Après avoir suspendu puis limité leurs activités, les autorités de transition s’attaquent désormais au statut même des partis, menaçant leur existence. Quitte d’ailleurs à leur donner un second souffle.

Le Conseil des ministres du Mali s’est réuni en session ordinaire au palais de Koulouba, le mercredi 30 avril 2025, sous la présidence du général Assimi Goïta. © Présidence de la République du Mali/Facebook
Publié le 2 mai 2025 Lecture : 4 minutes.
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Les chaises seront installées, les micros réglés et la climatisation poussée à fond. Ce samedi 3 mai, à Bamako, le Palais de la culture Amadou Hampâté Bâ accueillera les représentants d’une centaine de partis politiques pour « un grand meeting pour sauver la liberté et la démocratie » au Mali. Les partis politiques entendent surtout défendre leur droit d’exister alors que les militaires au pouvoir
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Après avoir suspendu puis limité leurs activités, les autorités de transition s’attaquent désormais au statut même des partis, menaçant leur existence. Quitte d’ailleurs à leur donner un second souffle.

Le Conseil des ministres du Mali s’est réuni en session ordinaire au palais de Koulouba, le mercredi 30 avril 2025, sous la présidence du général Assimi Goïta. © Présidence de la République du Mali/Facebook
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Après avoir suspendu puis limité leurs activités, les autorités de transition s’attaquent désormais au statut même des partis, menaçant leur existence. Quitte d’ailleurs à leur donner un second souffle.

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