Capitale économique en voie de déclassement du fait de la baisse de la production pétrolière, ville littorale menacée par le réchauffement climatique et la montée des eaux, Port-Gentil méritera-t-elle cette fois encore sa réputation d’éternel bastion de l’opposition ?
Devant le bureau de vote du Centre social du 2e arrondissement de Port-Gentil, le 12 avril 2025 à 13 heures, jour de l’élection présidentielle. © Georges Dougueli pour Jeune Afrique
Publié le 12 avril 2025 Lecture : 6 minutes.
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« Notre journée de travail a commencé à 2 heures du matin. Autant dire que nous n’avons pas fermé l’œil de la nuit », raconte Boubakar Ngouwa Guingo Mayaki, délégué spécial de la commune du 2e arrondissement de Port-Gentil. Un an déjà que cet ancien cadre de la mairie a été propulsé à la tête de la municipalité par le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI). « Il a
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Capitale économique en voie de déclassement du fait de la baisse de la production pétrolière, ville littorale menacée par le réchauffement climatique et la montée des eaux, Port-Gentil méritera-t-elle cette fois encore sa réputation d’éternel bastion de l’opposition ?
Devant le bureau de vote du Centre social du 2e arrondissement de Port-Gentil, le 12 avril 2025 à 13 heures, jour de l’élection présidentielle. © Georges Dougueli pour Jeune Afrique
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Devant le bureau de vote du Centre social du 2e arrondissement de Port-Gentil, le 12 avril 2025 à 13 heures, jour de l’élection présidentielle. © Georges Dougueli pour Jeune Afrique
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