
Chaque semaine, des centaines de migrants renvoyés d’Algérie se retrouvent à Assamaka, le premier village à la frontière du Niger. © STANISLAS POYET / AFP
Publié le 17 mai 2025 Lecture : 1 minute.
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Depuis dix ans, des migrants irréguliers ouest-africains sont régulièrement refoulés d’Algérie, point de transit vers l’Europe. « Au cours du mois d’avril nous avons connu une vague de refoulement sans précédent de migrants venant de l’Algérie », a affirmé samedi 16 mai à la télévision publique le général Ibrah Boulama Issa, gouverneur d’Agadez, région voisine de l’Algérie.
Pour cette période, la police d’Assamaka, localité frontalière de l’Algérie « a dénombré plus de 6 000 refoulés », a relevé le général qui s’est rendu dans la zone cette semaine. À titre de comparaison, il a rappelé que 7 222 migrants avaient été refoulés sur l’ensemble du premier trimestre de l’année. Le gouverneur a dénoncé une « pression exercée par l’Algérie » qui provoque « une surpopulation » des centres d’hébergement de l’Organisation internationale pour les migrations de l’ONU (OIM).
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Plus de 31 000 migrants expulsés vers le Niger en 2024
Pour éviter « un désastre humanitaire », le Niger va « appuyer l’accélération du programme [habituel] de rapatriement de l’OIM jusqu’au mois de juillet qui permettra de rapatrier plus de 4 000 migrants », dans leur pays d’origine, a-t-il assuré. « Le cas des refoulés que nous recevons de l’Algérie est une situation qui perturbe l’équilibre sécuritaire [du Niger] « , avait déclaré fin janvier le général Mohamed Toumba, ministre nigérien de l’Intérieur.
Il avait dit avoir demandé à l’OIM et au Haut-commissariat pour les réfugiés (HCR) « de faire rentrer » les migrants, généralement provenant d’Afrique de l’Ouest et centrale dans leurs pays. En 2024, plus de 31 000 personnes ont été expulsés d’Algérie vers le Niger voisin, selon l’ONG nigérienne Alarme Phone Sahara.
(Avec AFP)

Chaque semaine, des centaines de migrants renvoyés d’Algérie se retrouvent à Assamaka, le premier village à la frontière du Niger. © STANISLAS POYET / AFP
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Depuis dix ans, des migrants irréguliers ouest-africains sont régulièrement refoulés d’Algérie, point de transit vers l’Europe. « Au cours du mois d’avril nous avons connu une vague de refoulement sans précédent de migrants venant de l’Algérie », a affirmé samedi 16 mai à la télévision publique le général Ibrah Boulama Issa, gouverneur d’Agadez, région voisine de l’Algérie.
Pour cette période, la police d’Assamaka, localité frontalière de l’Algérie « a dénombré plus de 6 000 refoulés », a relevé le général qui s’est rendu dans la zone cette semaine. À titre de comparaison, il a rappelé que 7 222 migrants avaient été refoulés sur l’ensemble du premier trimestre de l’année. Le gouverneur a dénoncé une « pression exercée par l’Algérie » qui provoque « une surpopulation » des centres d’hébergement de l’Organisation internationale pour les migrations de l’ONU (OIM).
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Plus de 31 000 migrants expulsés vers le Niger en 2024
Pour éviter « un désastre humanitaire », le Niger va « appuyer l’accélération du programme [habituel] de rapatriement de l’OIM jusqu’au mois de juillet qui permettra de rapatrier plus de 4 000 migrants », dans leur pays d’origine, a-t-il assuré. « Le cas des refoulés que nous recevons de l’Algérie est une situation qui perturbe l’équilibre sécuritaire [du Niger] « , avait déclaré fin janvier le général Mohamed Toumba, ministre nigérien de l’Intérieur.
Il avait dit avoir demandé à l’OIM et au Haut-commissariat pour les réfugiés (HCR) « de faire rentrer » les migrants, généralement provenant d’Afrique de l’Ouest et centrale dans leurs pays. En 2024, plus de 31 000 personnes ont été expulsés d’Algérie vers le Niger voisin, selon l’ONG nigérienne Alarme Phone Sahara.
(Avec AFP)

