Fondé dans l’opposition et la révolte, le parti au pouvoir doit désormais composer avec les critiques de militants intransigeants, mais toujours aussi attachés à la figure de leur leader devenu Premier ministre, Ousmane Sonko.
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, à Dakar, le 26 septembre 2024. © SEYLLOU / AFP
Publié le 22 janvier 2025 Lecture : 7 minutes.
Des internautes qui s’adressent directement au Premier ministre. Chez les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), la démocratie interne a ses propres codes. Le 5 janvier, Ousmane Sonko choisissait de répondre lui-même aux critiques et aux inquiétudes de ses partisans. Le sujet de la discorde ? La nomination, au sein du Conseil national de régulation de
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Fondé dans l’opposition et la révolte, le parti au pouvoir doit désormais composer avec les critiques de militants intransigeants, mais toujours aussi attachés à la figure de leur leader devenu Premier ministre, Ousmane Sonko.
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, à Dakar, le 26 septembre 2024. © SEYLLOU / AFP
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Fondé dans l’opposition et la révolte, le parti au pouvoir doit désormais composer avec les critiques de militants intransigeants, mais toujours aussi attachés à la figure de leur leader devenu Premier ministre, Ousmane Sonko.
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, à Dakar, le 26 septembre 2024. © SEYLLOU / AFP
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Des internautes qui s’adressent directement au Premier ministre. Chez les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), la démocratie interne a ses propres codes. Le 5 janvier, Ousmane Sonko choisissait de répondre lui-même aux critiques et aux inquiétudes de ses partisans. Le sujet de la discorde ? La nomination, au sein du Conseil national de régulation de
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Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, à Dakar, le 26 septembre 2024. © SEYLLOU / AFP
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