Peu nombreux sont les Camerounais qui se souviennent des beaux jours du lac municipal de leur capitale. Tombé en décrépitude, il a fait l’objet de plusieurs projets de développement. Sans qu’aucun n’aboutisse… Jusqu’à présent.
Vue du lac municipal de Yaoundé, en décembre 2024. © Maboup
Publié le 2 février 2025 Lecture : 5 minutes.
Tout part, parfois, d’une dispute de couple. Dans le Cameroun sous tutelle française du début des années 1950, Georges Kyriakidès n’est pas épargné par ces aléas de la vie. Le commerçant grec est arrivé à Yaoundé vers 1947, alors qu’il n’avait que 21 ans et, depuis, il y a fait fortune avec son « commerce général » et y a installé sa famille, notamment son épouse. Mais celle-ci s’ennuie, loin de
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Peu nombreux sont les Camerounais qui se souviennent des beaux jours du lac municipal de leur capitale. Tombé en décrépitude, il a fait l’objet de plusieurs projets de développement. Sans qu’aucun n’aboutisse… Jusqu’à présent.
Vue du lac municipal de Yaoundé, en décembre 2024. © Maboup
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Tout part, parfois, d’une dispute de couple. Dans le Cameroun sous tutelle française du début des années 1950, Georges Kyriakidès n’est pas épargné par ces aléas de la vie. Le commerçant grec est arrivé à Yaoundé vers 1947, alors qu’il n’avait que 21 ans et, depuis, il y a fait fortune avec son « commerce général » et y a installé sa famille, notamment son épouse. Mais celle-ci s’ennuie, loin de
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Tout part, parfois, d’une dispute de couple. Dans le Cameroun sous tutelle française du début des années 1950, Georges Kyriakidès n’est pas épargné par ces aléas de la vie. Le commerçant grec est arrivé à Yaoundé vers 1947, alors qu’il n’avait que 21 ans et, depuis, il y a fait fortune avec son « commerce général » et y a installé sa famille, notamment son épouse. Mais celle-ci s’ennuie, loin de
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