Mise entre de mauvaises mains, l’intelligence artificielle générative devient une cybermenace de plus à prévenir pour des dirigeants souvent inconscients des risques de cette technologie.
![« L’Afrique de l’Ouest connaît […] une intensification des attaques de type phishing et deepfakes conçues grâce à l’IA », souligne Interpol dans son dernier rapport annuel. © ADOBESTOCK](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2025/07/03/jad20250703-panafricain-techno-cybersecurite.jpg)
« L’Afrique de l’Ouest connaît […] une intensification des attaques de type phishing et deepfakes conçues grâce à l’IA », souligne Interpol dans son dernier rapport annuel. © ADOBESTOCK
Publié le 3 juillet 2025 Lecture : 5 minutes.
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Un hacker ne se cache pas toujours sous un sweat à capuche et dans une cave sécurisée. Il peut porter un polo en crochet beige et des mocassins marron bien cirés. C’est le cas de Clément Domingo en cet après-midi de juin. Confortablement installé dans un salon privé du septième étage du Sofitel de Cotonou, où se déroulait la cinquième édition du Cyber Africa Forum les 24 et 25 juin, le « hacker
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Quentin Velluet Rédacteur en chef adjoint Économie de Jeune Afrique
Mise entre de mauvaises mains, l’intelligence artificielle générative devient une cybermenace de plus à prévenir pour des dirigeants souvent inconscients des risques de cette technologie.
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