Un retour en arrière annoncé
Donald Trump, climatosceptique notoire, a fait campagne sur des promesses de relance de l’industrie fossile et de retrait des accords climatiques internationaux. Son slogan « Drill, baby, drill » (Fore, chérie, fore) résume sa vision d’une Amérique tournée vers l’exploitation intensive du pétrole et du gaz.
Des conséquences potentiellement désastreuses
Selon les experts, la politique de Trump pourrait entraîner l’émission de 4 milliards de tonnes de CO2 supplémentaires d’ici 2030.
Ce relâchement des efforts américains risque d’avoir un effet domino sur les autres grands émetteurs comme la Chine. »C’est un revers pour l’action climatique mondiale« , déplore Laurence Tubiana, architecte de l’Accord de Paris.
Un impact au-delà des frontières américaines
La réélection de Trump intervient à quelques jours de l’ouverture de la COP29 à Bakou. Elle risque de compliquer considérablement les négociations internationales sur le climat. « Le résultat des élections américaines ne doit pas servir d’excuse aux dirigeants mondiaux pour éviter de prendre des mesures contre le changement climatique », prévient Mary Robinson, ancienne Première ministre d’Irlande.
L’Europe, dernier rempart ?
Face au désengagement américain, le rôle de l’Union européenne pourrait devenir crucial. Cependant, le Vieux Continent fait face à ses propres défis : des finances publiques dégradées et un soutien de l’opinion à la transition écologique qui s’émousse.
Un retour en arrière annoncé
Donald Trump, climatosceptique notoire, a fait campagne sur des promesses de relance de l’industrie fossile et de retrait des accords climatiques internationaux. Son slogan « Drill, baby, drill » (Fore, chérie, fore) résume sa vision d’une Amérique tournée vers l’exploitation intensive du pétrole et du gaz.
Des conséquences potentiellement désastreuses
Selon les experts, la politique de Trump pourrait entraîner l’émission de 4 milliards de tonnes de CO2 supplémentaires d’ici 2030.
Ce relâchement des efforts américains risque d’avoir un effet domino sur les autres grands émetteurs comme la Chine. »C’est un revers pour l’action climatique mondiale« , déplore Laurence Tubiana, architecte de l’Accord de Paris.
Un impact au-delà des frontières américaines
La réélection de Trump intervient à quelques jours de l’ouverture de la COP29 à Bakou. Elle risque de compliquer considérablement les négociations internationales sur le climat. « Le résultat des élections américaines ne doit pas servir d’excuse aux dirigeants mondiaux pour éviter de prendre des mesures contre le changement climatique », prévient Mary Robinson, ancienne Première ministre d’Irlande.
L’Europe, dernier rempart ?
Face au désengagement américain, le rôle de l’Union européenne pourrait devenir crucial. Cependant, le Vieux Continent fait face à ses propres défis : des finances publiques dégradées et un soutien de l’opinion à la transition écologique qui s’émousse.
Un retour en arrière annoncé
Donald Trump, climatosceptique notoire, a fait campagne sur des promesses de relance de l’industrie fossile et de retrait des accords climatiques internationaux. Son slogan « Drill, baby, drill » (Fore, chérie, fore) résume sa vision d’une Amérique tournée vers l’exploitation intensive du pétrole et du gaz.
Des conséquences potentiellement désastreuses
Selon les experts, la politique de Trump pourrait entraîner l’émission de 4 milliards de tonnes de CO2 supplémentaires d’ici 2030.
Ce relâchement des efforts américains risque d’avoir un effet domino sur les autres grands émetteurs comme la Chine. »C’est un revers pour l’action climatique mondiale« , déplore Laurence Tubiana, architecte de l’Accord de Paris.
Un impact au-delà des frontières américaines
La réélection de Trump intervient à quelques jours de l’ouverture de la COP29 à Bakou. Elle risque de compliquer considérablement les négociations internationales sur le climat. « Le résultat des élections américaines ne doit pas servir d’excuse aux dirigeants mondiaux pour éviter de prendre des mesures contre le changement climatique », prévient Mary Robinson, ancienne Première ministre d’Irlande.
L’Europe, dernier rempart ?
Face au désengagement américain, le rôle de l’Union européenne pourrait devenir crucial. Cependant, le Vieux Continent fait face à ses propres défis : des finances publiques dégradées et un soutien de l’opinion à la transition écologique qui s’émousse.
Un retour en arrière annoncé
Donald Trump, climatosceptique notoire, a fait campagne sur des promesses de relance de l’industrie fossile et de retrait des accords climatiques internationaux. Son slogan « Drill, baby, drill » (Fore, chérie, fore) résume sa vision d’une Amérique tournée vers l’exploitation intensive du pétrole et du gaz.
Des conséquences potentiellement désastreuses
Selon les experts, la politique de Trump pourrait entraîner l’émission de 4 milliards de tonnes de CO2 supplémentaires d’ici 2030.
Ce relâchement des efforts américains risque d’avoir un effet domino sur les autres grands émetteurs comme la Chine. »C’est un revers pour l’action climatique mondiale« , déplore Laurence Tubiana, architecte de l’Accord de Paris.
Un impact au-delà des frontières américaines
La réélection de Trump intervient à quelques jours de l’ouverture de la COP29 à Bakou. Elle risque de compliquer considérablement les négociations internationales sur le climat. « Le résultat des élections américaines ne doit pas servir d’excuse aux dirigeants mondiaux pour éviter de prendre des mesures contre le changement climatique », prévient Mary Robinson, ancienne Première ministre d’Irlande.
L’Europe, dernier rempart ?
Face au désengagement américain, le rôle de l’Union européenne pourrait devenir crucial. Cependant, le Vieux Continent fait face à ses propres défis : des finances publiques dégradées et un soutien de l’opinion à la transition écologique qui s’émousse.