Issu de la série
Tunisie : la transition inachevée
Le 14 janvier 2011, lorsque le président Zine El Abidine Ben Ali a fui la Tunisie avec sa famille et ses proches, beaucoup ont espéré une métamorphose de la société, un changement complet sur fond de Printemps arabe qui allait bousculer les vieilles habitudes, mettre fin aux injustices. Quatorze ans plus tard, la Tunisie de 2025 ne ressemble pas à ce dont rêvaient les insurgés de 2011. Mais est-ce si surprenant ? Une révolution n’est pas un phénomène linéaire. Les années qui suivent sont faites d’allers-retours, d’erreurs bien ou mal corrigées. Les vieux rapports de pouvoir ont la peau dure, les objectifs et les moyens des nouvelles politiques ne sont pas toujours aussi clairement définis qu’espéré. Résultat, ce qui est donné à voir côté scène est souvent bien différent de ce qui se joue en coulisses. Les « amis » étrangers continuent à jouer leur partition, les anciens maîtres ne renoncent pas facilement à leurs privilèges, les services et les administrations s’opposent… Et tout contribue à ce sentiment amer d’une transition inachevée.
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Le 14 janvier 2011, lorsque le président Zine El Abidine Ben Ali a fui la Tunisie avec sa famille et ses proches, beaucoup ont espéré une métamorphose de la société, un changement complet sur fond de Printemps arabe qui allait bousculer les vieilles habitudes, mettre fin aux injustices. Quatorze ans plus tard, la Tunisie de 2025 ne ressemble pas à ce dont rêvaient les insurgés de 2011. Mais est-ce si surprenant ? Une révolution n’est pas un phénomène linéaire. Les années qui suivent sont faites d’allers-retours, d’erreurs bien ou mal corrigées. Les vieux rapports de pouvoir ont la peau dure, les objectifs et les moyens des nouvelles politiques ne sont pas toujours aussi clairement définis qu’espéré. Résultat, ce qui est donné à voir côté scène est souvent bien différent de ce qui se joue en coulisses. Les « amis » étrangers continuent à jouer leur partition, les anciens maîtres ne renoncent pas facilement à leurs privilèges, les services et les administrations s’opposent… Et tout contribue à ce sentiment amer d’une transition inachevée.
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Le 14 janvier 2011, lorsque le président Zine El Abidine Ben Ali a fui la Tunisie avec sa famille et ses proches, beaucoup ont espéré une métamorphose de la société, un changement complet sur fond de Printemps arabe qui allait bousculer les vieilles habitudes, mettre fin aux injustices. Quatorze ans plus tard, la Tunisie de 2025 ne ressemble pas à ce dont rêvaient les insurgés de 2011. Mais est-ce si surprenant ? Une révolution n’est pas un phénomène linéaire. Les années qui suivent sont faites d’allers-retours, d’erreurs bien ou mal corrigées. Les vieux rapports de pouvoir ont la peau dure, les objectifs et les moyens des nouvelles politiques ne sont pas toujours aussi clairement définis qu’espéré. Résultat, ce qui est donné à voir côté scène est souvent bien différent de ce qui se joue en coulisses. Les « amis » étrangers continuent à jouer leur partition, les anciens maîtres ne renoncent pas facilement à leurs privilèges, les services et les administrations s’opposent… Et tout contribue à ce sentiment amer d’une transition inachevée.
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Le 14 janvier 2011, lorsque le président Zine El Abidine Ben Ali a fui la Tunisie avec sa famille et ses proches, beaucoup ont espéré une métamorphose de la société, un changement complet sur fond de Printemps arabe qui allait bousculer les vieilles habitudes, mettre fin aux injustices. Quatorze ans plus tard, la Tunisie de 2025 ne ressemble pas à ce dont rêvaient les insurgés de 2011. Mais est-ce si surprenant ? Une révolution n’est pas un phénomène linéaire. Les années qui suivent sont faites d’allers-retours, d’erreurs bien ou mal corrigées. Les vieux rapports de pouvoir ont la peau dure, les objectifs et les moyens des nouvelles politiques ne sont pas toujours aussi clairement définis qu’espéré. Résultat, ce qui est donné à voir côté scène est souvent bien différent de ce qui se joue en coulisses. Les « amis » étrangers continuent à jouer leur partition, les anciens maîtres ne renoncent pas facilement à leurs privilèges, les services et les administrations s’opposent… Et tout contribue à ce sentiment amer d’une transition inachevée.