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Accueil Afrique

Mort en garde à vue d’un blogueur au Kenya : le numéro deux de la police se met en retrait

Jeune Afrique Par Jeune Afrique
17 juin 2025
Temps de lecture :4 minutes de lecture
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mort-en-garde-a-vue-d’un-blogueur-au-kenya-:-le-numero-deux-de-la-police-se-met-en-retrait

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Publié le 17 juin 2025 Lecture : 3 minutes.

Fichier généré le

Sur les réseaux sociaux et les panneaux des manifestations à Nairobi, il est l’homme accusé d’avoir provoqué la mort du blogueur et enseignant Albert Ojwang, tué dans un commissariat au Kenya à 31 ans, le 8 juin dernier. Eliud Kipkoech Lagat, numéro deux de la police keéyane, a annoncé lundi 16 juin se « mettre en retrait » de son poste. « Aujourd’hui, j’ai décidé de me mettre en retrait du poste de sous-inspecteur général de la police du Kenya en attendant la conclusion de l’enquête, a-t-il déclaré dans un communiqué. Je m’engage à fournir toute l’aide que l’on pourrait me demander au cours de l’enquête sur cet incident malheureux. » Aucune précision n’a été donnée sur la durée de son absence.

Le président kényan, William Ruto, à Washington, le 22 mai 2024. © Elizabeth Frantz/REUTERS

La mort d’Albert Ojwang a eu lieu deux jours après son arrestation, pour des publications sur les réseaux sociaux accusant le sous-inspecteur général de la police de corruption. La victime a été arrêtée à Homa Bay, dans l’ouest du Kenya, mais transférée dans un commissariat de la capitale, à plusieurs centaines de kilomètres.

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Après la découverte de sa mort, l’inspecteur général de la police, le général Douglas Kanja, avait indiqué à la presse que l’enseignant avait été arrêté, avec d’autres suspects, sur plainte de son adjoint, Eliud Kipkoech Lagat, dont « le nom avait été terni ». Des propos qui avaient conduit les Kényans à se demander non seulement qui avait tué le détenu, mais aussi quels ordres avaient été donnés, et par qui.

L’autopsie contredit la thèse du suicide

Initialement, les autorités avaient affirmé que la victime s’était suicidée en se frappant la tête contre les murs de sa cellule, avant que l’autopsie ne vienne contredire cette thèse. Les légistes ont conclu que les nombreuses lésions à la tête et sur le reste du corps étaient incompatibles avec des blessures qu’Albert Ojwang se serait lui-même infligées. Les constatations s’orientent au contraire vers une agression.

BREAKING: Kenyan police officer PC James Mukhwana arrested and will be charged with the murder of Albert Ojwang’ at Central Police Station pic.twitter.com/u6APUqPxTE

— Larry Madowo (@LarryMadowo) June 12, 2025

Selon Associated Press, le commandant du commissariat central où la victime est décédée, Samson Talam, et son collègue, James Mukhwana, ont été arrêtés la semaine dernière. D’après l’Autorité indépendante de surveillance de la police, en charge d’une enquête, les disques durs des caméras de vidéosurveillance du commissariat auraient été formatés au lendemain de la mort du détenu en cellule, relate l’agence de presse américaine.

L’AFP précise qu’un civil a également été appréhendé en lien avec cette affaire. La BBC fait référence à trois personnes : « Le chef du commissariat […] ainsi qu’un autre agent et un technicien accusés d’avoir désactivé la vidéosurveillance du commissariat. »

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Une maison avec deux chambres en dédommagement

La semaine dernière, le président kényan William Ruto avait exhorté les enquêteurs à agir rapidement, tout en promettant que le gouvernement « protégerait les citoyens des policiers voyous » dans un pays confronté très fréquemment aux violences policières. Le chef de l’État a également appelé le père d’Albert Ojwang.

The National Police Service must boldly discharge its constitutional role of protecting Kenyans and their property from criminals — be they in civilian or uniform.

The Independent Police Oversight Authority must also be more proactive in swiftly dealing with rogue elements… pic.twitter.com/TbrrW015CD

— William Samoei Ruto, PhD (@WilliamsRuto) June 11, 2025

Selon Gladys Wanga, gouverneure du comté de Homa Bay d’où est originaire l’enseignant, il a aussi offert en soutien à la famille de la victime 2 millions de shillings. Raila Odinga, un poids lourd de l’opposition kényane qui a formé cette année une alliance avec le président a, lui, fait don d’un million de shillings a-t-elle aussi indiqué, précisant avoir elle-même offert une maison avec deux chambres.

