Publié le 21 avril 2025 Lecture : 2 minutes.
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À la tête de la plus grande nation catholique d’Afrique, Félix Tshisekedi a salué l’ « engagement indéfectible pour la paix » du pape François.
Le souverain pontife s’était rendu dans le pays en janvier 2023. Il a célébré dans la capitale Kinshasa une messe en plein air qui, selon les autorités, a rassemblé plus d’un million de fidèles.
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Félix Tshisekedi a rendu « un hommage solennel à la mémoire de ce grand serviteur de Dieu, dont la vie a été un témoignage vibrant de foi, d’humilité et d’engagement indéfectible pour la paix, la justice et la dignité humaine », selon un communiqué de la présidence.
Fin janvier, après plusieurs jours d’intenses combats dans l’est de la RDC et la prise de la ville de Goma par le M23, le pape François a prié « pour le rétablissement de la paix et de la sécurité » dans la région et exhorté « toutes les parties au conflit à s’engager en faveur de la cessation des hostilités ».
Lors de sa visite à Kinshasa en 2023, le pape François a également dénoncé le « colonialisme économique », alors que l’est du pays riche en ressources naturelles était déjà en proie à la résurgence du M23. L’Afrique « n’est pas une mine à exploiter ni une terre à dévaliser », avait-il déclaré.
49 % de catholiques selon le Vatican
Malgré l’influence croissante des églises évangéliques depuis les années 1990, l’Église catholique conserve un rôle majeur dans l’éducation, la culture, la politique ou la tenue des infrastructures socio-sanitaires en RDC, où elle a souvent fait office de contre-pouvoir.
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Selon les estimations, le pays de quelque cent millions d’habitants compte environ 40 % de catholiques (49 % selon le Vatican), 35 % de protestants ou affiliés aux Églises de réveil, 9 % de musulmans, 10 % de kimbanguistes (église chrétienne née au Congo).
En milieu de matinée, dans la cathédrale de Kinshasa, quelques fidèles sont venus se recueillir après l’annonce de la mort du souverain pontife.
Le Congolais Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa depuis 2018 et voix puissante du mouvement pour la paix dans son pays meurtri par des décennies de violences, est considéré par certains observateurs comme un candidat potentiel pour devenir le premier pape noir.
(Avec AFP)
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À la tête de la plus grande nation catholique d’Afrique, Félix Tshisekedi a salué l’ « engagement indéfectible pour la paix » du pape François.
Le souverain pontife s’était rendu dans le pays en janvier 2023. Il a célébré dans la capitale Kinshasa une messe en plein air qui, selon les autorités, a rassemblé plus d’un million de fidèles.
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Félix Tshisekedi a rendu « un hommage solennel à la mémoire de ce grand serviteur de Dieu, dont la vie a été un témoignage vibrant de foi, d’humilité et d’engagement indéfectible pour la paix, la justice et la dignité humaine », selon un communiqué de la présidence.
Fin janvier, après plusieurs jours d’intenses combats dans l’est de la RDC et la prise de la ville de Goma par le M23, le pape François a prié « pour le rétablissement de la paix et de la sécurité » dans la région et exhorté « toutes les parties au conflit à s’engager en faveur de la cessation des hostilités ».
Lors de sa visite à Kinshasa en 2023, le pape François a également dénoncé le « colonialisme économique », alors que l’est du pays riche en ressources naturelles était déjà en proie à la résurgence du M23. L’Afrique « n’est pas une mine à exploiter ni une terre à dévaliser », avait-il déclaré.
49 % de catholiques selon le Vatican
Malgré l’influence croissante des églises évangéliques depuis les années 1990, l’Église catholique conserve un rôle majeur dans l’éducation, la culture, la politique ou la tenue des infrastructures socio-sanitaires en RDC, où elle a souvent fait office de contre-pouvoir.
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Selon les estimations, le pays de quelque cent millions d’habitants compte environ 40 % de catholiques (49 % selon le Vatican), 35 % de protestants ou affiliés aux Églises de réveil, 9 % de musulmans, 10 % de kimbanguistes (église chrétienne née au Congo).
