Publié le 13 mai 2025 Lecture : 1 minute.
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Son intervention a constitué l’un des temps forts du premier jour de l’Africa CEO Forum, qui se déroule du 12 au 13 mai à Abidjan. Invité à présenter sa nouvelle politique du numérique, baptisée New Deal Digital, le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, n’a pas dévié de son engagement en faveur d’une souveraineté économique et numérique assumée au pays de la Teranga.
Interrogé par Marwane Ben Yahmed, directeur de la publication de Jeune Afrique, et face à un parterre de décideurs politiques et économiques africains et internationaux, celui qui a visité la Silicon Valley en octobre dernier a défendu un positionnement « sans enfermement, ni autarcie » autour de trois axes principaux : « la maîtrise des infrastructures, la maîtrise du cadre réglementaire et le développement des compétences », résume-t-il. Avec pour objectif de rééquilibrer la collaboration entre les géants de la technologie et l’État. « L’Afrique ne peut pas se contenter d’être un consommateur passif de services numériques étrangers. »
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Un plan à 1,7 milliard de dollars
Pour le Sénégal, qui estime à 1,7 milliard de dollars le montant des investissements nécessaires à la concrétisation de ce nouveau plan, l’objectif est de nouer des partenariats public-privé avec des investisseurs internationaux et locaux pour s’assurer que le développement ne se fasse « au détriment de la souveraineté ».
Le président sénégalais dit s’inspirer du modèle de l’Estonie qui, selon les données de la primature estonienne, a gagné deux points de PIB en digitalisant 99 % de ses services publics. L’ambition ultime du chef de l’État est, à terme, « la digitalisation des services publics […] C’est un enjeu majeur, notamment pour la collecte fiscale qui permet le développement ». Un levier bienvenu dans un contexte macroéconomique tendu pour le Sénégal, consécutif à la révélation de la « dette cachée ».
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Son intervention a constitué l’un des temps forts du premier jour de l’Africa CEO Forum, qui se déroule du 12 au 13 mai à Abidjan. Invité à présenter sa nouvelle politique du numérique, baptisée New Deal Digital, le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, n’a pas dévié de son engagement en faveur d’une souveraineté économique et numérique assumée au pays de la Teranga.
Interrogé par Marwane Ben Yahmed, directeur de la publication de Jeune Afrique, et face à un parterre de décideurs politiques et économiques africains et internationaux, celui qui a visité la Silicon Valley en octobre dernier a défendu un positionnement « sans enfermement, ni autarcie » autour de trois axes principaux : « la maîtrise des infrastructures, la maîtrise du cadre réglementaire et le développement des compétences », résume-t-il. Avec pour objectif de rééquilibrer la collaboration entre les géants de la technologie et l’État. « L’Afrique ne peut pas se contenter d’être un consommateur passif de services numériques étrangers. »
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Un plan à 1,7 milliard de dollars
Pour le Sénégal, qui estime à 1,7 milliard de dollars le montant des investissements nécessaires à la concrétisation de ce nouveau plan, l’objectif est de nouer des partenariats public-privé avec des investisseurs internationaux et locaux pour s’assurer que le développement ne se fasse « au détriment de la souveraineté ».
Le président sénégalais dit s’inspirer du modèle de l’Estonie qui, selon les données de la primature estonienne, a gagné deux points de PIB en digitalisant 99 % de ses services publics. L’ambition ultime du chef de l’État est, à terme, « la digitalisation des services publics […] C’est un enjeu majeur, notamment pour la collecte fiscale qui permet le développement ». Un levier bienvenu dans un contexte macroéconomique tendu pour le Sénégal, consécutif à la révélation de la « dette cachée ».
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Interrogé par Marwane Ben Yahmed, directeur de la publication de Jeune Afrique, et face à un parterre de décideurs politiques et économiques africains et internationaux, celui qui a visité la Silicon Valley en octobre dernier a défendu un positionnement « sans enfermement, ni autarcie » autour de trois axes principaux : « la maîtrise des infrastructures, la maîtrise du cadre réglementaire et le développement des compétences », résume-t-il. Avec pour objectif de rééquilibrer la collaboration entre les géants de la technologie et l’État. « L’Afrique ne peut pas se contenter d’être un consommateur passif de services numériques étrangers. »
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Pour le Sénégal, qui estime à 1,7 milliard de dollars le montant des investissements nécessaires à la concrétisation de ce nouveau plan, l’objectif est de nouer des partenariats public-privé avec des investisseurs internationaux et locaux pour s’assurer que le développement ne se fasse « au détriment de la souveraineté ».
Le président sénégalais dit s’inspirer du modèle de l’Estonie qui, selon les données de la primature estonienne, a gagné deux points de PIB en digitalisant 99 % de ses services publics. L’ambition ultime du chef de l’État est, à terme, « la digitalisation des services publics […] C’est un enjeu majeur, notamment pour la collecte fiscale qui permet le développement ». Un levier bienvenu dans un contexte macroéconomique tendu pour le Sénégal, consécutif à la révélation de la « dette cachée ».
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Interrogé par Marwane Ben Yahmed, directeur de la publication de Jeune Afrique, et face à un parterre de décideurs politiques et économiques africains et internationaux, celui qui a visité la Silicon Valley en octobre dernier a défendu un positionnement « sans enfermement, ni autarcie » autour de trois axes principaux : « la maîtrise des infrastructures, la maîtrise du cadre réglementaire et le développement des compétences », résume-t-il. Avec pour objectif de rééquilibrer la collaboration entre les géants de la technologie et l’État. « L’Afrique ne peut pas se contenter d’être un consommateur passif de services numériques étrangers. »
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Un plan à 1,7 milliard de dollars
Pour le Sénégal, qui estime à 1,7 milliard de dollars le montant des investissements nécessaires à la concrétisation de ce nouveau plan, l’objectif est de nouer des partenariats public-privé avec des investisseurs internationaux et locaux pour s’assurer que le développement ne se fasse « au détriment de la souveraineté ».
Le président sénégalais dit s’inspirer du modèle de l’Estonie qui, selon les données de la primature estonienne, a gagné deux points de PIB en digitalisant 99 % de ses services publics. L’ambition ultime du chef de l’État est, à terme, « la digitalisation des services publics […] C’est un enjeu majeur, notamment pour la collecte fiscale qui permet le développement ». Un levier bienvenu dans un contexte macroéconomique tendu pour le Sénégal, consécutif à la révélation de la « dette cachée ».