Chaque semaine, des centaines de migrants renvoyés d’Algérie se retrouvent à Assamaka, le premier village à la frontière du Niger. © STANISLAS POYET / AFP
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Depuis dix ans, des migrants irréguliers ouest-africains sont régulièrement refoulés d’Algérie, point de transit vers l’Europe. « Au cours du mois d’avril nous avons connu une vague de refoulement sans précédent de migrants venant de l’Algérie », a affirmé samedi 16 mai à la télévision publique le général Ibrah Boulama Issa, gouverneur d’Agadez, région voisine de l’Algérie.
Pour cette période, la police d’Assamaka, localité frontalière de l’Algérie « a dénombré plus de 6 000 refoulés », a relevé le général qui s’est rendu dans la zone cette semaine. À titre de comparaison, il a rappelé que 7 222 migrants avaient été refoulés sur l’ensemble du premier trimestre de l’année. Le gouverneur a dénoncé une « pression exercée par l’Algérie » qui provoque « une surpopulation » des centres d’hébergement de l’Organisation internationale pour les migrations de l’ONU (OIM).
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Plus de 31 000 migrants expulsés vers le Niger en 2024
Pour éviter « un désastre humanitaire », le Niger va « appuyer l’accélération du programme [habituel] de rapatriement de l’OIM jusqu’au mois de juillet qui permettra de rapatrier plus de 4 000 migrants », dans leur pays d’origine, a-t-il assuré. « Le cas des refoulés que nous recevons de l’Algérie est une situation qui perturbe l’équilibre sécuritaire [du Niger] « , avait déclaré fin janvier le général Mohamed Toumba, ministre nigérien de l’Intérieur.
Il avait dit avoir demandé à l’OIM et au Haut-commissariat pour les réfugiés (HCR) « de faire rentrer » les migrants, généralement provenant d’Afrique de l’Ouest et centrale dans leurs pays. En 2024, plus de 31 000 personnes ont été expulsés d’Algérie vers le Niger voisin, selon l’ONG nigérienne Alarme Phone Sahara.
(Avec AFP)

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Depuis dix ans, des migrants irréguliers ouest-africains sont régulièrement refoulés d’Algérie, point de transit vers l’Europe. « Au cours du mois d’avril nous avons connu une vague de refoulement sans précédent de migrants venant de l’Algérie », a affirmé samedi 16 mai à la télévision publique le général Ibrah Boulama Issa, gouverneur d’Agadez, région voisine de l’Algérie.
Pour cette période, la police d’Assamaka, localité frontalière de l’Algérie « a dénombré plus de 6 000 refoulés », a relevé le général qui s’est rendu dans la zone cette semaine. À titre de comparaison, il a rappelé que 7 222 migrants avaient été refoulés sur l’ensemble du premier trimestre de l’année. Le gouverneur a dénoncé une « pression exercée par l’Algérie » qui provoque « une surpopulation » des centres d’hébergement de l’Organisation internationale pour les migrations de l’ONU (OIM).
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Pour éviter « un désastre humanitaire », le Niger va « appuyer l’accélération du programme [habituel] de rapatriement de l’OIM jusqu’au mois de juillet qui permettra de rapatrier plus de 4 000 migrants », dans leur pays d’origine, a-t-il assuré. « Le cas des refoulés que nous recevons de l’Algérie est une situation qui perturbe l’équilibre sécuritaire [du Niger] « , avait déclaré fin janvier le général Mohamed Toumba, ministre nigérien de l’Intérieur.
Il avait dit avoir demandé à l’OIM et au Haut-commissariat pour les réfugiés (HCR) « de faire rentrer » les migrants, généralement provenant d’Afrique de l’Ouest et centrale dans leurs pays. En 2024, plus de 31 000 personnes ont été expulsés d’Algérie vers le Niger voisin, selon l’ONG nigérienne Alarme Phone Sahara.
(Avec AFP)