En milieu de matinée, dans la cathédrale de Kinshasa, quelques fidèles sont venus se recueillir après l’annonce de la mort du souverain pontife.
Le Congolais Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa depuis 2018 et voix puissante du mouvement pour la paix dans son pays meurtri par des décennies de violences, est considéré par certains observateurs comme un candidat potentiel pour devenir le premier pape noir.
(Avec AFP)
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À la tête de la plus grande nation catholique d’Afrique, Félix Tshisekedi a salué l’ « engagement indéfectible pour la paix » du pape François.
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Félix Tshisekedi a rendu « un hommage solennel à la mémoire de ce grand serviteur de Dieu, dont la vie a été un témoignage vibrant de foi, d’humilité et d’engagement indéfectible pour la paix, la justice et la dignité humaine », selon un communiqué de la présidence.
Fin janvier, après plusieurs jours d’intenses combats dans l’est de la RDC et la prise de la ville de Goma par le M23, le pape François a prié « pour le rétablissement de la paix et de la sécurité » dans la région et exhorté « toutes les parties au conflit à s’engager en faveur de la cessation des hostilités ».
Lors de sa visite à Kinshasa en 2023, le pape François a également dénoncé le « colonialisme économique », alors que l’est du pays riche en ressources naturelles était déjà en proie à la résurgence du M23. L’Afrique « n’est pas une mine à exploiter ni une terre à dévaliser », avait-il déclaré.
49 % de catholiques selon le Vatican
Malgré l’influence croissante des églises évangéliques depuis les années 1990, l’Église catholique conserve un rôle majeur dans l’éducation, la culture, la politique ou la tenue des infrastructures socio-sanitaires en RDC, où elle a souvent fait office de contre-pouvoir.
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Selon les estimations, le pays de quelque cent millions d’habitants compte environ 40 % de catholiques (49 % selon le Vatican), 35 % de protestants ou affiliés aux Églises de réveil, 9 % de musulmans, 10 % de kimbanguistes (église chrétienne née au Congo).
En milieu de matinée, dans la cathédrale de Kinshasa, quelques fidèles sont venus se recueillir après l’annonce de la mort du souverain pontife.
Le Congolais Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa depuis 2018 et voix puissante du mouvement pour la paix dans son pays meurtri par des décennies de violences, est considéré par certains observateurs comme un candidat potentiel pour devenir le premier pape noir.
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À la tête de la plus grande nation catholique d’Afrique, Félix Tshisekedi a salué l’ « engagement indéfectible pour la paix » du pape François.
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Fin janvier, après plusieurs jours d’intenses combats dans l’est de la RDC et la prise de la ville de Goma par le M23, le pape François a prié « pour le rétablissement de la paix et de la sécurité » dans la région et exhorté « toutes les parties au conflit à s’engager en faveur de la cessation des hostilités ».
Lors de sa visite à Kinshasa en 2023, le pape François a également dénoncé le « colonialisme économique », alors que l’est du pays riche en ressources naturelles était déjà en proie à la résurgence du M23. L’Afrique « n’est pas une mine à exploiter ni une terre à dévaliser », avait-il déclaré.
49 % de catholiques selon le Vatican
Malgré l’influence croissante des églises évangéliques depuis les années 1990, l’Église catholique conserve un rôle majeur dans l’éducation, la culture, la politique ou la tenue des infrastructures socio-sanitaires en RDC, où elle a souvent fait office de contre-pouvoir.
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Selon les estimations, le pays de quelque cent millions d’habitants compte environ 40 % de catholiques (49 % selon le Vatican), 35 % de protestants ou affiliés aux Églises de réveil, 9 % de musulmans, 10 % de kimbanguistes (église chrétienne née au Congo).
En milieu de matinée, dans la cathédrale de Kinshasa, quelques fidèles sont venus se recueillir après l’annonce de la mort du souverain pontife.
Le Congolais Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa depuis 2018 et voix puissante du mouvement pour la paix dans son pays meurtri par des décennies de violences, est considéré par certains observateurs comme un candidat potentiel pour devenir le premier pape noir.
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