(Avec AFP)

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Publié le 17 juin 2025 Lecture : 3 minutes.

Fichier généré le

Sur les réseaux sociaux et les panneaux des manifestations à Nairobi, il est l’homme accusé d’avoir provoqué la mort du blogueur et enseignant Albert Ojwang, tué dans un commissariat au Kenya à 31 ans, le 8 juin dernier. Eliud Kipkoech Lagat, numéro deux de la police keéyane, a annoncé lundi 16 juin se « mettre en retrait » de son poste. « Aujourd’hui, j’ai décidé de me mettre en retrait du poste de sous-inspecteur général de la police du Kenya en attendant la conclusion de l’enquête, a-t-il déclaré dans un communiqué. Je m’engage à fournir toute l’aide que l’on pourrait me demander au cours de l’enquête sur cet incident malheureux. » Aucune précision n’a été donnée sur la durée de son absence.

Le président kényan, William Ruto, à Washington, le 22 mai 2024. © Elizabeth Frantz/REUTERS

La mort d’Albert Ojwang a eu lieu deux jours après son arrestation, pour des publications sur les réseaux sociaux accusant le sous-inspecteur général de la police de corruption. La victime a été arrêtée à Homa Bay, dans l’ouest du Kenya, mais transférée dans un commissariat de la capitale, à plusieurs centaines de kilomètres.

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Après la découverte de sa mort, l’inspecteur général de la police, le général Douglas Kanja, avait indiqué à la presse que l’enseignant avait été arrêté, avec d’autres suspects, sur plainte de son adjoint, Eliud Kipkoech Lagat, dont « le nom avait été terni ». Des propos qui avaient conduit les Kényans à se demander non seulement qui avait tué le détenu, mais aussi quels ordres avaient été donnés, et par qui.

L’autopsie contredit la thèse du suicide

Initialement, les autorités avaient affirmé que la victime s’était suicidée en se frappant la tête contre les murs de sa cellule, avant que l’autopsie ne vienne contredire cette thèse. Les légistes ont conclu que les nombreuses lésions à la tête et sur le reste du corps étaient incompatibles avec des blessures qu’Albert Ojwang se serait lui-même infligées. Les constatations s’orientent au contraire vers une agression.

BREAKING: Kenyan police officer PC James Mukhwana arrested and will be charged with the murder of Albert Ojwang’ at Central Police Station pic.twitter.com/u6APUqPxTE

— Larry Madowo (@LarryMadowo) June 12, 2025

Selon Associated Press, le commandant du commissariat central où la victime est décédée, Samson Talam, et son collègue, James Mukhwana, ont été arrêtés la semaine dernière. D’après l’Autorité indépendante de surveillance de la police, en charge d’une enquête, les disques durs des caméras de vidéosurveillance du commissariat auraient été formatés au lendemain de la mort du détenu en cellule, relate l’agence de presse américaine.

L’AFP précise qu’un civil a également été appréhendé en lien avec cette affaire. La BBC fait référence à trois personnes : « Le chef du commissariat […] ainsi qu’un autre agent et un technicien accusés d’avoir désactivé la vidéosurveillance du commissariat. »

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Une maison avec deux chambres en dédommagement

La semaine dernière, le président kényan William Ruto avait exhorté les enquêteurs à agir rapidement, tout en promettant que le gouvernement « protégerait les citoyens des policiers voyous » dans un pays confronté très fréquemment aux violences policières. Le chef de l’État a également appelé le père d’Albert Ojwang.

The National Police Service must boldly discharge its constitutional role of protecting Kenyans and their property from criminals — be they in civilian or uniform.

The Independent Police Oversight Authority must also be more proactive in swiftly dealing with rogue elements… pic.twitter.com/TbrrW015CD

— William Samoei Ruto, PhD (@WilliamsRuto) June 11, 2025

Selon Gladys Wanga, gouverneure du comté de Homa Bay d’où est originaire l’enseignant, il a aussi offert en soutien à la famille de la victime 2 millions de shillings. Raila Odinga, un poids lourd de l’opposition kényane qui a formé cette année une alliance avec le président a, lui, fait don d’un million de shillings a-t-elle aussi indiqué, précisant avoir elle-même offert une maison avec deux chambres.

