Avec le départ des rares opérateurs en activité, majoritairement de taille modeste, le royaume chérifien est contraint de revoir son ambition de devenir une puissance pétrolière africaine. Explications.

L’Office National des Hydrocarbures et des Mines (ONHYM) met en avant la promesse d’une géologie favorable avec beaucoup de bassins sédimentaires à fort potentiel. © DR
Publié le 3 juillet 2025 Lecture : 4 minutes.
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ENI, BP, Chevron, Repsol ou encore Kosmos… Par le passé, les majors et les grands indépendants des hydrocarbures étaient nombreux à afficher un intérêt pour le sous-sol marocain. Aujourd’hui, la donne a changé et le Maroc, champion mondial du phosphate ayant l’ambition de diversifier ses ressources extractives, doit composer avec cette nouvelle réalité. Malgré des incitations fiscales attractives,
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Maher Hajbi Journaliste économie à Jeune Afrique.
Avec le départ des rares opérateurs en activité, majoritairement de taille modeste, le royaume chérifien est contraint de revoir son ambition de devenir une puissance pétrolière africaine. Explications.

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Avec le départ des rares opérateurs en activité, majoritairement de taille modeste, le royaume chérifien est contraint de revoir son ambition de devenir une puissance pétrolière africaine. Explications.

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