Les deux multinationales minières, toutes deux très présentes en Afrique, ont discuté jusqu’à octobre dernier d’un projet de fusion, selon la presse anglophone. Une opération qui interroge et qui, si elle aboutit, bouleverserait les équilibres du secteur en Afrique.

La mine de Simandou, en Guinée. © Rio Tinto
Publié le 17 janvier 2025 Lecture : 3 minutes.
Bientôt les mines de Simandou, QIT Madagascar Minerals (QMM) et Kamoto dans le même bateau ? C’est ce que laisse entrevoir l’information révélée par Bloomberg le 16 janvier : le groupe anglo-australien Rio Tinto et le négociant suisse Glencore ont discuté d’une fusion au cours de 2024. Des échanges qui, selon l’agence, ne seraient plus d’actualité, et que les deux groupes, contactés par Jeune
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Les deux multinationales minières, toutes deux très présentes en Afrique, ont discuté jusqu’à octobre dernier d’un projet de fusion, selon la presse anglophone. Une opération qui interroge et qui, si elle aboutit, bouleverserait les équilibres du secteur en Afrique.

La mine de Simandou, en Guinée. © Rio Tinto
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Bientôt les mines de Simandou, QIT Madagascar Minerals (QMM) et Kamoto dans le même bateau ? C’est ce que laisse entrevoir l’information révélée par Bloomberg le 16 janvier : le groupe anglo-australien Rio Tinto et le négociant suisse Glencore ont discuté d’une fusion au cours de 2024. Des échanges qui, selon l’agence, ne seraient plus d’actualité, et que les deux groupes, contactés par Jeune
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Les deux multinationales minières, toutes deux très présentes en Afrique, ont discuté jusqu’à octobre dernier d’un projet de fusion, selon la presse anglophone. Une opération qui interroge et qui, si elle aboutit, bouleverserait les équilibres du secteur en Afrique.

La mine de Simandou, en Guinée. © Rio Tinto
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Bientôt les mines de Simandou, QIT Madagascar Minerals (QMM) et Kamoto dans le même bateau ? C’est ce que laisse entrevoir l’information révélée par Bloomberg le 16 janvier : le groupe anglo-australien Rio Tinto et le négociant suisse Glencore ont discuté d’une fusion au cours de 2024. Des échanges qui, selon l’agence, ne seraient plus d’actualité, et que les deux groupes, contactés par Jeune
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La mine de Simandou, en Guinée. © Rio Tinto
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