(Avec AFP)

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Le président kényan, William Ruto, à Washington, le 22 mai 2024. © Elizabeth Frantz/REUTERS

La mort d’Albert Ojwang a eu lieu deux jours après son arrestation, pour des publications sur les réseaux sociaux accusant le sous-inspecteur général de la police de corruption. La victime a été arrêtée à Homa Bay, dans l’ouest du Kenya, mais transférée dans un commissariat de la capitale, à plusieurs centaines de kilomètres.

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Après la découverte de sa mort, l’inspecteur général de la police, le général Douglas Kanja, avait indiqué à la presse que l’enseignant avait été arrêté, avec d’autres suspects, sur plainte de son adjoint, Eliud Kipkoech Lagat, dont « le nom avait été terni ». Des propos qui avaient conduit les Kényans à se demander non seulement qui avait tué le détenu, mais aussi quels ordres avaient été donnés, et par qui.

L’autopsie contredit la thèse du suicide

Initialement, les autorités avaient affirmé que la victime s’était suicidée en se frappant la tête contre les murs de sa cellule, avant que l’autopsie ne vienne contredire cette thèse. Les légistes ont conclu que les nombreuses lésions à la tête et sur le reste du corps étaient incompatibles avec des blessures qu’Albert Ojwang se serait lui-même infligées. Les constatations s’orientent au contraire vers une agression.

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L’AFP précise qu’un civil a également été appréhendé en lien avec cette affaire. La BBC fait référence à trois personnes : « Le chef du commissariat […] ainsi qu’un autre agent et un technicien accusés d’avoir désactivé la vidéosurveillance du commissariat. »

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La semaine dernière, le président kényan William Ruto avait exhorté les enquêteurs à agir rapidement, tout en promettant que le gouvernement « protégerait les citoyens des policiers voyous » dans un pays confronté très fréquemment aux violences policières. Le chef de l’État a également appelé le père d’Albert Ojwang.

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Le président kényan, William Ruto, à Washington, le 22 mai 2024. © Elizabeth Frantz/REUTERS

La mort d’Albert Ojwang a eu lieu deux jours après son arrestation, pour des publications sur les réseaux sociaux accusant le sous-inspecteur général de la police de corruption. La victime a été arrêtée à Homa Bay, dans l’ouest du Kenya, mais transférée dans un commissariat de la capitale, à plusieurs centaines de kilomètres.

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L’autopsie contredit la thèse du suicide

Initialement, les autorités avaient affirmé que la victime s’était suicidée en se frappant la tête contre les murs de sa cellule, avant que l’autopsie ne vienne contredire cette thèse. Les légistes ont conclu que les nombreuses lésions à la tête et sur le reste du corps étaient incompatibles avec des blessures qu’Albert Ojwang se serait lui-même infligées. Les constatations s’orientent au contraire vers une agression.

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Selon Associated Press, le commandant du commissariat central où la victime est décédée, Samson Talam, et son collègue, James Mukhwana, ont été arrêtés la semaine dernière. D’après l’Autorité indépendante de surveillance de la police, en charge d’une enquête, les disques durs des caméras de vidéosurveillance du commissariat auraient été formatés au lendemain de la mort du détenu en cellule, relate l’agence de presse américaine.

L’AFP précise qu’un civil a également été appréhendé en lien avec cette affaire. La BBC fait référence à trois personnes : « Le chef du commissariat […] ainsi qu’un autre agent et un technicien accusés d’avoir désactivé la vidéosurveillance du commissariat. »

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La semaine dernière, le président kényan William Ruto avait exhorté les enquêteurs à agir rapidement, tout en promettant que le gouvernement « protégerait les citoyens des policiers voyous » dans un pays confronté très fréquemment aux violences policières. Le chef de l’État a également appelé le père d’Albert Ojwang.

The National Police Service must boldly discharge its constitutional role of protecting Kenyans and their property from criminals — be they in civilian or uniform.

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— William Samoei Ruto, PhD (@WilliamsRuto) June 11, 2025

Selon Gladys Wanga, gouverneure du comté de Homa Bay d’où est originaire l’enseignant, il a aussi offert en soutien à la famille de la victime 2 millions de shillings. Raila Odinga, un poids lourd de l’opposition kényane qui a formé cette année une alliance avec le président a, lui, fait don d’un million de shillings a-t-elle aussi indiqué, précisant avoir elle-même offert une maison avec deux chambres.

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