Publié le 28 juin 2025 Lecture : 1 minute.
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Le deuxième parti politique d’Afrique du Sud, l’Alliance démocratique (DA), membre de la coalition gouvernementale, a annoncé samedi 28 juin se retirer du « dialogue national » lancé par le président Cyril Ramaphosa pour résoudre les problèmes qui minent le pays.
Cette annonce fragilise le « gouvernement d’unité nationale » (GNU), quelques jours avant son premier anniversaire.
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« Une perte de temps et d’argent »
Cyril Ramaphosa, du Congrès national africain (ANC), a lancé le 10 juin un « dialogue national » qui doit s’attaquer aux « défis persistants » du pays, du chômage à la criminalité. Cette initiative a été la cible de critiques, notamment de la part de la DA, son dirigeant John Steenhuisen estimant qu’il ne s’agit que « d’une perte de temps et d’argent ».
Le parti, a-t-il dit à des journalistes, « a décidé de se retirer du dialogue, avec effet immédiat ». « Rien ne changera en Afrique du Sud si nous gardons autour de la table gouvernementale ceux qui ont baigné eux-mêmes dans la corruption », a-t-il accusé.
Le budget, source de tensions pour la coalition
Le dialogue national doit débuter à la mi-août par une convention réunissant des délégués de tous les secteurs, y compris le gouvernement, les partis politiques, les entreprises et les syndicats. Au cours des mois suivants, les citoyens de tout le pays seront encouragés à exprimer leurs préoccupations et faire leurs propositions, qui seront présentées lors d’une deuxième convention l’an prochain.
Le 1er juillet, l’Afrique du Sud célèbre le premier anniversaire de la formation du GNU composé de dix partis, après que l’ANC, plombé par une gouvernance entachée de corruption, a échoué pour la première fois à remporter une majorité absolue lors des élections. Cette coalition a été chahutée par des dissensions internes, notamment sur le budget. Et, en début de semaine, un ministre de la DA, Andrew Whitfield, a été limogé en raison d’un voyage à l’étranger non autorisé, selon la présidence.
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(Avec AFP)
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Le deuxième parti politique d’Afrique du Sud, l’Alliance démocratique (DA), membre de la coalition gouvernementale, a annoncé samedi 28 juin se retirer du « dialogue national » lancé par le président Cyril Ramaphosa pour résoudre les problèmes qui minent le pays.
Cette annonce fragilise le « gouvernement d’unité nationale » (GNU), quelques jours avant son premier anniversaire.
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« Une perte de temps et d’argent »
Cyril Ramaphosa, du Congrès national africain (ANC), a lancé le 10 juin un « dialogue national » qui doit s’attaquer aux « défis persistants » du pays, du chômage à la criminalité. Cette initiative a été la cible de critiques, notamment de la part de la DA, son dirigeant John Steenhuisen estimant qu’il ne s’agit que « d’une perte de temps et d’argent ».
Le parti, a-t-il dit à des journalistes, « a décidé de se retirer du dialogue, avec effet immédiat ». « Rien ne changera en Afrique du Sud si nous gardons autour de la table gouvernementale ceux qui ont baigné eux-mêmes dans la corruption », a-t-il accusé.
Le budget, source de tensions pour la coalition
Le dialogue national doit débuter à la mi-août par une convention réunissant des délégués de tous les secteurs, y compris le gouvernement, les partis politiques, les entreprises et les syndicats. Au cours des mois suivants, les citoyens de tout le pays seront encouragés à exprimer leurs préoccupations et faire leurs propositions, qui seront présentées lors d’une deuxième convention l’an prochain.
Le 1er juillet, l’Afrique du Sud célèbre le premier anniversaire de la formation du GNU composé de dix partis, après que l’ANC, plombé par une gouvernance entachée de corruption, a échoué pour la première fois à remporter une majorité absolue lors des élections. Cette coalition a été chahutée par des dissensions internes, notamment sur le budget. Et, en début de semaine, un ministre de la DA, Andrew Whitfield, a été limogé en raison d’un voyage à l’étranger non autorisé, selon la présidence.
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(Avec AFP)
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Le deuxième parti politique d’Afrique du Sud, l’Alliance démocratique (DA), membre de la coalition gouvernementale, a annoncé samedi 28 juin se retirer du « dialogue national » lancé par le président Cyril Ramaphosa pour résoudre les problèmes qui minent le pays.
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« Une perte de temps et d’argent »
Cyril Ramaphosa, du Congrès national africain (ANC), a lancé le 10 juin un « dialogue national » qui doit s’attaquer aux « défis persistants » du pays, du chômage à la criminalité. Cette initiative a été la cible de critiques, notamment de la part de la DA, son dirigeant John Steenhuisen estimant qu’il ne s’agit que « d’une perte de temps et d’argent ».
Le parti, a-t-il dit à des journalistes, « a décidé de se retirer du dialogue, avec effet immédiat ». « Rien ne changera en Afrique du Sud si nous gardons autour de la table gouvernementale ceux qui ont baigné eux-mêmes dans la corruption », a-t-il accusé.
Le budget, source de tensions pour la coalition
Le dialogue national doit débuter à la mi-août par une convention réunissant des délégués de tous les secteurs, y compris le gouvernement, les partis politiques, les entreprises et les syndicats. Au cours des mois suivants, les citoyens de tout le pays seront encouragés à exprimer leurs préoccupations et faire leurs propositions, qui seront présentées lors d’une deuxième convention l’an prochain.
Le 1er juillet, l’Afrique du Sud célèbre le premier anniversaire de la formation du GNU composé de dix partis, après que l’ANC, plombé par une gouvernance entachée de corruption, a échoué pour la première fois à remporter une majorité absolue lors des élections. Cette coalition a été chahutée par des dissensions internes, notamment sur le budget. Et, en début de semaine, un ministre de la DA, Andrew Whitfield, a été limogé en raison d’un voyage à l’étranger non autorisé, selon la présidence.
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« Une perte de temps et d’argent »
Cyril Ramaphosa, du Congrès national africain (ANC), a lancé le 10 juin un « dialogue national » qui doit s’attaquer aux « défis persistants » du pays, du chômage à la criminalité. Cette initiative a été la cible de critiques, notamment de la part de la DA, son dirigeant John Steenhuisen estimant qu’il ne s’agit que « d’une perte de temps et d’argent ».
Le parti, a-t-il dit à des journalistes, « a décidé de se retirer du dialogue, avec effet immédiat ». « Rien ne changera en Afrique du Sud si nous gardons autour de la table gouvernementale ceux qui ont baigné eux-mêmes dans la corruption », a-t-il accusé.
Le budget, source de tensions pour la coalition
Le dialogue national doit débuter à la mi-août par une convention réunissant des délégués de tous les secteurs, y compris le gouvernement, les partis politiques, les entreprises et les syndicats. Au cours des mois suivants, les citoyens de tout le pays seront encouragés à exprimer leurs préoccupations et faire leurs propositions, qui seront présentées lors d’une deuxième convention l’an prochain.
Le 1er juillet, l’Afrique du Sud célèbre le premier anniversaire de la formation du GNU composé de dix partis, après que l’ANC, plombé par une gouvernance entachée de corruption, a échoué pour la première fois à remporter une majorité absolue lors des élections. Cette coalition a été chahutée par des dissensions internes, notamment sur le budget. Et, en début de semaine, un ministre de la DA, Andrew Whitfield, a été limogé en raison d’un voyage à l’étranger non autorisé, selon la présidence.
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