, ils sont de plus en plus nombreux à s’installer au Maroc. Un phénomène porté par les réseaux sociaux, où des influenceurs transforment leur parcours en modèle – et parfois en affaire lucrative.

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